Nous sommes en pleine élection présidentielle. Dans un immeuble parisien cohabitent joyeusement treize personnages d'horizons divers : riches bobos, ouvriers avec enfants, cadres, homme au foyer, dentiste, jeune artiste au chômage et une vieille retraitée immorale. À la veille du premier tour des élections, tout ce beau monde débat. Un événement inattendu va anéantir l'éternel clivage gauche-droite, et modifier les relations entre les hommes et les femmes de l'immeuble. L'entre-deux tours devient une parenthèse où intimité et choix politiques se mêlent et se heurtent dans une guerre des sexes sans merci...

Journaliste et romancière, Nathalie en sait long sur une mystérieuse organisation et s'apprête à tout révéler. Mais ses ennemis prennent les devants et font exploser son appartement. Elle échappe par miracle à l'attentat et accepte la protection des renseignements généraux, qui l'envoient se cacher dans un endroit tranquille. A la suite d'un quiproquo, Nathalie se trompe d'adresse et échoue chez Luc, un veuf débonnaire et paisible, qui vit à la campagne en compagnie de ses six enfants. En guise d'entrée en matière, Nathalie lui casse la jambe. Luc supporte toutefois avec philosophie l'irruption de cette enquiquineuse dont il aimerait se voir débarrassé mais qui plaît aux enfants...

En rachetant le manoir dont ses parents étaient les gardiens, Léa retrouve son amie d'enfance Charlotte, la fille des propriétaires. Toutes deux vont être confrontées au souvenir d'un terrible secret qui les lie pour le meilleur et pour le pire. Charlotte et Léa c'est avant tout un film emmené par deux comédiennes de talent, deux femmes aux caractères bien trempés.

Que s'est-il passé dans la nuit du 24 décembre qui a entrainé deux jours plus tard l'arrestation de Franck Kovick ? C'est ce que veut découvrir le capitaine de police Olivier Chartier. Commence alors un face à face psychologique entre Franck et Olivier, chacun en proie à ses démons, chacun éveillant des doutes chez l'autre. La réponse tient dans ces trois lettres : A.L.F. Franck fait en effet partie d'un commando sans visage, sans leader, d'un mouvement de résistance soudé autour d'un seul objectif : la libération animale.

Série à l'humour brut et incisif, Le Bureau nous plonge à la façon d'un documentaire au coeur de l'équipe de la Cogirep basée sur la zone d'activité de Villepinte. Dirigée par Gilles Triquet à la personnalité atypique et haute en couleur, ayant une conception du management assez particulière qui passe par ce qu'il aime appeler "l'humour en open space au service du facteur humain"...