Les Terres Occidentales

William S. Burroughs

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS)

Résumé

« Burroughs a le goût du rebondissement, de la surprise, du détail grotesque et des incidents qui entrainent son héros, lui-même, vers les bas-fonds, en toute ville qu'il aille. Il faut lire ses listes de drogues, le récit de ses fréquentations, de ses cures de désintoxication pour apprécier la dimension monstrueuse de l'exercice de survie qu'il s'est imposé en faisant de son corps et de sa prose un filtre universel pour tous les poisons, chimiques ou intellectuels, de son temps. On le salue bien bas. » (Michel Braudeau, Le Monde).

«Burroughs est le hiérophante qui nous fait traverser l'empire des morts : la civilisation occidentale empoisonnée. Qu'on ne chercher pas de conventions dans ces contrées. Le voyage vers les terres occidentales est un pari sur l'immortalité. [.] La prose incantatoire de Burroughs libère un monde où les mythes refusent de disparaître et confortent la réalité. » (Michel Bulteau, Le Figaro)


Categories : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Authors

    William S. Burroughs

  • Publisher

    Christian Bourgois

  • Distributeur

    Sodis

  • Publication date

    18/10/2007

  • Collection

    Titres

  • EAN

    9782267019445

  • Availablity

    Available

  • Nombre de pages

    384 Pages

  • Height

    17.8 cm

  • Width

    10.8 cm

  • Thickness

    1.9 cm

  • Item weight

    276 g

  • Readership

    Tout public

  • Diffuseur

    CDE - Centre de Diffusion de l'Edition

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

William S. Burroughs

Né à Saint-Louis en 1914, William Burroughs est mort en 1997 à 83 ans. A la fin de ses études, il émigre à New York, plonge sciemment dans le monde de la pègre et devient intentionnellement héroïnomane. Parallèlement, à l'université de Columbia, il fait la connaissance de Ginsberg et de Kerouac. Vers 1950, Burroughs se met à écrire. Il tue sa femme accidentellement et s'éclipse en Amérique du Sud. En 1954, il s'installe à Tanger qu'il ne quittera qu'en 1964. Ses intoxications se font de plus en plus aigües. Après sa désintoxication entreprise à Londres, il se met à écrire beaucoup : Le Festin nu, La Machine molle, Le Ticket qui explosa, Nova express, Les Derniers mots de Dutch Schultz, Le Job, Les Garçons sauvages. C'est en 1975 que Burroughs est reparti vivre à New York, où il est devenu une des « stars » de la « scène new-yorkaise ». Gourou de la Beat Generation, éminence grise controversée de l'avant-garde internationale, prophète sombre à l'humour des plus noirs, William Burroughs a eu une influence avec laquelle peu d'écrivains vivants ont rivalisé.

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