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Apostrophe B
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France, 1695.
Les nouveau-nés disparaissent de Versailles à Fontainebleau...
Le sombre magicien Belaghus s'en nourrirait pour conserver sa jeunesse.
La marquise Blanche est enfermée dans la tour Grenat et découvre peu à peu pourquoi elle a été élevée à l'écart du monde...
Jeremias, un jeune meunier, hérite d'un chat aussi mystérieux que redoutable...
Le roi détient un secret honteux qu'il est incapable de dévoiler...
Et si tout avait un lien ?
Découvrez ce qu'on ne vous avait jamais dit sur un conte célèbre.
Bienvenue dans les Chroniques d'un Chat Botté... -
Dans cette deuxième partie, Solomon se retrouve prisonnier du manoir des Quatre-Vents, un lieu à la fois labyrinthique et oppressant, où les murs semblent murmurer des secrets enfouis. Il doit affronter des forces invisibles qui jouent avec son esprit et sa perception de la réalité. Son esprit cartésien, jusqu'alors ancré dans la rationalité, vacille face aux manifestations surnaturelles qui se multiplient, notamment la présence glaçante de la "dame noire", une figure mystérieuse qui surgit derrière chaque miroir, symbolisant la malédiction qui pèse sur le domaine.
Solomon découvre que cette malédiction est bien plus ancienne et profonde qu'il ne l'avait imaginé, remontant à des événements antérieurs à l'histoire de Darko et Melie. Le manoir lui-même semble être le coeur de ce mal, un lieu où passé et présent se superposent.
Parallèlement, le récit de Joséphine, une figure clé du passé de la famille, se révèle être la pièce manquante pour comprendre la véritable nature de la malédiction. Ce récit cache peut-être le secret pour la briser définitivement, mais encore faut-il que Solomon réussisse à démêler le vrai du faux et à accepter que certaines vérités dépassent la logique humaine. Entre ombres menaçantes et révélations anciennes, Solomon est à la croisée des chemins, avec la possibilité de sauver ou de condamner à jamais sa lignée.
« La deuxième partie de La Malédiction des Quatre Vents est un véritable tour de force. L'auteur intensifie l'atmosphère oppressante du manoir, plongeant Solomon dans une lutte à la fois physique et mentale contre des forces invisibles. La tension psychologique est magnifiquement maîtrisée, tandis que l'intrigue dévoile de nouveaux secrets, renforçant l'épaisseur du mystère. L'apparition de la "dame noire" et le rôle central du récit de Joséphine ajoutent une dimension captivante à l'histoire. Ce second volume combine habilement suspense, surnaturel et introspection, tenant le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page ». -
Haworth, hiver 1806.
Dans ce village perdu au milieu de la lande du Yorkshire, la statue du cimetière pleure des larmes de sang. Le pasteur Solomon est envoyé par l'évêque afin de mener l'enquête sur ces phénomènes étranges.
Dès son arrivée, Solomon remarque la froideur des habitants et l'implacable étendue de la lande, façonnée par les vents violents. Logeant au château de la jeune comtesse Cavendish, il lie rapidement amitié avec l'intendante, Josephine. Celle-ci finit par lui révéler que les larmes de la statue ne sont que les conséquences d'une ancienne malédiction.
Là-haut, sur la colline, s'élève le manoir de Quatre-Vents, propriété des Egerton, qu'on dit hanté. Le maitre des lieux, Darko, un gitan, est obsédé par le fantôme de celle qu'il a toujours aimée : Melie, sa soeur adoptive. Quelques dizaines d'années auparavant, Oscar Egerton avait adopté Darko, offrant ainsi un frère à ses deux enfants Alistair et Amelie. Si Alistair ne l'acceptera jamais, Melie finira par en tomber amoureuse.
Selon la rumeur, Darko, dont les origines sont inconnues, serait celui par qui la malédiction est arrivée. Tout éclate lorsqu'Amelie se retrouve promise à Alexander Cavendish ; dès lors, Darko et elle font le serment que rien ne les séparera. Dès ce moment, les deux familles se déchirent, Darko disparait, et Alistair force sa soeur à épouser Cavendish...
« La Malédiction des Quatre Vents est un roman en deux volumes qui envoûte dès les premières pages, tissant une toile d'angoisse autour d'une malédiction née d'une passion interdite. Inspiré de quarante chansons de Kate Bush et de Wuthering Heights d'Emily Brontë, ce récit fait résonner le souffle du vent sur la lande et nous fait bien ressentir l'oppression des murs de Quatre-Vents. L'amour tragique entre Darko et Melie déclenche une malédiction pesant sur la génération suivante, et c'est à travers le personnage de Solomon que la quête de vérité s'intensifie, poussant ce dernier à renier sa propre foi. L'ambiance gothique et les tensions intérieures des personnages captivent le lecteur, faisant de ce roman une expérience aussi viscérale que poétique ».