Pas à pas, l'auteur retrace les portraits des plus grands inventeurs de la physique pour en venir à la découverte des rayons X et, plus récemment, à la recherche du boson de Higgs.
On dit de la physique qu'elle est la « reine des sciences », source de la technologie et des plus grandes découvertes, constamment au centre des avancées les plus récentes, en astrophysique notamment.Pas à pas, l'auteur retrace les portraits des plus grands inventeurs pour en venir à la découverte des rayons X et, plus récemment, à la recherche du boson de Higgs. Siècle après siècle, nous sommes entraînés dans une suite ininterrompue de découvertes et de théories, où l'on retrouvera notamment les noms de Copernic, de Schrôdinger, d'Einstein et de bien d'autres, pour aboutir à une vision de l'univers devenue cosmologie et « théorie de tout ».
Résumant 25 siècles de découvertes sur les figures et sur les nombres, cette histoire des mathématiques ne demande aucune connaissance préalable. Le lecteur y retrouvera l'intérêt qu'ont porté aux mathématiques des savants comme Euclide, Descartes ou Pascal. Il n'y a pas de meilleure introduction aux mathématiques que l'étude de son histoire.
Résumant vingt-six siècles de découvertes sur les figures et sur les nombres, cette histoire des mathématiques ne demande aucune connaissance préalable.Le lecteur y retrouvera l'intérêt qu'ont porté aux mathématiques des savants comme Euclide, Descartes ou Pascal. Il y verra aussi comment elles ont permis à Einstein de bouleverser notre vision du monde ou encore comment elles ont rendu possible les plus récents développements de l'informatique et des télécommunications.
Sommaire1. Les origines de la pensée mathématique 2. Les Grecs 3. Les Romains 4. Le Moyen Âge 5. La Renaissance : l'algèbre 6. Le XVIIe siècle : l'analyse 7. Le XVIIIe siècle : les fonctions 8. Le XIXe siècle : l'abstraction 9. Le XXe siècle : la synthèseBibliographie
La statistique, qu'est-ce que c'est ? Nul besoin des mathématiques pour le savoir.
En quelques exemples concrets empruntés à des choses familières qui proviennent aussi bien de la vie quotidienne que des légendes, Claudine Robert nous initie agréablement à cette science des chiffres. Pour cela, divers contes et récits serviront de prétexte à l'introduction des notions élémentaires de la statistique. En effeuillant des pâquerettes, en étudiant la taille des girafes ou en mesurant celle de l'empereur de Chine, on parlera de moyennes, de médianes, de variances, de fourchettes de sondages, de simulations et, bien sûr, du fameux test du khi-deux.
C'est ainsi qu'au hasard de ce livre volontairement accessible à tous, on rencontrera par exemple un tireur à l'arc, un géomètre et des témoins devant identifier des suspects.
Depuis l'an 2000, les nanotechnologies et, plus précisément, leur convergence avec d'autres technologies de pointe suscitent une effervescence de la part des milieux de la recherche comme du grand public et des ministères.
Partout, l'on entend parler de nanotubes, de laboratoires sur puces, de médicaments vectorisés, d'implants, etc. , et l'on s'interroge sur leurs implications. pour ne pas répéter l'expérience malheureuse des ogm, la recherche en bio- et nanotechnologies est accompagnée par une recherche en amont sur leurs impacts sociaux, éthiques et culturels. cet ouvrage, issu de rencontres entre chercheurs en sciences humaines et chercheurs en sciences chimiques ou biologiques, se concentre sur les impacts philosophiques.
En se plaçant au carrefour de l'épistémologie et de l'éthique, il tente de ri quelques interrogations essentielles: sur quoi repose cette convergence? qu'en est-il des partages entre naturel ciel, inerte et vivant, technique et société? quelle nouvelle humanité se prépare, modifiée, clonée, augmentée? quelle éthique peut-on envisager?.
Comment, durant les millénaires des temps préhistoriques, les chasseurs-cueilleurs puis les premiers pâtres et paysans ont-ils vécu ? A quoi ressemblait la nature qu'ils parcouraient et mettaient en valeur ? Quelles étaient leurs techniques, quelles étaient leurs croyances, que faisaient-ils ? Comment s'organisaient-ils pour vivre et survivre ? Pour répondre à ces questions, contrairement aux autres archéologues, les préhistoriens ne disposent ni de la moindre inscription ni, à plus forte raison, de véritables textes.
Il leur faut faire parler des objets, le plus souvent brisés, en pierre, en terre cuite ou en métal et, au mieux, les vestiges des haltes de chasse, des campements ou des habitations. On découvrira ici comment les préhistoriens redonnent vie à ces objets inanimés et quelles méthodes leur permettent de reconstituer les faits et gestes des peuples sans écriture.