Si le confort est l'une des principales raisons évoquées par les adeptes du « No Bra », il est aussi un véritable acte militant. Gala Avanzi, longtemps acheteuse compulsive de push-up, a un jour décidé d'accepter sa poitrine telle qu'elle est, sans chercher à la faire correspondre aux normes dictées par la mode et la publicité.
Dans la veine du « body positive », un mouvement féministe en faveur de l'acceptation de toutes les beautés, le « No Bra » dénonce les injonctions, souvent contradictoires, à la beauté subie par les femmes et l'hypersexualisation de la poitrine, sans cesse exposée aux jugements : trop petite, trop grosse, trop décolletée, trop rembourrée, trop découverte, trop cachée, etc.
A la lumière de sa propre expérience, d'études scientifiques et de l'Histoire, Gala Avanzi donne des clés pour se libérer des diktats et avancer vers un peu plus de liberté.