Le judaïsme est la plus ancienne des religions monothéistes, dans la lignée des fils d'Abraham. De fait, il constitue l'origine de notre culture. Comprendre le judaïsme, c'est donc à la fois renouer avec le passé et éclairer le monde contemporain. En s'appuyant sur des « mots-clés » - bar mitzvah, diaspora, Kabbale, Shoah... -, des mots connus mais des réalités mal comprises, ce livre propose une première approche qui n'a pas la prétention d'être exhaustive, mais d'aller à l'essentiel pour découvrir la tradition juive et inciter à la lecture des textes fondateurs.
Notions - Figures - Citations.
Quelle place occupent les grands récits dans la vie des hommes ? Les textes qui fondent nos civilisations sont révélateurs d'une vérité essentielle qui s'inscrit dans une harmonie du monde. Il ne s'agit pas d'un simple idéal à atteindre, mais de l'accès à une sagesse qui vise l'unité.
L'homme est un être en devenir. Il apprend à se connaître tout au long de son existence. La Kabbale élabore une réflexion sur la vie à travers une approche dynamique des textes autour de combinaisons de lettres hébraïques et de chiffres. Elle propose une analyse des expériences les plus diverses de l'homme, celles de son monde intérieur ou de celui qui l'entoure en établissant une correspondance entre la structure du corps humain et celle de l'univers. La Kabbale entend ainsi guider les hommes vers un bonheur d'être et une inébranlable espérance.
À partir de sa pratique de médecin et de sa grande connaissance des textes de la tradition juive, Ariel Toledano nous initie à la Kabbale. Son ouvrage se décline en huit chapitres qui sont autant de voies vers l'harmonie : harmonie du corps et de l'esprit, du langage et du temps, de l'homme avec autrui, de l'homme avec le monde...
Ce livre puissant ouvre un chemin vers une quête de sens.
La Torah est le texte fondateur de la religion juive et, d'une certaine manière, de la foi chrétienne. Elle est lue, méditée et commentée depuis plus de 2 000 ans, aussi bien dans les milieux les plus piétistes que dans les universités contemporaines. Elle a inspiré l'art et la littérature mais elle est souvent connue par ouï-dire. Cet ouvrage de référence propose une lecture guidée de la Torah : il présente la genèse, les grands récits et les concepts de ce texte fondateur. Pédagogique et vivant, il repose sur de nombreuses citations, évoquant tant la vie des grandes figures bibliques que la position de la Torah sur les principales questions de société. Une approche nouvelle, qui introduit avec précision à la connaissance et à la compréhension de nos références culturelles communes.
La Torah est au centre de la vie et de la culture juives depuis l'Antiquité, mais son contenu est pourtant largement méconnu. Qui sont Aaron, Moïse et Miriam ? Pourquoi Dieu a-t-il demandé à Noé de construire une arche ? Quels sont les commandements, colonne vertébrale du judaïsme ? En 50 notions, Pauline Bebe décrypte ici la Torah, pour les lecteurs de tous horizons qui désirent en savoir plus sur le texte saint de la plus ancienne religion monothéiste de l'Histoire.
50 notions dont :
Amour.
Espoir.
Miracle.
Prière.
Révélation.
Shabbath.
Dilaceratio Corporis est une collection dirigée par Nicolas Delestre sous la responsabilité éditoriale de Laurence Loutre-Barbier Rites funéraires du judaïsme présente les rites du judaïsme qui à l'époque contemporaine compte plusieurs courants principaux : orthodoxe, traditionnaliste, réformé ou libéral.
Certaines prescriptions très anciennes concernant la mort d'un proche continuent d'être respectées :
Inhumation et non crémation, délai très court entre décès et mise en terre, recours à une hevra qaddisha, simplicité du cercueil et de l'enterrement, déchirure d'un vêtement des personnes directement en deuil et récitation du Qaddish* devant la fosse. Les rites funéraires juifs ignorent l'embaumement et l'exposition du défunt.
Le terme Kabbale, de l'hébreu Qabbalah, est aujourd'hui communément utilisé pour définir la mystique juive et les traditions ésotériques du judaïsme. Pourtant, dans le langage talmudique, Qabbalah signifie tout simplement tradition et désigne les textes prophétiques et hagiographiques de la Bible sans aucune connotation mystique ou ésotérique. Encore convient-il de s'entendre sur les termes : la Kabbale doit être considérée comme une mystique dans la mesure où elle vise à une saisie du divin au-delà des limites de l'expérience habituelle, et elle est ésotérisme en tant qu'elle n'est transmise qu'à un petit nombre d'initiés.
Quelle est l'histoire de la Kabbale depuis l'Antiquité ? Quelle vision du monde propose-t-elle et en quoi consiste son héritage à l'époque moderne ?
La Torah est un texte fondateur de notre civilisation. On y trouve des idées qui ont révolutionné le monde, des préceptes qui fondent le rapport à l'autre, des récits qui ont inspiré l'art dans toutes ses expressions et les grandes valeurs de la société occidentale. La Torah est d'emblée interprétation. Commentée dans le Talmud, appelé « Torah orale », elle l'a aussi été à tous les siècles jusqu'à nos jours.
La Torah commentée pour notre temps associe des commentaires anciens et modernes, critiques ou traditionnels. Cet ouvrage monumental tente de répondre aux questions contemporaines en faisant dialoguer les commentateurs à travers les siècles. Le texte, organisé selon les versets de la semaine est accessible à tous : jeunes et adultes, amateurs ou éclairés, juifs ou non, croyants ou non que ce soit pour l'étude, l'approfondissement de sa vie spirituelle ou le simple plaisir d'être guidé dans la découverte d'une pensée en perpétuelle recherche.
C'est au Moyen Âge, en Champagne, que le rabbin Rachi a donné le commentaire de la Bible que tous les juifs du monde ont lu depuis. Voici la grande édition révisée de ce monument figurant au patrimoine de l'humanité. Et le deuxième volume, "Les Prophètes", de ce classique.
Parmi les commentaires de la Bible, celui du rabbin Rachi, né à Troyes vers 1040, est sans doute le plus célèbre. Depuis presque mille ans, toutes les générations de juifs et toutes les mouvances hébraïques ont fait de ce commentaire une obligation de l'étude. Son importance est telle que certains exégètes chrétiens, dont Luther, s'en sont inspiré pour leur propre traduction.
Plonger dans Les Prophètes en profitant des explications lumineuses de Rachi, c'est redécouvrir la profondeur des textes sacrés, participer à la révélation des grands récits, s'étonner parfois de l'audace et de la justesse des interprétations. Peut-être parce que Rachi s'est toujours attaché à dégager des textes sacrés le sens le plus pratique, le plus conforme à la logique et à la raison quotidienne.
Ce classique de la bibliothèque universelle, à nouveau disponible, sera bientôt suivi d'un troisième volume, comprenant le commentaire des Prophètes (2/2) et des Hagiographes.
Parmi les commentaires de la Bible, celui du rabbin Rachi, né à Troyes vers 1040, est sans doute le plus célèbre. Depuis presque mille ans, toutes les générations de juifs et toutes les mouvances hébraïques ont fait de ce commentaire une obligation de l'étude. Son importance est telle que certains exégètes chrétiens, dont Luther, s'en sont inspirés pour leur propre traduction.
Plonger dans Le Pentateuque en profitant des explications lumineuses de Rachi, c'est redécouvrir la profondeur des textes sacrés, participer à la révélation des grands récits, s'étonner parfois de l'audace et de la justesse des interprétations. Peut-être parce que, sans négliger la Haggada - le commentaire légendaire -, Rachi s'est toujours attaché à dégager des textes sacrés le sens le plus pratique, le plus conforme à la logique et à la raison quotidienne.
Ce classique de la bibliothèque universelle, à nouveau disponible, sera bientôt suivi d'un second volume, comprenant le commentaire des Prophètes et des Hagiographes.
Menahem Mendel de Kotzk (1787-1859) est l'une des figures les plus marquantes et les plus iconoclastes du hassidisme, ce mouvement mystique juif révolutionnaire, fondé sur la joie et l'adhésion à Dieu offerte à tous. Opposé au dérives somptuaires et superstitieuses du hassidisme tardif, le Kotzker Rèbbè est un maître spirituel exigeant, qui met la Vérité au centre de tout, refuse le rôle d'intercesseur et brise les codes : « J'avais toujours espéré réunir une communauté de disciples pour déambuler avec eux dans la forêt ; et tout ce que j'ai su réunir, c'est un troupeau de boeufs ! », lance-t-il à ses hassidim.
Le Rèbbè a brûlé ses rares écrits avant sa mort ; les Récits hassidiques de Kotzk (Kotzker Maysses) réunis par Eliezer Bergman (mort dans le ghetto de Varsovie) sont le principal témoignage de ce qu'était vraiment l'enseignement vivant du maître. Nathan Weinstock en a traduit et commenté ici quatorze parmi les plus frappants. Certains sont très connus, mais prennent une autre couleur lorsqu'ils sont rattachés à Kotzk ; d'autres sont de formidables découvertes.
Le Talmud, objet de toutes les méprises, est depuis deux mille ans au coeur de la vie juive traditionnelle. Livre unique, il a subi à l'image de son peuple les errances, les persécutions, les métamorphoses. Pierre-Henry Salfati, lui-même talmudiste, nous fait découvrir à travers tous les continents et toutes les époques comment le Talmud a généré communautés et individus incroyables, aux histoires surprenantes et uniques : les génies qui connaissent chaque cm2 de ses milliers de pages par coeur, les employés de Manhattan qui l'étudient chaque matin dans le train, les hassidim messianiques de Jérusalem, les collectionneurs fous. Parmi cette galerie fantastique, le livre est lui-même un personnage à part entière. On découvre ainsi des histoires de faux traités, d'autodafés, de cimetières livresques, de controverses avec le Ciel, d'imprimeries babéliennes, ou encore de divorce royal - celui d'Henry VIII en l'occurrence.
De New York à Jérusalem en passant par Paris, Venise ou Worms, Pierre-Henry Salfati nous initie avec bonheur à un monde peu connu, peuplé de figures exubérantes et de mystères historiques. Une vraie belle histoire juive, en somme, dans tous les sens du terme.
Nous disons donc à propos du nom et de sa réalité essentielle que les choses [ont trois types d'existence] : une existence en tant qu'individus ou entités ('ayn) une existence dans l'esprit (ou mentale) et une existence verbale. En ce qui concerne leur existence en tant qu'individus, il s'agit d'« existence principielle et réelle » (al-wujûd al-aslî al-haqîqî) l'existence mentale est une « existence cognitive » (wujûd 'ilmî) et une « existence formelle » (wujûd sûrî) quant à l'existence dans la parole, c'est une « existence verbale » (wujûd lafzî) et une « existence indicative » (wujûd dalîlî). Par exemple, le ciel a une existence en soi et en tant que réalité individuelle, puis une existence dans nos esprits et dans nos âmes, car la forme du ciel est imprimée d'abord dans nos yeux et ensuite dans notre imagination (khayâl), de sorte que même si le ciel disparaissait et que nous demeurions en vie, la représentation du ciel resterait toujours présente dans notre imagination. Cette représentation est d'ailleurs ce qui est appelé « science », et c'est une image (mithâl) de l'« objet de connaissance » (ma'lûm), car elle ressemble à ce dernier et lui correspond autant que l'image reflétée dans un miroir est semblable à la forme extérieure qui lui fait face.
Les prie`res et be?ne?dictions, qu'elles soient individuelles ou collectives, familiales ou synagogales, occupent une place importante dans la vie juive. Dans cette introduction sont ainsi recense?es les principales prie`res et be?ne?dictions utilise?es tout au long de la journe?e, mais aussi celles de?die?es aux fe^tes et aux e?ve?nements marquants de la vie du pratiquant.
Parce qu'il pre?sente e?galement les rites et les coutumes de la langue sacre?e, du cadre vestimentaire ou encore de l'usage des psaumes, ce livre inte?ressera quiconque souhaitant en savoir plus sur le judai?sme.
Les chre?tiens, quant a` eux, y de?couvriront l'existence d'une parente? textuelle et spirituelle entre la Bible et la Torah. La prie`re juive n'e?tait-elle pas a` l'origine celle de Je?sus le Nazare?en, de Marie « lle de Sion », des apo^tres ?
Un feu d'une immense douceur court sur les pages de ce livre ! Un amour qui en imprègne chaque ligne, le feu de la Shékinah, « l'Épouse divine » si chère aux kabbalistes. À sa lumière, nous découvrons que l'histoire de Moïse, dans sa dimension intemporelle, raconte notre propre histoire ! Nous y trouvons des clefs pour sortir de l'esclavage de nos conditionnements et de nos peurs, libres de Pharaon, le faux roi qui en chacun de nous veut garder sa place sur son trône et la mainmise sur notre âme. Le Buisson ardent, où flamboie la Shékinah, nous appelle. Il prononce notre nom intime et s'adresse directement à nous : « Ô enfant de la Vie, Je te vois. Ce que tu demandes si fort depuis des millénaires se présente enfin devant toi. Je viens t'ouvrir les portes de la Terre promise, ta Demeure sur la Terre. » Plus de vingt ans après la première édition du best-seller « Rencontres avec la Splendeur - le pouvoir guérisseur des Lettres hébraïques » et du « Tarot des Lettres hébraïques », Marie Elia revient avec ce livre original riche en révélations.
Publication conçue et mise en chantier par André Paul.
Composée de neuf volumes, La Bibliothèque de Qumrân a l'ambition d'offrir à tous un accès à des textes fascinants surgis d'un lointain passé et qui jettent une lumière renouvelée sur les racines de la culture occidentale.
Avec cette publication, on disposera de la totalité des quelque neuf cents manuscrits exhumés de onze grottes environnant le site de Qumrân. Les divers écrits sont classés thématiquement, en suivant l'ordre des livres de la Bible hébraïque.
Ce volume est le troisième de la série. Il présente les textes liés au livre du Deutéronome et au Pentateuque dans son ensemble.
Ont collaboré au présent volume :
Marie-France Dion.
Damien Labadie.
Michaël Langlois.
Thierry Legrand.
Daniel Stökl Ben Ezra.
Depuis les temps les plus anciens, les lettres hébraïques ont fait l'objet d'un très grand respect, en particulier lorsqu'elles permettent la révélation des Noms divins.
Les vingt-deux lettres de l'alphabet hébreu sont le support de nombreux aspects de la contemplation mystique, car elles constituent un intermédiaire reflétant la réalité de la totalité de l'existence. Les lettres sont des univers réduits en un symbole, chacune contient la quintessence de l'énergie universelle. Leurs prononciation, écriture, ou contemplation libèrent de puissantes forces qui entrent en résonance avec les degrés les plus profonds de la conscience, et parlent directement à notre âme.
Les lettres hébraïques ne sont pas uniquement des instruments permettant d'inscrire des idées sur une feuille de papier, ce sont, avant tout, des concepts précis, contenant les principes essentiels de la Création. Chaque lettre correspond à un nombre d'après sa position, à un idéogramme d'après sa forme initiale et à un symbole d'après les liens qu'elle entretient avec son idéogramme et les autres lettres.
L'alphabet hébreu est le révélateur des qualités et des degrés divins qu'il contient symboliquement.
" L'Alphabet Hébreu et sa Symbolique ", après avoir montré l'origine de l'alphabet hébreu et ses fondement mystiques, révèle les mystères de chaque lettre, à l'aide des textes fondamentaux de la Kabbale : Autioth de Rabbi Akiva, Séfer haBahir, Séfer haZohar, Séfer Yetsirah. Chaque lettre y fait l'objet d'une étude détaillée et très traditionnelle.
Tous les textes cités sont traduits par l'auteur.
Ce livre est un manuel indispensable pour tous ceux qui étudient la Kabbale, mais également pour ceux qui sont intéressés par le symbolisme et l'origine des alphabets.
Forte au début du XXe siècle de plus de 100 000 personnes, la communauté juive de Turquie ne représente plus aujourd'hui qu'un dixième de ce chiffre. Alors qu'elles voyaient nombre de leurs proches partir et qu'elles s'interrogeaient sur leur propre avenir, Rita Ender et Reysi Kamhi, toutes deux natives d'Istanbul, ont demandé à trente jeunes Juifs de Turquie de choisir un objet de famille et de leur en confier l'histoire. Au fil de ces conversations intimes, s'esquisse peu à peu la vie de communautés, de familles et de personnes qui se croisent sans jamais se confondre. Autant d'attitudes et de choix différents, marqués par les épreuves de la guerre et de l'émigration qui viennent plus d'une fois rompre la chaîne des générations. La question de la transmission n'en demeure pas moins vive, qu'elle s'éprouve sur le mode de la fidélité, de l'absence ou de la nostalgie. Entre attachement à une culture qui s'éteint - au premier rang de laquelle la langue judéo-espagnole - et attrait irrésistible de la modernité, les jeunes Juifs de Turquie se cherchent un avenir qui passe souvent par l'exil, mais aussi par la nécessité de préserver certains liens affectifs avec leurs racines. Cette tendresse et cette infinie compréhension, c'est surtout auprès de leurs grands-parents qu'ils l'éprouvent. Leur cuisine exprime mieux que les mots l'amour filial. C'est encore leur portrait qui apparaît en filigrane de chacun des objets de famille et qui les suit même après leur disparition. Si les jeunes Juifs de Turquie paraissent si étonnamment modernes, mobiles et créatifs, peut-être le doivent-ils à ces grands-parents, qui sans porter de jugement ont su leur transmettre leur confiance et leur art de vivre.
La disparition d'un être cher nous place brutalement dans l'urgence. En plein désarroi et chagrin, il nous faut assumer des décisions importantes et entreprendre des tâches déconcertantes : régler les modalités pratiques liées au décès, s'enquérir des coutumes relatives au deuil et décider de celles que l'on souhaite ou non observer. Mais que faut-il faire ? À qui faut-il s'adresser ? Comment agir dans le respect de la volonté du défunt ? Et comment manifester son affection et son soutien à des proches ou amis endeuillés ? La présente épître apporte des indications concises sur les us et coutumes de la Tradition juive, notamment sur les prières qu'il convient de réciter, et leur sens. Il propose aussi des informations pratiques telles que les procédures à suivre et les personnes à contacter lorsqu'un proche vient à mourir. Loin d'énoncer laconiquement les règles traditionnelles, elle prodigue des conseils adaptés aux endeuillés, sur ce qu'il leur est possible de faire quand ils ne se sentent pas en mesure d'appliquer les coutumes à la lettre. L'aspect psychologique et spirituel de l'accompagnement du malade ou de l'endeuillé, et de ses proches, y est largement pris en compte. Parmi les questions abordées : Doit-on informer un malade de la gravité de son état ? Que dire aux enfants ? Devraient-ils assister aux obsèques ? Qu'enseigne le judaïsme sur la vie après la mort ? Les femmes peuvent-elles réciter la prière du Kaddich pour un parent décédé ? Que dit la Tradition juive sur l'incinération ? Peut-on rendre les honneurs funèbres à une personne suicidée ? Que peut faire un membre juif pour partager le deuil de la famille non juive, et inversement ?Un guide qui offre des clés d'accompagnement spirituel et moral et aide au travail de deuil.
Ce livre Laisse mon Peuple apprendre du Rav Adin Éven-Israël, s'il est dans la lignée des nombreux autres ouvrages publiés en français, possède un caractère original : il se veut une invite personnelle à se retrouver, ni plus ni moins, en présence de « Rav Adin » (comme ses disciples aiment à l'appeler) dans toute son authenticité. Et pour l'accompagner au travers de sa pensée hors des sentiers battus, de ses prises de position, de ses confidences parfois personnelles ou de ses idées empreintes d'inspiration sur les fêtes juives. Ou encore pour assister à l'un de ses cours, que ce soit sur le livre de prières juives, sur le Talmud ou sur la pensée hassidique. Mais cet ouvrage témoigne avant tout de la soif jamais assouvie de Rav Adin, éducateur infatigable, à partager avec le plus grand nombre les trésors du judaïsme. Son secret espoir ? Puisse ce livre, comme tous les autres, avoir un profond impact sur le lecteur et ranimer la flamme enfouie au tréfonds de son être.
Si vous vous promenez dans Jérusalem, du côté de la toute nouvelle Place de la Musique dont il a mené le chantier de bout en bout, vous le croiserez sans doute. Haute silhouette massive, barbe faussement naissante, rire tonitruant, verbe vigoureux toujours teinté d'un fort accent picard et, sous la casquette vissée sur le crâne, des yeux pétillants de malice et d'étonnement. Yaacov Bendavid, aujourd'hui maître d'ouvrage de multiples projets de rénovation au coeur de Jérusalem et auteur de ce livre, a eu un parcours exceptionnel, une de ces âmes juives perdues que Dieu a fait naître dans un environnement totalement improbable. Son chemin a été long, très long, parsemé d'aventures, de chutes et de rencontres inouïes mais habité d'une quête absolue : Comment servir Dieu ?
Depuis l'âge de quatre ans, Yaacov, qui s'appelait alors Raymond, « cherche » Dieu. Il a tout essayé : les curés, les évangélistes, les missionnaires et les protestants, jusqu'à ce qu'un jour, à l'âge de vingt-huit ans, il pousse la porte d'une synagogue à Dunkerque. « Je ne suis pas venu au monde pour faire de la figuration, s'est-il toujours promis, jamais découragé. Je ne suis là que pour accomplir Sa volonté. » Et chacune de ses épreuves n'a fait que le renforcer dans sa quête spirituelle : « Être au service de Dieu, affirme-t-il, c'est ne rien espérer, ne rien revendiquer, c'est prendre ce que Dieu nous donne et dire merci. » Son parcours du combattant vers la conversion puis, au sein même du judaïsme, est retracé dans ce récit. Un « roman de vie » haletant et intrigant mais aussi l'exploration des tâtonnements d'un homme, Juif d'instinct, aspirant à une vie juive authentique. Son dialogue sans concessions avec Dieu, émaillé de réflexions sur son approche du judaïsme, parcourt ces pages d'un souffle puissant. « Quand les gens liront ce livre, ils y trouveront, je l'espère, une nouvelle vision du monde, une nouvelle vision de la vie ; ils aborderont ainsi tous les événements, de manière plus authentique et juste. »
Ce livre est tout entier consacré à l'approfondissement d'un point essentiel de la théologie du Père Gaston Fessard s.j. (1897-1978), à savoir la « dialectique du païen et du juif ».
Un nouveau discours s'impose dans le débat public qui annonce le « transhumain », le « post-humain », l'« homme augmenté », le « cyborg », en tout cas « la fin de l'humain », pour reprendrew le titre d'un livre.
Quelle est la nature de ce nouvel évangile, de ce nouveau « Grand récit » sur fond de tous les mondialismes et de tous les progressismes ? Quel est le sens de son apparition aujourd'hui ?
Puisqu'il promeut une refondation de l'humain, il nous intime la nécessité de revenir aux fondements, c'est-à-dire au Livre de la Genèse et à sa construction de l'humain, ne serait-ce que parce que les tenants de la déshumanisation objective de l'homme s'insurgent souvent contre son supposé enseignement, son naturalisme, son moralisme, son déterminisme...
Que recèle la philosophie du Livre de la Genèse face à ces enjeux et l'appel de l'infini qu'ils donnent à entendre ? Que pourrait recéler la Genèse d'inattendu, d'inédit pour le débat contemporain ?
" Les Portes de la Lumière " est une encyclopédie kabbalistique des Noms divins et une étude mettant en évidence l'intime liaison entretenue par les mots de la Bible et les Noms de Dieu.
L'auteur, Joseph Gikatila, dépouille les mots de leurs significations extérieures pour en révéler le Sod, l'herméneutique. Bien que la Kabbale soit une discipline ésotérique hermétique, Joseph Gikatila rend les concepts kabbalistiques accessibles et offre un travail clair, systématique et détaillé.
Ce livre est divisé en dix portes, ou chapitres, décrivant très précisément la manifestation dans le monde des dix Séfiroth, à travers les Noms divins qui leurs correspondent et leurs attributs révélés.
Dans le Kabbale des Portes de la Lumière, les aspects de Dieu émanent d'une hiérarchie entrelacée de dix Séfiroth connectées par des canaux qui peuvent être détériorés ou réparés par l'activité humaine. La lumière de chacune de ces Séfiroth, étant inconnaissable et inaccessible, doit s'envelopper de noms et d'attributs capables de la définir. Ainsi, une Séfirah s'enveloppe d'un Nom divin, qui lui-même impénétrable s'enveloppe d'attributs se contenant mutuellement et de surnoms, pour arriver finalement à de simples mots de la Bible.