Tintin est impliqué, par hasard et malgré lui, dans un trafic de stupéfiants qui l'entraîne jusqu'en Inde. Entre-temps, il aura rencontré Dupond et Dupont, et découvert le tombeau de Pharaon, visité Port Saïd puis navigué sur la Mer Rouge chère à Henry de Monfreid, l'enfant du pays languedocien!
L'occitan du Languedoc, ou languedocien, est aujourd'hui encore parlé de Montpellier à Toulouse, de Mende à Foix. Les anciens l'utilisent spontanément entre eux, comme ils le font depuis leur enfance.
Réalisé dans le cadre de la VAPAL, l'association pour la VAloriastion du PAtrimoine de Leucate, cette traduction du quatrième volume des aventures de Tintin en langue occitane est un hommage au patrimoine culturel et historique de la région, et du village si typiquement languedocien.
Les albums de Tintin furent très tôt traduits (à partir de 1952) dans la plupart des grandes langues du monde. Très tôt aussi apparurent les premières «traductions régionales». On regroupe sous cette appellation les traductions dans des parlers qui ne sont pas les langues officielles d'un pays, mais qui restent pratiquées dans une «région» par les anciens, les amoureux des traditions locales ou les défenseurs d'une identité régionale mise à mal par les centralismes modernes. Les premières traductions du genre furent le catalan et le basque, en Espagne; le breton et l'occitan, en France. S'y ajoutèrent par la suite le frison, le bernois, le féroïen, l'asturien. et, plus près de nous, l'alsacien, le corse, le gaumais (lorrain), le gallo, le picard, etc.
Pourquoi tant de personnes s'intéressent-elles aux maquettes de La Licorne, reproductions du vaisseau que commandait l'ancêtre du capitaine Haddock ? Renfermeraient-elles le secret du trésor de Rackham le Rouge ? Cette édition en picard tournaisien, également compréhensible par ceux qui pratiquent le ch'ti de la région lilloise, donne sa pleine mesure au langage imagé du capitaine Haddock.
Tintin, Milou, le capitaine Haddock, le professeur Tournesol et les Dupont-Dupond embarquent à bord du Sirius afin de retrouver l'épave de La Licorne. Leur but : découvrir le trésor de Rackham le Rouge. Cette édition en picard tournaisien, également compréhensible par ceux qui pratiquent le ch'ti de la région lilloise, donne sa pleine mesure au langage imagé du capitaine Haddock.
«On a marché sur la lune», en patois de la région de Virton (Belgique). "A-ct-eure, gné dès gaumois partout miîème sur la lune".
Une aventure de Tintin dans une langue régionale française.
Les albums de Tintin furent très tôt traduits (à partir de 1952) dans la plupart des langues du monde, puis, un peu plus tard, dans de nombreuses langues régionales souvent pittoresques. On regroupe sous cette appellation les parlers qui ne sont pas les langues officielles de l'ensemble d'un pays, mais qui restent pratiqués dans une « région » par les anciens, les amoureux des traditions locales ou les défenseurs d'une identité régionale menacée. Les premières traductions du genre furent le catalan et le basque en Espagne, le breton et l'occitan en France, puis le frison, le bernois, le féroïen, l'asturien, l'alsacien, le corse, le picard, l'arpitan, le provençal, le bruxellois, le wallon de Liège, le gaumais, etc. Par l'entremise de ces traductions, Tintin affirme un peu plus encore sa dimension totalement universelle.
La confusion est extrême à Moulinsart : Bianca Castafiore, le rossignol milanais, s'est invitée pour un séjour à l'insu du capitaine Haddock, ce qui crée une certaine zizanie, surtout lorsque ses bijoux disparaissent...
Il se passe des choses étranges à Moulinsart : tous les objets en verre se brisent les uns après les autres. Des choses d'autant plus étranges que quelqu'un semble être très intéressé par les recherches du professeur Tournesol et que son laboratoire contient des indices troublants.
Les aventures de Tintin sont traduites dans la plupart des langues nationales, et aussi dans des langues régionales.
Les albums de Tintin furent très tôt traduits (à partir de 1952) dans la plupart des langues du monde, puis, un peu plus tard, dans de nombreuses langues régionales souvent pittoresques. On regroupe sous cette appellation les parlers qui ne sont pas les langues officielles de l'ensemble d'un pays, mais qui restent pratiqués dans une « région » par les anciens, les amoureux des traditions locales ou les défenseurs d'une identité régionale menacée. Les premières traductions du genre furent le catalan et le basque en Espagne, le breton et l'occitan en France, puis le frison, le bernois, le féroïen, l'asturien, l'alsacien, le corse, le picard, l'arpitan, le provençal, le bruxellois, le wallon de Liège, le gaumais, etc. Par l'entremise de ces traductions, Tintin affirme un peu plus encore sa dimension totalement universelle.
Les albums de Tintin furent très tôt traduits (à partir de 1952) dans la plupart des langues du monde, puis, un peu plus tard, dans de nombreuses langues régionales souvent pittoresques. On regroupe sous cette appellation les parlers qui ne sont pas les langues officielles de l'ensemble d'un pays, mais qui restent pratiqués dans une « région » par les anciens, les amoureux des traditions locales ou les défenseurs d'une identité régionale menacée. Les premières traductions du genre furent le catalan et le basque en Espagne, le breton et l'occitan en France, puis le frison, le bernois, le féroïen, l'asturien, l'alsacien, le corse, le picard, l'arpitan, le provençal, le bruxellois, le wallon de Liège, le gaumais, etc. Par l'entremise de ces traductions, Tintin affirme un peu plus encore sa dimension totalement universelle. C'est à cette dernière catégorie qu'appartient cette nouvelle traduction : L'Ile noire en saintongeais, une langue romane de la famille des langues d'oïl.
Grande nouvelle : pour s'isoler du monde extérieur, Bianca Castafiore annonce qu'elle s'invite au château de Moulinsart, flanquée de son habilleuse et de son pianiste accompagnateur. Victime d'une entorse alors qu'il s'apprêtait à prendre la fuite, Haddock, furieux, doit s'accommoder de cette encombrante compagnie. Sur le célèbre «air des bijoux», c'est le début d'un formidable huis-clos, d'une aventure presque immobile où éclate à chaque page le génie narratif d'Hergé.
Le borain (que l'on écrit aussi « borin ») est la langue régionale parlée dans le Borinage, région de la Belgique wallonne voisine de la ville de Mons, qui fut au XIXe siècle l'un des berceaux de l'industrie charbonnière en Europe.
Les aventures de Tintin sont traduites dans la plupart des langues nationales, et aussi dans des langues régionales comme le corse.
Dans tout le massif vosgien, une mosaïque de patois prend ses racines dans la langue romane, langue d'oïl parlée jadis dans toute la moitié nord de la France dès le 1er siècle avant Jésus-Christ. Le parler de référence utilisé dans cet album est celui des Vosges Méridionales, territoire aux confins de la Lorraine et de la Franche-Comté, regroupant les communes du Val d'Ajol, de Plombières-les-Bains et du Girmont-Val-d'Ajol. La pérennité de ces patois est entre les mains de centaines de passionnés, décidés à marquer de leurs travaux le patrimoine local, régional, national et plus largement européen, comme en témoigne la traduction de cette aventure de Tintin, héros populaire international.
Les albums de Tintin furent très tôt traduits (à partir de 1952) dans la plupart des grandes langues du monde.
Très tôt aussi apparurent les premières traductions régionales.
On regroupe sous ce titre les traductions dans des parlers qui ne sont pas les langues officielles de l'ensemble d'un pays mais qui restent pratiqués dans une région par les anciens, les amoureux des traditions locales ou les défenseurs d'une identité régionale mise à mal par les centralismes modernes.
Les premières traductions du genre furent le catalan et le basque, en Espagne ; le breton et l'occitan, en France.
S'ajoutèrent, le frison, le bernois, le féroïen, l'asturien... et plus près de nous, l'alsacien, le corse, le gaumais (lorrain), le gallo, le picard...
C'est le polynésien de Tahiti qui jouit aujourd'hui de cette forme sympathique de reconnaissance que constitue la publication d'un album Tintin, en hommage à tous les habitants de Polynésie, leur culture et leurs traditions.
Le titre choisi (Le crabe aux pinces d'or) est caractérisé par un vocabulaire de tous les temps, relatif à la mer, aux bateaux, aux voyages, aux déserts, aux combats...
Il était par ailleurs exotique, à sa création, pour les lecteurs européens, comme il le sera pour les lecteurs polynésiens.
La traduction en langue tahitienne a été réalisée par Corinne Maieata Mc Kittrick avec la coopération de Voltina Ro'omata'aroa - Dauphin, John Fa'atae Martin et Raymond Vanaga Pietri.
La confusion est extrême à Moulinsart : Bianca Castafiore, le rossignol milanais, s'est invitée pour un séjour à l'insu du capitaine Haddock, ce qui crée une certaine zizanie, surtout lorsque ses bijoux disparaissent...
Un fragment de météorite est tombé dans les mers arctiques. En compagnie de scientifiques, Tintin et le capitaine Haddock montent une expédition pour récupérer un échantillon.
Il se passe des choses étranges à Moulinsart : tous les objets en verre se brisent les uns après les autres. Des choses d'autant plus étranges que quelqu'un semble être très intéressé par les recherches du professeur Tournesol et que son laboratoire contient des indices troublants.
Grande nouvelle : pour s'isoler du monde extérieur, Bianca Castafiore annonce qu'elle s'invite au château de Moulinsart, flanquée de son habilleuse et de son pianiste accompagnateur. Victime d'une entorse alors qu'il s'apprêtait à prendre la fuite, Haddock, furieux, doit s'accommoder de cette encombrante compagnie.
Sur le célèbre «air des bijoux», c'est le début d'un formidable huis-clos, d'une aventure presque immobile où éclate à chaque page le génie narratif d'Hergé.