Au début des années 1980, il était impudique et ascientifique de parler de soi, de son parcours, de son expérience. À partir des années 1990, on abandonne la dogmatique du détachement de l'observateur pour s'engouffrer dans une autre, faisant de l'engagement, de la réflexivité, de la maladie du journal, le credo du chercheur postmoderne.