De 1983 à 1985, Jean-Michel Basquiat (1960-1988) et Andy Warhol (1928-1987) signent environ 160 toiles «à quatre mains», dont certaines parmi les plus grandes de leurs carrières respectives.Basquiat admirait Warhol comme un personnage-clé du monde de l'art, initiateur d'un langage inédit et d'un rapport original à la culture populaire. En retour, Warhol a trouvé chez Basquiat un intérêt renouvelé pour la peinture. Avec lui, il a recommencé à peindre manuellement, au pinceau. Un véritable dialogue visuel s'est installé entre eux, jusqu'à la création d'oeuvres portant leurs deux noms.Accompagnant l'exposition «Basquiat x Warhol, à quatre mains», l'ouvrage revient sur cette aventure à travers textes et images. Il réunit des toiles emblématiques du duo, des travaux individuels et des réalisations d'autres personnalités, tels Michael Halsband, Keith Haring, Jenny Holzer, Lady Pink, Kenny Scharf..., afin de resituer cet épisode dans la scène artistique new-yorkaise des années 1980.
Traduit en plus de 30 langues et publié en divers formats et éditions, Histoire de l'art est l'un des livres sur l'art les plus connus et un best-seller mondial, avec plus de 8 millions d'exemplaires vendus. Dans ce chef-d'oeuvre de clarté et de concision, l'auteur nous livre une introduction parfaite à l'ensemble du sujet, des peintures rupestres à l'art d'aujourd'hui. Cette édition de luxe va confirmer le succès de ce titre auprès des amateurs d'art et devenir un ouvrage de référence pour les générations futures.
- Dans le monde de l'art, Ernst Gombrich jouit d'une popularité incontestée, auprès des spécialistes comme du grand public. Né à Vienne, il s'installe à Londres en 1936 pour travailler au Warburg Institute, dont il sera le directeur de 1959 jusqu'à sa retraite en 1976. Il a obtenu de nombreuses distinctions internationales, dont un titre de noblesse et l'Ordre du Mérite, et s'est vu décerner les prestigieux prix Goethe, Hegel et Erasmus.
Une édition de luxe de l'ouvrage d'histoire de l'art qui fait autorité dans le monde entier, écrit par l'un des plus éminents historiens d'art du xxe siècle.
- Présentée sous coffret, cette élégante édition pleine toile rend un vibrant hommage au texte classique d'Ernst Gombrich.
- Best-seller mondial depuis un demi-siècle, traduit en plus de 30 langues et vendu à plus de 8 millions d'exemplaires.
- Présente l'histoire de l'art comme « un enchaînement ininterrompu de traditions vivantes qui relie l'art de notre temps à celui de l'âge des pyramides. » - Le cadeau idéal pour les collectionneurs et les amateurs d'art ainsi que pour les millions d'étudiants en arts plastiques qui ont connu l'édition originale.
Album d'images de batiments abandonnés à travers le monde. Une sélection des meilleures photos de la célébre série Abandonned places. Fascinant et surprenant. Finition luxe sous toile de lin.
«Il y a une bête au Tibet que je poursuis depuis six ans, dit Munier.Elle vit sur les plateaux. Il faut de longues approches pour l'apercevoir.J'y retourne cet hiver, viens avec moi.- Qui est-ce ?- La panthère des neiges, dit-il.- Je pensais qu'elle avait disparu, dis-je.- C'est ce qu'elle fait croire.»
Gallimard/Philharmonie de Paris/Musée des beaux-arts de Montréal
Écrivain, vedette de music-hall, journaliste, première femme à recevoir en France des funérailles nationales... Les différentes facettes de la vie de Colette témoignent de son goût personnel pour l'alliance de contraires qui chez elle n'en sont pas. C'est le fil de cette vie riche et intense que tire Emmanuelle Lambert dans un portrait littéraire illustré par les photographies d'Henri Cartier-Bresson, Robert Doisneau, Gisèle Freund, Lee Miller et Irving Penn entre autres. Elle nous y invite à relire l'oeuvre et la vie d'une icône, l'une des plus grandes stylistes du siècle dernier.
Design, architecture, photographie... Il est impossible de restreindre le travail de Charlotte Perriand à un seul domaine d'expression. Au-delà d'une recherche esthétique, c'est une réflexion politique qu'elle développe dans l'ensemble de ses travaux en cherchant à rendre accessible au plus grand nombre un véritable art de vivre.Laure Adler livre ici le portrait d'une femme libre, engagée et visionnaire, illustré par de nombreuses photographies issues des archives de la créatrice.
Cinéaste et cinéphile, Bertrand Tavernier est l'auteur d'une filmographie riche et éclectique. À travers quinze témoignages inédits d'artistes et de proches du réalisateur, enrichis d'images et d'extraits de films, Laurent Delmas présente les grands thèmes qui traversent son oeuvre : les pères, les héroïnes, la guerre, la musique et les chansons, les faits divers, l'Histoire, les adaptations, l'engagement et la cinéphilie. Dans le prolongement de la série documentaire «Tavernier, le cinéma et rien d'autre» sur France Inter, on découvre un cinéaste à la fois ancré dans son époque et imprégné d'une tradition cinématographique française qui fait la part belle aux histoires, aux scénarios, aux dialogues et aux acteurs.Avec Stéphane Audoin-Rouzeau, Nathalie Baye, Luc Béraud, Christophe Blain, Thierry Frémaux, Julie Gayet, Xavier Giannoli, Marie Gillain, Laurent Heynemann, Isabelle Huppert, Stéphane Lerouge, Raphaël Personnaz, Philippe Sarde, Mélanie Thierry et Philippe Torreton.
Une édition minutieusement révisée de cet ouvrage exceptionnel, avec une nouvelle maquette qui en facilite la lecture.
Ce précieux ouvrage présente une collection extrêmement complète d'oeuvres d'art venues du monde entier. Elle invite le lecteur à s'aventurer dans un gigantesque musée sans être contraint par l'espace et le temps, à faire le tour du monde et des époques et à découvrir la variété infinie de la création artistique. Il trouvera dans ses salles quelque 1 200 oeuvres de toutes disciplines : peintures, sculptures, photographies, tissus, installations, performances, estampes, vidéos, céramiques, bijoux et oeuvres sur métal.
Vingt-huit conservateurs, artistes, critiques et historiens de l'art se sont associés pour créer ce musée dédié à tous les amateurs d'art. Ils sont rattachés à des institutions telles que le Metropolitan Museum of Art de New York, le British Museum de Londres, le Museum of Fine Art de Boston, le J. Paul Getty Museum de Malibu, l'University of California à Berkeley, la School of African and Oriental Studies de Londres ou encore le Courtauld Institute of Art de Londres.
Il s'agit du troisième volume de la série à succès consacrée à l'histoire culturelle des animaux, dans lequel, à travers 80 illustrations et un plan la fois chronologique et thématique, Michel Pastoureau retrace l'histoire symbolique, littéraire, lexicale et artistique d'un animal, en l'occurrence ici celle du corbeau, qui tout à la fois intrigue, fascine ou terrifie. Oiseau noir, célébré par toutes les mythologies, le corbeau européen ne cesse de se dévaloriser au fil des siècles. Si l'Antiquité gréco-romaine loue sa sagesse, son intelligence, sa mémoire, le christianisme médiéval à sa suite le rejette violemment : c'est un oiseau impie qui occupe une place de choix dans le bestiaire du Diable, symbolisant l'incarnation du démon et de toutes les forces du mal. À l'époque moderne, la symbolique du corbeau continue de se dévaloriser, comme l'attestent les fables, les proverbes, les faits de langue et de lexique. Il reste un animal au cri lugubre, un oiseau noir de mauvais augure et devient même, dans un sens figuré, un dénonciateur, un auteur de lettres anonymes. On en a peur car il a partie liée avec l'hiver, la désolation et la mort. De nos jours, cependant, le corbeau semble prendre sa revanche : les enquêtes les plus récentes sur l'intelligence animale montrent que non seulement il est le plus sagace de tous les oiseaux mais qu'il est probablement aussi le plus intelligent de tous.
Le Musée Jacquemart-André met à l'honneur en mars 2023 l'oeuvre du peintre Giovanni Bellini, père de la peinture vénitienne, ayant ouvert la voie à cet art de la couleur et du ton qui fit la gloire de la Sérénissime. Ce catalogue d'exposition entend démontrer à travers environ une cinquantaine d'oeuvres (peintures, dessins, sculptures) comment Giovanni Bellini s'est à la fois ouvert à de nombreuses influences tout en conservant une part indéniable d'originalité. A la recherche constante de nouveaux modèles à imiter - voire à dépasser - Bellini réussit en effet à conjuguer son influence de la période byzantine, de l'art du nord de l'Europe et de la sculpture antique et moderne avec un appel prégnant du renouveau.
Réparties selon un ordre thématico-chronologique, les oeuvres de Giovanni Bellini constitueront le fil rouge de l'exposition, tout en étant à chaque fois mises en dialogue avec les « modèles » qui les ont inspirées.
Ce livre est habité par la rencontre de et avec Soulages. Ses rencontres ont marqué à jamais sa vision de l'art : d'abord avec l'archéologie et l'art pariétal, ensuite avec Conques et l'art roman, enfin avec l'abstraction pendant la Seconde Guerre mondiale. Ses grandes rencontres des années 1950-1960, avec Picabia, Hartung, Atlan, Senghor, puis autour de Conques avec Georges Duby et Jacques Le Goff, sont aussi des moments phares de son oeuvre, comme l'est sa rencontre avec le Japon. Michaël de Saint-Cheron et Matthieu Séguéla tracent ici un triangle d'or entre l'art de Soulages, l'Afrique noire et le pays du Soleil levant. Ce livre analyse l'outrenoir à travers une double approche novatrice confrontée à l'histoire du xxe siècle et au dialogue des cultures et des arts.
Ce beau livre rassemble les grands dessins que Joann Sfar publie dans Paris Match. Des scènes aquarellées qui reflètent l'air du temps - un temps marqué par le Covid, mais pas seulement. Parisiens masqués et confinés, rues désertées, commerces, restaurants et cafés... En se glissant dans la tête de ses congénères et de leurs animaux de compagnie, l'auteur livre avec beaucoup d'humour et un brin de cynisme un instantané de notre société - l'image de notre rapport au monde.
Cette peintre étatsunienne méconnue en France a développé une oeuvre picturale très originale focalisée sur le monde végétal et les fleurs en particulier. Un nouvel engouement pour son travail se fait jour, pour preuve le succès incroyable de l'exposition temporaire que le Centre Pompidou lui a consacré en 2021. Dans la lignée de son remarqué "Apprendre à voir" (5 800 ventes - lauréat de la première édition du Prix de l'essai EcoloObs décerné ce 9 mai), l'historienne de l'art et naturaliste Estelle Zhong Mengual explique comment et pourquoi ces oeuvres nous donnent à voir les fleurs comme on ne les avait jamais vues et renouvellent profondément notre rapport à elles et, plus largement, au monde vivant.
Georgia O'Keeffe est l'une des plus grandes figures de l'art nord-américain du XXe siècle, amazone de l'art contemporain, artiste ho rs normes. Pour Estelle Zhong Mengual, Georgia O'Keeffe, qui peint les fleurs comme si elle zoomait avec un appareil photo, nous invite à changer de focale, et à faire l'expérience de la beauté du monde du point de vue d'une abeille ou d'un colibri.
Ernest Pignon-Ernest est né à Nice en 1942. Depuis 1966, il fait de la rue le lieu même d'un art éphémère qui en exalte la mémoire, les évènements ou les mythes. Il a ainsi préfiguré nombre d'expériences artistiques sollicitant l'espace du dehors.
Par la facture puissante, comme intemporelle, de ses images et l'acuité de leur inscription dans le réel (choix signifiant des sites et du moment), les interventions d'Ernest Pignon-Ernest métamorphosent les lieux en espaces plastiques, poétiques, fictionnels, réminiscents, jusqu'à faire de ces lieux et du temps l'oeuvre même.
Du Chili à Soweto, d'Alger à Naples, de Charleville à Paris, la confrontation des drames de notre temps comme l'exploration de destins individuels en rupture de norme ou de mythe à raviver font prendre à l'artiste un risque chaque fois inédit, celui-là même qui hantait Rimbaud quand il s'acharnait à trouver le lieu et la formule.
Cet ouvrage invite à un retour sur l'ensemble de l'oeuvre, tout en mettant l'accent sur les interventions récentes de l'artiste, de la restitution des extases des grandes mystiques (2008) aux évocations des fantômes de la prison Saint-Paul à Lyon (2012), en passant par un parcours sur les traces du poète palestinien Mahmoud Darwich à Ramallah (2009).
C'est aux dernières pages du Temps retrouvé que le narrateur d'À la recherche du temps perdu prend la décision d'écrire. Lui viennent alors à l'esprit deux modèles de l'oeuvre à venir : «car, épinglant ici un feuillet supplémentaire, je bâtirais mon livre, je n'ose pas dire ambitieusement comme une cathédrale, mais tout simplement comme une robe». La vision de l'écrivain au travail dans ses manuscrits s'impose aussitôt au lecteur.Ce catalogue en forme d'abécédaire, né sur le terreau de l'exceptionnel fonds Proust de la Bibliothèque nationale de France et nourri des trésors conservés dans plusieurs musées et collections particulières, explore la démarche créatrice de l'écrivain, de la célèbre première phrase «Longtemps, je me suis couché de bonne heure» au mot «Fin» - début et aboutissement dont Proust rappelle volontiers qu'ils furent écrits ensemble.
L'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, « plus vrai que la Nature elle-même » (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles, d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de force ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide. Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait même. C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise. Riche de sa double culture, François Cheng nous donne les clés d'appréhension et de lecture de la peinture chinoise en la confrontant à notre tradition artistique occidentale.
L'historien et théoricien de l'art D. Arasse envisage le rôle que jouent les détails des tableaux et leurs statuts dans la peinture européenne des débuts de la Renaissance à la fin de l'impressionnisme.
La première présentation complète des collections femme de Versace depuis les débuts de Gianni Versace, en 1978, à travers les images originales des défilés.
Symbole de glamour et de luxe dans le monde entier, la petite maison familiale fondée par Gianni Versace est devenue, au fil du temps, l'un des empires de la mode les plus puissants. Après l'assassinat de Gianni, en 1997, sa soeur Donatella prend sa suite. La nouvelle directrice artistique passe avec succès le cap du XXIe siècle et ne cesse, depuis, d'écrire la légende d'une marque admirée par un public toujours plus nombreux. L'ouvrage retrace l'épopée de cette maison de mode audacieuse et flamboyante. Introduction, biographies et notices des collections sont signées du journaliste de mode Tim Blanks.
Avec plus de 1200 photographies emblématiques, ce trésor d'inspirations est une référence indispensable pour les professionnels de la mode et les admirateurs de Versace.
Le 12 février 1947, une jeune maison portant le nom de son fondateur, Christian Dior, présente une collection de haute couture printemps-été dans un Paris encore en proie au froid hivernal. Les créations défilent dans un salon fraîchement peint en gris tourterelle au 30 avenue Montaigne, adresse historique, mythique. C'est la nouveauté que Dior symbolise pour la mode en général, et pour Paris en particulier. Ces codes, ce langage visuel ont fasciné les nombreux successeurs du couturier : Yves Saint Laurent, Marc Bohan, Gianfranco Ferré, mais surtout John Galliano, et depuis 2017 Maria Grazia Chiuri. Leur tâche a été, saison après saison, de trouver une nouvelle voix à travers le vocabulaire de Dior.
Témoins privilégiés des événements de ces dernières décennies, le dessinateur Plantu et le photographe Reza ont imaginé près de quatre-vingts oeuvres, associant les dessins de l'un aux clichés de l'autre. Ces créations, commentées par les deux artistes, sont ici réunies pour la première fois.Parmi les thématiques abordées, on retrouve les sujets chers aux deux artistes : les droits des femmes et des enfants, l'environnement, les bouleversements du monde, les enjeuux de pouvpoir et, bien sûr, la défense de la liberté d'expression.En ouverture, un texte de l'écrivain et critique d'art Pierre Bongiovanni présente le travail unique de ces deux fins observateurs et fervent pacifistes.
La premie`re re´trospective des collections de pre^t-a`-porter femme Prada, de 1988 a` nos jours, a` travers les images originales des de´file´s. Maison de maroquinerie de luxe fonde´e en 1913 a` Milan, Prada entre dans une e`re nouvelle en 1979, avec l'arrive´e de Miuccia Prada a` la te^te de l'entreprise familiale. Apre`s s'e^tre concentre´e sur les accessoires, la cre´atrice pre´sente sa premie`re collection de mode en 1988 : elle fera rapidement de Prada l'une des marques de luxe les plus innovantes gra^ce a` sa conception extre^mement personnelle, raffine´e et discre`tement subversive de la mode. Ce´le´brant plus de trente ans de cre´ation, cette anthologie re´unit l'inte´grale des de´file´s de pre^t-a`-porter. Susannah Frankel, journaliste de mode, en livre une analyse e´rudite, brossant le portrait d'une cre´atrice hors norme et l'histoire d'une maison de couture parmi les plus influentes au monde. Avec plus de 1 300 photographies emble´matiques, ce tre´sor d'inspirations est une re´fe´rence indispensable pour les professionnels de la mode et les admirateurs de Prada.
Cinq siècles de créativité féminine révélés par plus de 400 oeuvres d'arts fascinantes réunies dans un ouvrage de référence.
Cet ouvrage est le plus complet et le plus illustré jamais publié sur les femmes artistes. 400 Femmes artistes reflète une époque où l'art réalisé par les femmes occupe une place plus importante que jamais. Dans les musées, les galeries et sur le marché de l'art, les artistes d'hier et d'aujourd'hui, jusque-là négligées, sont enfin reconnues et appréciées à leur juste valeur. Présentant plus de 400 artistes, chacune à travers une de ses oeuvres clé et un court texte, ce volume essentiel dévoile une histoire parallèle, mais tout aussi fascinante de l'art sur une période caractérisée par une immense diversité d'expressions.