Plus de 800 pages, une maquette élaborée, les illustrations de Sidney Paget parues dans le Strand, la traduction intégrale d'Eric Wittersheim, un prix de vente étudié... Tout est réuni pour faire de cet album aussi somptueux qu'impressionnant un must pour les amateurs du génial détective - et ils sont nombreux, petits et grands !
Il vit à Londres, au 221 B Baker Street à la fin du dix-neuvième siècle. Il a des idées un peu bizarres... Il se passionne pour certaines branches de la science. Il est assez calé en anatomie, est un chimiste de premier ordre qui, malgré des études très décousues et excentriques, a amassé un tas de connaissances peu ordinaires. Il n'est pas aisé de le faire parler, bien qu'il puisse être assez expansif quand l'envie lui en prend. Il joue du violon.
Il a un métier : dénouer des énigmes étranges auxquelles il est le seul à pouvoir apporter une solution.
Il a un défaut : il affectionne les drogues.
Il a un ami : le docteur Watson, témoin et narrateur de ses aventures.
Son créateur, Arthur Conan Doyle, a inventé le récit policier moderne.
Il s'appelle Sherlock Holmes.
? Traduction nouvelle de Eric Wittersheim ;
? Edition bilingue ;
? Illustrations de Sidney Paget ;
On trouvera, dans ce premier volume :
Romans :
- Une étude en rouge ;
- Le Signe des quatre ;
Nouvelles :
Un scandale en Bohême, La Ligue des rouquins, Une affaire d'identité, Le Mystère de la vallée de Boscombe, Les Cinq Pépins d'orange, L'Homme à la lèvre tordue, L'Escarboucle bleue, La Bande tachetée, Le Pouce de l'ingénieur, L'Aristocrate célibataire, Le Diadème de béryls, Les Hêtres-Dorés, Flamme d'argent, Le Visage jaune, L'Employé de l'agent de change, Le Gloria Scott ;
Il vit à Londres, au 221 B Baker Street à la fin du dix-neuvième siècle. Il a des idées un peu bizarres... Il se passionne pour certaines branches de la science. Il est assez calé en anatomie, est un chimiste de premier ordre qui, malgré des études très décousues et excentriques, a amassé un tas de connaissances peu ordinaires. Il n'est pas aisé de le faire parler, bien qu'il puisse être assez expansif quand l'envie lui en prend. Il joue du violon. Il a un métier : dénouer des énigmes étranges auxquelles il est le seul à pouvoir apporter une solution. Il a un défaut : il affectionne les drogues. Il a un ami : le docteur Watson, témoin et narrateur de ses aventures. Son créateur, Arthur Conan Doyle, a inventé le récit policier moderne.
Il s'appelle Sherlock Holmes.
? Traduction nouvelle de Eric Wittersheim ;
? Edition bilingue ;
? Illustrations de Sidney Paget ;
Il vit à Londres, au 221B Baker Street, à la fin du dix-neuvième siècle. Il a des idées un peu bizarres... Il se passionne pour certaines branches de la science. Il est assez calé en anatomie, est un chimiste de premier ordre qui, malgré des études très décousues et excentriques, a ammassé des tas de connaissances peu ordinaires. Il n'est pas aisé de le faire parler, bien qu'il puisse être assez expansif quand l'envie lui en prend. Il joue du violon. Il a un métier : dénouer les énigmes étranges auxquelles il est le seul à pouvoir apporter une solution. Il a un défaut : il affectionne les drogues. Il a un ami : le docteur Watson, témoin et narrateur de ses aventures. Son créateur, Arthur Conan Doyle, a inventé le roman policier moderne. Il s'appelle Sherlock Holmes.
Le job de l'avocat Michael Clayton est d'arranger discrètement, et par tous les moyens, les affaires embarrassantes de ses clients.
Le cabinet qui l'emploie s'occupe notamment de défendre les intérêts d'une multinationale agrochimique ; l'affaire est gérée par Arthur Edens, éminent avocat qui, pris de remords, se met à aider la partie adverse. Mais Arthur craque et on fait appel à Michel Clayton pour sauver l'affaire.
Lorsqu'il découvre que cette multinationale sans scrupules est prête à faire des millions de victimes pour s'enrichir, il ne peut plus échapper au choix qui s'impose à lui : étouffer la vérité, ou la faire éclater au péril de sa vie...