Dans une petite ruelle de Tokyo se trouve Funiculi Funicula, un petit établissement au sujet duquel circulent mille légendes. On raconte notamment qu'en y dégustant un délicieux café, on peut retourner dans le passé. Mais ce voyage comporte des règles : il ne changera pas le présent et dure tant que le café est encore chaud. Quatre femmes vont vivre cette singulière expérience.Vendu à plus d'un million d'exemplaires au Japon, traduit dans plus de trente pays, le roman de Toshikazu Kawaguchi a touché les lecteurs du monde entier.Ce délicat roman introspectif est aussi une belle réflexion sur le temps qui passe, et il s'en dégage une douce philosophie qui nous incite à vivre pleinement le présent. Bernard Babkine, Madame Figaro.Un roman émouvant sur le pardon, l'amour, la mémoire. Tout simplement éblouissant. Léa Herrmann, Nice Matin.Traduit du japonais par Miyako Slocombe.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnei, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant.
La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est trèsb loin de se limiter aux sushis.
« Mon restaurant est ouvert de minuit à sept heures du matin environ. On le surnomme "la cantine de minuit", mais pour certains c'est plutôt "la cantine de l'aube" ».
Dans cette petite gargote situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vous servir.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer... Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant.
La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l'entreprise familiale, « Daitomé », dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l'époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c'est l'humanité et la volonté », il fait le serment de reconstruire Daitomé.
Mais son retour à la maison natale s'accompagne de l'arrivée de Ritsu, amie d'enfance devenue orpheline et qu'il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d'un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles. Adaptation du célèbre roman de Shûgorô Yamamoto situé dans la période Edo et que Minetarô Mochizuki transpose dans le Japon d'aujourd'hui, Chiisakobé attire d'abord le regard par son dessin pop.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnei, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Dans cette petite gargote située au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe de miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vous servir.
Dans cette petite gargote située au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, les clients se croisent, les histoires se dévoilent. La carte ne propose que du tonjiru, soupe miso au porc, ainsi que du saké, mais selon vos envies, on vous préparera à la demande tout ce qu'on est en mesure de vous servir.
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la
Dans ce petit restaurant situé au fond d'une ruelle du quartier de Shinjuku, le patron vous accueille de minuit à sept heures du matin pour servir des petits plats typiques du Japon qui réveilleront les papilles et les souvenirs du temps passé. Car ici, chaque plat est lié aux souvenirs d'un personnage : yakuza, stripteaseuse, boxer...
Avec son trait fin et épuré, son style très personnel, Yarô Abe, qui cite parmi ses références Yoshiharu Tsuge, brosse des portraits drôles et émouvants de personnages touchants, chacun à leur manière, dans un manga qui a quelque chose d'apaisant et de réconfortant. La Cantine de minuit, c'est un petit restaurant qui vous remplit le coeur et l'estomac, et une agréable manière de découvrir que la cuisine japonaise est très loin de se limiter aux sushis.
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l'entreprise familiale, « Daitomé », dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l'époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c'est l'humanité et la volonté », il fait le serment de reconstruire Daitomé. Mais son retour à la maison natale s'accompagne de l'arrivée de Ritsu, amie d'enfance devenue orpheline et qu'il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d'un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles. Adaptation du célèbre roman de Shûgorô Yamamoto situé dans la période Edo et que Minetarô Mochizuki transpose dans le Japon d'aujourd'hui, Chiisakobé attire d'abord le regard par son dessin pop.
Agée de 30 ans, Shoko a renoncé à trouver un mari après trois ans d'efforts infructueux. À la fin de son dernier contrat de travail, elle entreprend un voyage en solo en Corée et trouve l'alliance de sa soeur dans la poche de son manteau. Alors qu'elle monte à bord de l'avion, un sac lui tombe sur la tête, faisant tomber l'alliance. Le sac appartient à son voisin de siège, un jeune Coréen nommé Jobanni. Il ramasse la bague et, à la demande de Shoko, la met à son doigt gauche, ce qui donne l'impression qu'elle est mariée. Shoko et Jobanni se rapprochent, mais amoureuse de ce dernier, Shoko continue de lui mentir sur sa pseudo situation, de peur de ne plus le revoir si il apprend qu'elle est en fait célibataire.
Dans ce quatrième et dernier tome de la série, les enfants et les apprentis partent pour un séjour d'une nuit dans une station thermale tandis que Shigeji et Ritsu doivent veiller sur la petite Attchan qui souffre de fièvre.
Alors que la fin de l'année approche, les personnages se révèlent, les malentendus se dissipent, pour le meilleur ou pour le pire...
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ?
La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».
L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce dernierné son héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Fin 2009, le public francophone et la critique découvraient Yoshio Hori, loser fauché et anti-héros loufoque du Vagabond de Tokyo, sélectionné à Angoulême en 2010. L'auteur, Takashi Fukutani, que la critique décrit aujourd'hui comme le Bukowski du manga, nous entraîne dans les bas-quartiers de Tokyo et de sa faune interlope, ceux-là mêmes où il a vécu, pour livrer des portraits comiques, cruels ou attachants de ceux qu'aujourd'hui encore la société japonaise ne regarde qu'avec indifférence ou mépris.
Alors que Hachimaru a commencé son entraînement de samouraï auprès de Daruma, il reçoit la visite d'An, sa princesse du destin.
Croyant que cela va immédiatement le rendre plus fort, Hachimaru se réjouit naïvement, mais le couple semble avoir du mal à bien s'entendre !! Pour couronner le tout, ils sont assaillis par un nouvel ennemi redoutable qui en a après Hachimaru !!
Face à un tel adversaire, Hachimaru va prendre cruellement conscience de son destin...
Et si Uesugi Kenshin, puissant seigneur de guerre ayant vécu durant l'époque Sengoku, au XVIe siècle, était en réalité une femme ? La mangaka Akiko Higashimura part de cette théorie existante pour nous proposer un manga historique relatant la vie de ce stratège hors pair surnommé le « Tigre d'Echigo ».
L'histoire commence en 1529, à la naissance du troisième enfant de Nagao Tamekage, seigneur du château de Kasugayama. Son fils aîné n'ayant pas l'étoffe d'un guerrier, Tamekage veut faire de ce dernierné son héritier, mais à son grand désespoir, c'est une fille qui naît. Il décide alors de l'élever comme un garçon et le nomme « Torachiyo ». Véritable garçon manqué, Torachiyo va grandir dans un petit château des montagnes, sans savoir quel incroyable destin l'attend...
Tsushima, alias M. Tsu, est un chat sauvage au caractère insolent. Un jour, alors qu'il est en train de faire les poubelles à la recherche de nourriture, il croise le chemin d'une femme aux allures de vieil homme, qui décide de le recueillir. Commence alors leur quotidien joyeux et surréaliste avec les autres chats du voisinage : grande soeur Zun, qui vit dans la maison depuis l'enfance, Châ, le peureux en manque d'affection, et Osamu, loup solitaire qui veille sur le quartier. Un manga plein d'humour et d'amour félin qui a conquis les amoureux des chats : au Japon, la série en trois tomes s'est vendue à plus de 500 000 exemplaires et a été adaptée en dessin animé.
2014, Tokyo. Rinko, scénariste de séries télévisées, est une trentenaire célibataire à la carrière professionnelle épanouie. Son petit plaisir consiste à passer des soirées alcoolisées avec ses deux copines Kaori et Koyuki, elles aussi trentenaires et célibataires.
Un soir, alors qu'elles sont encore en train de se soûler et de s'auto-rassurer bruyamment avec des « y a qu'à, faut qu'on » dans leur bar favori, elles sont interrompues par un jeune homme aux allures de mannequin. Agacé de les entendre brailler, il les ridiculise méchamment en les traitant de vieilles filles avant de quitter les lieux.
Alors qu'elle pensait avoir encore tout son temps, Rinko réalise qu'il va falloir se réveiller si elle ne veut pas finir sa vie toute seule...
Hachimaru est un jeune garçon qui n'est jamais sorti de chez lui. Malade, il joue aux jeux vidéo à longueur de temps pour tromper son ennui. C'est alors qu'un mystérieux chat-robot-samouraï fait irruption dans sa vie ! Daruma, c'est son nom, lui annonce qu'il a les capacités pour devenir samouraï et qu'il a la mission de sauver l'univers. Une nouvelle force s'empare de Hachimaru...
L'aventure commence !