« Nous sommes trop nombreux sur terre ! », « La Chine est le grand responsable du réchauffement climatique ! », « Le nucléaire est une énergie propre ! », « Le numérique est écologique ! », « La technologie va nous sauver ! », « La décroissance, c'est le chômage pour tous ! », « L'écologie doit se situer au-delà des clivages politiques ! », etc.
Autant d'affirmations qui découlent parfois d'interrogations légitimes mais qui sont également propagées par des acteurs ayant intérêt à ce que rien ne change. Par conséquent, questionner ces mythologies écologiques et les déconstruire est un préalable si l'on veut que des mesures adéquates soient prises pour faire face à l'urgence de la situation. C'est l'ambition de cet ouvrage.
Et si la dette n'était pas le véritable problème ? Et si l'incapacité des gouvernements de subvenir aux besoins des citoyens ne venait pas d'un manque d'argent ? Et si on passait d'un récit de pénurie à un récit d'opportunité ? Stephanie Kelton pulvérise les idées reçues : elle affirme que non, l'État ne dépense pas trop ; non, la dette publique n'est pas insurmontable ; non, le déficit budgétaire n'affaiblit pas l'État ; non les prestations sociales ne sont pas financièrement insoutenables... En s'appuyant sur la théorie moderne de la monnaie, elle imagine de nouvelles politiques et une « véritable économie du peuple ».
Dans nos sociétés de contrôle, l'information est le moyen privilégié de surveiller, de normaliser et de donner des ordres. Les informations, molécules de la vie sociale, deviennent les sujets de l'existence, les véritables cibles des pouvoirs politiques et économiques. Avec le langage numérique, les subjectivités se trouvent enserrées dans un filet de normes de plus en plus denses et contraignantes. Les idéologies scientifiques viennent souvent légitimer ce « naturalisme économique » transformant le citoyen en sujet neuro-économique et son éducation en fuselage de ses compétences en vue des compétitions à venir.
Les fabriques de servitude mettent en esclavage les individus et les populations au nom de l'efficacité technique, de l'illusion d'un bonheur procuré par les algorithmes et la mondialisation marchande. Pour en sor-tir, il nous faut modifier nos habitus et nos habitudes, restaurer la force révolutionnaire du langage et de la métaphore, rétablir le pouvoir des fictions. Les ordres existants ont toujours haï les utopies, la puissance de leur imagination et de leurs expériences de pensée. L'utopie ne se réduit pas à un genre littéraire, à une rêverie politique d'un futur improbable, elle constitue une position éthique et politique, un style, un foyer de liberté.
Dans l'histoire des esclavages et des luttes sociales, les « marronnages », par la danse, le chant, le récit et le conte, ont été des voies d'émancipa-tion. Résister aux fabriques de nos servitudes par l'utopie est une nouvelle manière d'agir et de penser l'infini, le complexe, l'instable, le multiple, le divers que le vivant exige. Il y a urgence à détourner l'utile pour en faire du Beau, emmêler le vivant au Vrai et faire chuter sa majuscule pour que nos vies ne soient pas minuscules.
Ce livre remarquablement documenté - tant par ses idées et propositions que par les pratiques qui essaiment déjà dans certaines villes ou certains pays - dessine le monde tel qu'il devrait être pour répondre aux grandes crises sanitaires, climatiques, sociales, économiques ou psychiques. En ces temps de graves périls, il nous faut bifurquer : il n'y a pas d'alternative.
Arrêtons de nous mentir. Alors que le cirque des élections consacre notre impuissance à changer le cours des choses, le mur de la réalité ne cesse de nous rattraper : explosion des inégalités, réchauffement climatique, restriction des libertés. Nous ne pouvons être heureux dans une société gangrénée par la pauvreté, l'insécurité et la peur du déclassement. Crier sa colère dans la rue ne suffit plus, il faut s'armer intellectuellement. Il nous faut maîtriser les bases en matière économique, pour ne plus être en proie aux manipulations et aux mensonges. Ce livre donne des clés de compréhension du système politique pour élever les consciences et, ensemble, reprendre le pouvoir.
Six ans après le succès français et européen des deux premiers volumes des Mythologies économiques, Éloi Laurent reprend son travail de désintoxication économique, à un moment crucial pour le débat démocratique. Dans ce nouvel opus, quinze mythologies économiques sont démystifiées, parmi lesquelles : « La responsabilité individuelle est la clé de la prospérité collective » ; « Sans croissance, il n'y a pas d'Etat providence » ; « Les Français comme les Européens sont devenus réactionnaires » ; « L'Etat régalien est le coeur du projet républicain » ; « Le Covid prouve que la technologie soutenue par la finance va nous sauver des crises écologiques » ; « On peut réussir la transition écologique sans sobriété »..
Ces derniers mois, la moitié des gouvernements de la planète faisaient le choix de préférer la santé de leurs populations à la croissance de leurs économies faute d'avoir pris soin de la vitalité de leurs écosystèmes. La leçon est implacable : détruire la Nature est un suicide social et accessoirement une folie économique dont nous n'avons pas les moyens. Ce livre soutient que l'espérance de vie et la pleine santé doivent désormais devenir nos boussoles communes dans ce nouveau siècle.
La société dans laquelle nous vivons est traversée par des crises économiques, sociales et écologiques qui se co-déterminent et s'en tremêlent. La crise sanitaire n'a fait que rendre encore plus visibles la fragilité des systèmes de production et la direction insoutenable de nos économies. Mais comment bifurquer démocratiquement vers une société plus écologique et solidaire ?
Estimant qu'il est nécessaire de lier question climatique, exigence d'égalité sociale et lutte contre toutes les dominations, Attac s'associe cette fois-ci à plusieurs acteurs et actrices qui militent et travaillent sur les enjeux climatiques dans ce nouveau livre qui s'adresse à ceux et celles qui veulent changer le monde. Ils entendent ainsi structurer la volonté de développer des mouvements pour la justice climatique porteurs d'une solidarité internationale, sans s'en remettre aux forces politiques dominantes ; ou encore le besoin d'articuler les différentes échelles de l'action, de lier les luttes contre la destruction du monde à l'émergence d'alternatives ancrées dans les territoires.
Le capitalisme, tout le monde en parle, mais qu'est-il au juste ? Plus qu'un système économique, il est une forme d'organisation de la société, un aménagement des liens sociaux et une culture collective, en bref, une civilisation au sens que Norbert Elias donne à ce mot, c'est-à-dire une manière de policer les moeurs et les comportements dans laquelle les rapports économiques jouent un rôle déterminant.
Après les précédentes synthèses sur le sujet, Pierre-Yves Gomez le revisite dans un contexte de postmondialisation et d'incertitude écologique. Il expose la logique du capitalisme en la comparant avec celle d'autres civilisations et montre en particulier l'importance que joue l'État-nation dans son fonctionnement, la place ambiguë du « marché », le rapport à la nature qu'il impose et combien la recherche du profit constitue un fait social total qui explique sa dynamique.
Voici une analyse structuraliste neutre qui permettra au lecteur de se faire son opinion sur le fonctionnement et l'avenir du capitalisme.
Comment peut-on être protectionniste ? Pour le discours économique dominant, c'est le libre-échange qui a apporté la prospérité générale, la paix internationale et le bonheur des peuples. Mais ce discours n'entretient-il pas sciemment la confusion entre autarcie et protectionnisme, surtout si l'on envisage celui-ci comme une forme de régulation, à l'image des écluses régulant le cours d'un fleuve ?
Le retour du protectionnisme est aujourd'hui une évidence. Il a une histoire, qui remonte à la naissance de l'économie politique « classique ». Parmi ses principaux théoriciens : Georg Friedrich List (1789-1846) ou encore Henry Charles Carey (1793-1879). Or, le protectionnisme peut-il réellement avoir de l'avenir dans un monde ouvert et globalisé ?
C'est ce que Jacques Sapir explore dans cet ouvrage. Sans être exhaustif mais avec un grand souci de clarté, il donne une vue fidèle du déploiement de la pensée protectionniste et des arguments qui plaident en sa faveur. Ce faisant, il déconstruit quelques idées reçues bien ancrées et prouve notamment que c'est le protectionnisme, et non le libre-échange, qui est à l'origine de la croissance économique...
Le pouvoir d'achat en France va-t-il encore baisser ? Les impôts vont-ils encore augmenter ? Dans quelle mesure les nouveaux accords de libre-échange (CETA, etc.) sont-ils avantageux ? Quels sont les effets de la pandémie de Covid-19 sur l'économie mondiale ? L'économie est omniprésente dans nos vies, depuis notre sac de courses jusqu'aux grandes décisions internationales que les médias tentent de décortiquer pour nous. Pourtant, pour beaucoup, elle reste assimilée à une science dure et incompréhensible. Clairement et simplement, ce livre débarrasse de son jargon une science (très) humaine et la rend passionnante !
Découvrez :
Les grandes théories économiques ;
Le rôle de la monnaie ;
Les crises économiques ;
Les idées reçues sur l'économie ;
Les grands débats économiques ;
Le rôle de l'État ;
« Nous gérons notre économie comme une personne d'un mètre quatre-vingts qui se déplace courbée en deux en permanence sous un plafond qui est à deux mètres cinquante, parce qu'on l'a convaincue que, si elle tentait de se redresser, elle subirait un terrible traumatisme crânien. » De nombreuses convictions se sont enracinées dans l'imaginaire collectif au sujet de la question du déficit. Stephanie Kelton déconstruit l'idée que les États doivent tenir leurs budgets comme des ménages, que le déficit prouve que l'État dépense trop, que la dette publique est insurmontable, que les déficits de l'État évincent l'investissement économique ou que les programmes de prestation sociale sont financièrement insoutenables... Elle démontre au contraire avec brio que le déficit budgétaire n'appauvrit pas l'État, que la dette n'est pas un fardeau et que le juste niveau de dépense publique s'évalue à partir du taux d'inflation et du niveau réel des ressources.
Cette exploration modifie profondément notre compréhension de nombreuses questions cruciales : la pauvreté, l'inégalité, la création d'emplois, l'extension des systèmes de santé ou le changement climatique. Car aujourd'hui toute proposition ambitieuse se heurte inévitablement à la forteresse inexpugnable de la question du déficit. Stephanie Kelton propose donc d'imaginer de nouvelles politiques pour passer du récit du manque à celui de la possibilité...
Lorsque nous réfléchissons aux façons de réduire notre impact sur l'environnement, il en est une, imbriquée dans notre vie de tous les jours, à laquelle nous ne pensons pas, mais qui représente à notre insu le tout premier levier dont nous disposons pour réorienter l'économie et limiter notre impact sur la planète : nos comptes bancaires ! Cet ouvrage nous permet de mieux conscientiser l'impact colossal de ce qui nous semble aussi anodin qu'un petit compte d'épargne et nous donne les clés pour choisir un autre rapport au monde bancaire et soutenir, via d'autres acteurs du secteur, souvent méconnus, une économie à visage humain, respectueuse de notre environnement.
Michael Heinrich reconstruit avec pédagogie et méthode la logique d´ensemble des trois livres du Capital, démarche unique dans les introductions à cette oeuvre protéiforme. Fin connaisseur autant du texte que des innombrables débats qui l´entourent, l´auteur réussit l´exercice difficile d´exposer ce que dit Marx en même temps que les thèses de l´économie classique et contemporaine ou les simplifications qui ont pu en être fait. Élaboré autour d´entrées thématiques (État, finance, monnaie, travail, etc.) qui suivent la logique du développement, l´ouvrage donne les clés essentielles permettant de penser le capitalisme et ce que pourrait être une société par-delà la marchandise, la monnaie et l´État.
Dans la lignée du "Manifeste de la grande transition", cet ouvrage propose de réfléchir la transition au sein des campus. Cette "tra nsformation des campus" concerne autant la question de la rénovation thermique des bâtiments que celle de l'évolution des maquettes pédagogiques. Le campus est sans aucun doute l'endroit où se construit l'avenir et donc où se joue et où s'accélère aujourd'hui la transformation sociale et écologique de nos sociétés. Avec Pédagogie (tp), cet ouvrage s'inscrit dans la collection des Petits manuels de la Transition publiée dans le sillage du "Manuel de la Grande Transition" et qui ont à coeur d'approfondir les enjeux clés des transitions écologique, économique, sociale et culturelle.
Récessions, inflation, chômage, krach financier, crise de l'euro... Face à ces déséquilibres, que peuvent faire les gouvernements ? Quels objectifs guident leur action ? Comment fonctionnent les divers moyens d'intervention et à quelles conditions sont-ils efficaces ? Telles sont les questions abordées dans ce livre. Cette nouvelle édition entièrement actualisée introduit de nombreux schémas commentés pour décrire la chaîne complète des effets associée à chaque instrument d'intervention ; elle éclaire les débats contemporains (austérité ou relance, politique de l'offre ou de la demande, euro ou monnaie nationale...) et permet de comprendre pourquoi la conduite d'une politique économique est confrontée à des dilemmes spécifiques dans la zone euro.
D'un bout à l'autre de la planète, la montée du poids des dettes, qu'il s'agisse de celles des États, des ménages ou des entreprises, inquiète. En même temps, savoir que les ménages épargnent et que leur patrimoine augmente rassure. Pourtant, si personne ne s'endette, personne non plus ne pourra mettre d'argent de côté : dans une économie marchande, les fourmis ont besoin des cigales ! Source de risques, régulièrement à l'origine de crises, la dette est indispensable à l'expansion de l'activité d'une économie dont les agents ne dépensent pas tout leur revenu. Ce trait paradoxal de la dette amène à répondre autrement aux interrogations récurrentes sur les limites de la dette publique. Tant que les ménages souhaitent épargner plus que les agents privés n'empruntent, nos États peuvent et doivent continuer de s'endetter. S'ils utilisent à bon escient les sommes qu'ils mobilisent, ils ne feront pas faillite...
L'information économique est omniprésente dans nos sociétés, mais elle laisse souvent ceux qui y sont confrontés totalement désorientés. Entre les théories, les théorèmes, les lois économiques, ou encore les courbes de croissance et de décroissance, pas facile de s'y retrouver ! En 50 notions claires et concises, Michel Musolino fait la lumière sur les aspects les plus obscurs de l'économie, et décortique la pensée des plus grands théoriciens (John Maynard Keynes, Karl Marx, Adam Smith, etc.).
50 notions dont :
- La loi de l'offre et de la demande ;
- Les théories de l'inflation ;
- Le libéralisme ;
- La théorie malthusienne ;
- Le keynésianisme ;
«Imagine Demain le monde» est un magazine qui traite de sujets liés à l'écologie, aux questions de société ou aux rapports Nord-Sud. Il s'inscrit dans le courant « slow press » et porte un regard libre et non conformiste sur le monde d'aujourd'hui et de demain. Il propose une information à la fois innovante et critique, qui explore les voies d'un autre modèle de développement et cherche des alternatives positives pour répondre aux grandes questions de société... Les Liens qui libèrent et la diffusion Actes Sud reprennent ce magazine bimestriel qui défend un journalisme audacieux et constructif et qui s'attache à prendre le temps d'analyser les métamorphoses de notre temps.
L'inégalité est-elle pour l'essentiel la conséquence de la concentration du capital dans quelques mains, auquel cas la taxation et la redistribution du capital pourraient y mettre fin ? L'inégalité des salaires reflète-t-elle à peu près le jeu de l'offre et de la demande pour différents types de travail ? L'inégalité se transmet-elle principalement au niveau familial ? L'augmentation des dépenses d'éducation peut-elle diminuer de façon décisive l'inégalité des chances ? Les prélèvements sur les revenus élevés ont-ils atteint un niveau où toute redistribution supplémentaire réduirait dangereusement l'incitation au travail, ou ces effets sont-ils d'une ampleur négligeable ? Les systèmes modernes de prélèvements et de transferts assurent-ils une redistribution appréciable, ou est-il opportun de les réformer largement ?L'inégalité est-elle pour l'essentiel la conséquence de la concentration du capital dans quelques mains, auquel cas la taxation et la redistribution du capital pourraient y mettre fin ? L'inégalité des salaires reflète-t-elle à peu près le jeu de l'offre et de la demande pour différents types de travail ? L'inégalité se transmet-elle principalement au niveau familial ? L'augmentation des dépenses d'éducation peut-elle diminuer de façon décisive l'inégalité des chances ? Les prélèvements sur les revenus élevés ont-ils atteint un niveau où toute redistribution supplémentaire réduirait dangereusement l'incitation au travail, ou ces effets sont-ils d'une ampleur négligeable ? Les systèmes modernes de prélèvements et de transferts assurent-ils une redistribution appréciable, ou est-il opportun de les réformer largement ?
En utilisant les théories économiques, y compris les plus récentes, pour répondre à ce type de questions, ce livre remet en cause bon nombre d'idées reçues et contribue à des débats dont les enjeux sont essentiels.
Dans les pays les plus avancés, le progrès social est en panne. Face à la montée presque générale des inégalités, face à la stagnation des revenus d'une large partie de leurs populations, face aussi aux dommages de plus en plus visibles causés à la planète par leur développement passé, ce constat s'impose. En attribuer la faute au capitalisme, sur lequel ce développement s'est fondé, serait pourtant une erreur : il n'est pas plus responsable de la panne actuelle qu'il ne l'a été hier des progrès accomplis.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les populations occidentales ont connu une amélioration, profonde et largement partagée, de leurs conditions de vie, parce que, au terme d'une longue et tumultueuse histoire, elles ont réussi à maîtriser la force productive du capitalisme. Les années 1980 ont toutefois été celles du triomphe de l'idéologie libérale : face à la mondialisation et aux changements techniques qui s'esquissent alors, les sociétés occidentales auraient dû redoubler d'efforts pour rester dans un rapport de forces favorable avec le capitalisme. Elles ont préféré laisser faire. Après quarante ans de dérive, est-il trop tard pour reprendre la barre ?
Cet ouvrage se propose de présenter de façon synthétique les notions clés et les principaux outils permettant de donner du sens à l'information chiffrée recueillie sur un phénomène et d'être ainsi en capacité de comprendre, expliquer et prévoir.
Chaque fiche présente et explique les notions clés et comporte des exercices entièrement corrigés élaborés à partir d'exemples d'application concrète. Des points de méthode sont également proposés et résument la manière dont il convient d'utiliser les outils présentés dans la résolution d'un problème donné.
Sujets traités : les distributions à un et à deux caractère(s), les indices (élémentaires et synthétiques) et les séries temporelles (tendance, CVS) et, pour les probabilités, conditionnement et dépendance, variables aléatoires (discrètes, continues), lois de probabilité usuelles.
Découvrez avec ce En poche les principales formules pour réussir vos calculs financiers.
Ce livre présente en 10 fiches les points clés des mathématiques financières :
. Rappels mathématiques.
. Les suites.
. Les intérêts simples et l'escompte.
. Les intérêts composés.
. Les suites d'annuités.
. Les emprunts indivis.
. Les emprunts obligataires.
. La valeur des actions.
. Les rentes.
. Les projets d'investissement.