Sujet très délaissé dans la littérature historique française, la vieillesse en Gaule entre le Ier siècle avant J.-C. et le Ve s. après J.-C., méritait une étude complète.
Cette recherche est fondée sur l'archéologie, les représentations figurées, quelques rares textes littéraires et surtout les inscriptions mentionnant l'âge au décès.
En Gaule romaine, comme dans tout le monde antique, il n'y avait pas « d'âge légal » pour la vieillesse, qui était probablement une étape de la vie beaucoup moins individualisée que de nos jours.
Trois approches ont été envisagées : la différence entre les sexes, la perception de l'âge, la situation juridique et sociale. Hommes et femmes suivent le même chemin vers la vieillesse, mais ils ne sont pas jugés en fonction des mêmes critères. On était vieux lorsqu'on avait l'apparence et la mentalité d'un vieux. Sauf peut-être chez les notables, il semble clair qu'il était préférable d'être un vieil homme qu'une vieille femme.
Moins nombreux proportionnellement dans la population que de nos jours, les vieux n'étaient pas systématiquement exclus de la vie active, loin de là ! Comme il n'existait pas de système de retraite, dans les couches laborieuses la plupart de ceux qui le pouvaient devaient continuer à gagner leur vie en dépit de leurs problèmes physiques.
Dans ce premier recueil de photos, Heidi et Nicolas évoquent les îles visitées autour du monde pendant leur voyage en voilier s'étalant sur neuf années. Le présent ouvrage retient une sélection de 80 d'entre elles, regroupées par océan, et repérées sur la carte de leur parcours. Ils nous font ainsi voyager de l'Europe du Nord à la Terre de Feu, et de l'immense Pacifique aux Mascareignes. Illustrant le grandiose ou le pittoresque qui a fait la renommée de certaines îles célèbres, ils nous font par ailleurs découvrir d'autres destinations plus secrètes. Avec eux à bord de leur cotre Fleur de Sel, nous voici donc transportés aux antipodes ou à quelques jours de mer seulement, mais toujours au-delà des flots. Le temps d'un regard, chaque île nous accueille, suscitant en nous fascination et soif de découverte... - Heidi et Nicolas Remy ont parcouru à la voile près de 120'000?km entre 2008 et 2017. Lui navigue depuis toujours et rêvait d'horizons lointains. Elle parcourt le monde pour mieux comprendre les autres. C'est donc naturellement qu'ils ont embarqué pour ce tour du monde en bateau, projet déjà raconté au fil des 200 articles parus sur leur journal de bord, et qu'ils souhaitent désormais partager en images.
Longtemps, l'histoire sociale a relégué les femmes dans l'ombre des hommes.
Dans l'antiquité, juridiquement, elles n'étaient en rien égales aux hommes. en s'appuyant principalement sur les sources archéologiques, iconographiques et épigraphiques, dans lesquelles elles apparaissent en tant que filles, soeurs, mères, épouses, esclaves, affranchies ou libres, les auteurs montrent la place importante que les femmes occupaient dans une société provinciale sous l'empire romain. adoptent le point de vue du féminin, ils livrent une image nuancée et renouvelée des femmes dans la gaule romaine, considérée ici principalement dans le cadre géographique de la france.
Les femmes n'y sont pas confinées à la maison. elles sont aussi actives que les hommes dans l'artisanat, le monde rural ou agricole. l'une est médecin, telle autre à la tête d'une entreprise de plomberie. elles sont prêtresses, honorées aussi dans la sphère publique. elles sont loin d'être uniquement femmes de ou filles de. et nous obligent à nous interroger aussi sur les frontières du genre.
Une approche active et progressive !
Des pochettes centrées sur les concepts fondamentaux à acquérir. L'élève est acteur du cours et s'approprie pas à pas les notions et le support en le complétant. Il est amené à rédiger sa propre synthèse de cours.
LES POINTS FORTS DE LA COLLECTION :
- une exploitation efficace de la double page de cours, chaque unité d'étude étant conçue pour couvrir une séance (50 minutes environ).
- une approche vivante des grandes questions du programme, adaptée aux élèves, grâce à l'étude de situations concrètes.
- des activités variées et prévues pour différents temps d'apprentissage.
- des entraînements et des schémas de synthèse.
D'est en ouest, du nord au sud, chaque numéro, nos correspondants nous donnent des nouvelles de leur coin de pays.
Loin de se réduire à un discours sur les oeuvres, l'analyse est aussi une pratique musicale impliquant des actes de lecture, d'écoute et d'écriture. Un groupe de musicologues (analystes et historiens) et de chercheurs venus d'autres disciplines s'interroge dans cet ouvrage sur l'origine et la signification des gestes quotidiens du travail analytique : chiffrage, transcription, réduction au piano, segmentation, écoute intérieure, construction d'une argumentation, fabrication de tableaux, qui donnent forme au propos de l'analyste et qui ont fini par se rejoindre dans une discipline que l'on appelle désormais « analyse musicale ». Au fil de l'ouvrage, qui aborde aussi bien la littérature wagnérienne que les transcriptions d'oeuvres électroacoustiques, les polémiques autour des théories de Riemann, d'Indy ou Schoenberg que les analyses musicales de Leibowitz, Messiaen, Boulez, Rouget, Forte ou Nattiez, se dessine la généalogie d'un savoir-faire aujourd'hui bien présent dans les conservatoires et les universités, mais dont l'histoire est au fond méconnue.