Aucun initié Écossais n'ignore que le parcours initiatique au R.E.A.A. est constitué de trente-trois degrés.
Désormais convaincu que la légende de la mort d'Hiram ne s'arrête pas là, après avoir franchi les trois premières phases en Loge symbolique, que sont l'Apprentissage, le Compagnonnage et la Maîtrise, voilà que le Maître Écossais est en mesure de poursuivre son chemin dans les « Hauts grades », qui constituent un véritable cycle de perfectionnement de l'Être.
Avec ce quatrième opus qui vient s'ajouter à la trilogie des trois premiers degrés symboliques, Lucien Millo entreprend maintenant l'étude approfondie du premier des Hauts grades.
Au-delà de la légende qui pose la question « Mais quelle est la suite de l'histoire ? », établissant clairement que l'on ne peut en rester là, l'ouvrage s'évertue à démontrer les valeurs contenues dans le Rituel du 4e degré du R.E.A.A.
Évoquant tour à tour les textes fondamentaux constitutifs du Rite, le changement de dimension spirituelle, l'exégèse des grands thèmes contenus dans le Rituel du 4e degré et l'étude des grands préceptes tels que le devoir, le secret ou encore la justice, Lucien Millo propose au lecteur d'aller à la découverte de sa propre lumière intérieure via la pensée Écossiste.
Les secrets du 4e degré de l'Écossisme permet à l'initié, devenu Maître Secret, de savoir envisager les grands mystères de cette étape si importante et d'en saisir les enseignements essentiels sur le plan du savoir mais aussi de l'intelligence de l'Esprit.
Après avoir travaillé les trois premiers degrés de la Maçonnerie bleue, fondée sur l'appréhension des outils, nous avons « décortiqué » le 4e degré explicitant le grade du Maître Secret, volontairement isolé en ce qu'il permet à l'initié Écossais de basculer dans une nouvelle dimension et de consommer une rupture évidente avec les degrés dits « symboliques ».
Il convenait désormais de franchir une nouvelle étape.
C'est donc dans la veine des écrits précédents qu'est proposée maintenant l'étude du 5e au 14e degré dans cet ouvrage constituant le deuxième volet d'une série intitulée « Du voile à la Grande Lumière ».
Puissent ces quelques pages éclairer le lecteur et lui démontrer l'indispensable apport que lui fournissent nos Rituels dans la poursuite de son chemin vers la Lumière.
Lucien Millo poursuit dans cet ouvrage le travail qu'il entreprend depuis quelques années maintenant, à savoir l'analyse exaltante des différents Rituels et symboles qui constituent le corpus du cheminement initiatique Écossais.
Comme toujours, l'auteur met en avant la place et l'importance des différents Rituels pour mieux discerner les objectifs principaux du travail maçonnique et la finalité de l'Initiation. Plus que jamais conscient que les Rituels parviennent à agir sur le Franc-Maçon de façon à induire une transformation de son Être, Lucien Millo continue à lui faire découvrir ce qu'il pourrait considérer comme de véritables révélations dans ces textes de haute portée spirituelle que sont les Rituels des grades capitulaires.
Troisième volet d'un ensemble intitulé « Du voile à la Grande Lumière », cet ouvrage se propose d'apporter, comme les précédents, des éclaircissements au lecteur pour le mettre en mesure de tirer la substantifique moelle des 15e, 16e, 17e et 18e degrés du R.E.A.A. : ce dernier s'avérant être un « choc spirituel » faisant définitivement basculer l'initié dans le monde de l'Amour.
L'auteur, au travers de ses différentes analyses, s'adresse à autre chose qu'au seul mental conscient du lecteur. Il fait appel à sa perception immédiate par l'émotion et l'intuition, lesquelles s'avèrent être de parfaits compléments de la raison.
Dans un volume très documenté, Lucien Millo, alliant rigueur exégétique et hauteur spirituelle, apporte au lecteur une approche complète des grades capitulaires, étape fondamentale s'il en est du parcours initiatique Écossais.
Le symbolisme que prône la démarche ésotérique est souvent déconcertant.
Quel initié Franc-Maçon ne souhaiterait-il pas posséder un ouvrage à la fois exhaustif et concis expliquant l'ensemble des symboles illustrant la pensée de son Rite ?
C'est précisément ce à quoi s'est attaché Lucien Millo avec ce vade-mecum intitulé "Petit manuel de symbolisme Écossais".
Dans ce premier tome, l'auteur s'attache à présenter les symboles majeurs des grades abordés en Loges Bleues répartis en cinq catégories : les outils, les végétaux, les minéraux, les animaux et les personnages. Chaque famille de symboles est ainsi passée au crible pour expliquer à tous ceux qui cherchent les mystères qu'ils recèlent.
Fidèle à son style, Lucien Millo offre encore dans cet ouvrage indispensable, une véritable exégèse qui séduira sans conteste le lecteur le plus averti, tant par la clarté du propos que par la profondeur de l'analyse.
La tête, chez les femmes, n'est pas un organe essentiel.
(Anatole France).
Ah les femmes ! Ces animaux sans queue ni tête.
(Sacha Guitry).
L'Homme considère-t-il vraiment la Femme comme son alter ego ???
Pour tenter de répondre objectivement, à cette délicate question qui, normalement, ne devrait pas être de mise, nous nous transporterons, aléatoirement dans le temps et l'espace, au sein de différentes civilisations et traditions religieuses, pour voir la violence, le sort scandaleux et peu enviable que l'homme a bien souvent réservé à sa compagne, qui a le douloureux privilège de perpétuer la race humaine, de transmettre la Vie.
Le sujet de la misogynie n'est pas nouveau, puisqu'il remonte à l'aube de l'humanité et se retrouve inscrit dans la pierre, dès les premières civilisations.
Ce mépris de la femme est-il universel ?
Hélas ! Il semble bien que oui.
Il convient donc de rester sans aucune complaisance pour quelque tradition que ce soit, Franc-Maçonnerie comprise. !!!
En effet, n'ayons pas peur des mots, celle-ci fait preuve d'un certain obscurantisme, pour ce qui est de quelques obédiences, en ce qui concerne l'admission des femmes en son sein. nous évoquerons l'évolution récente de la place que la Franc-Maçonnerie libérale daigne, enfin, après beaucoup de tergiversations, leur accorder parcimonieusement.
Ce roman souhaite avant tout ressusciter la culture d'Oc dévouée à l'esprit, si largement humaine avec ses valeurs axées sur l'amour, la tolérance et le culte de la femme.
L'histoire se déroule en Languedoc au XIIIe siècle et s'inspire de la vie du dernier comte de Toulouse, Raymond VII. C'est grâce à lui que son père Raymond VI, au retour de l'exil, reconquiert sa capitale. Raymond occupe Beaucaire où, à l'âge de dix-huit ans, il remporte sa première victoire contre Simon de Montfort. Son exemple fait tache d'huile et l'insurrection s'étend à maintes localités : c'est la reconquista.
La guerre de libération va durer huit ans. Peu à peu, le jeune comte réussit à reconquérir tous les états que son père avait perdus. Mais le catharisme resserrant son emprise, le pape excommunie Raymond. À l'annonce de la nouvelle croisade, une véritable psychose s'empare de la population ; des signes d'allégeance envers le roi de France affluent. C'est sans compter sur Raymond qui engage les villes à poursuivre la lutte ; parviendra-t-il à les convaincre de relever les valeurs du Paradge méridional : « Honneur, Loyauté et Courage » ?
L'amour qu'il porte à Serena, issue de la noblesse cathare, aidera Raymond à mieux appréhender ce qu'elle appelle « la vraie religion ». Serena et Raymond parviendront-ils, malgré tout, à vivre leur amour dans ce contexte de guerres, de persécutions et de bûchers où chaque jour relance une nouvelle angoisse pour qui n'est pas français et catholique. ?
« Le catharisme est clairement expliqué et le comte Raymond a le beau rôle. Il incarne magnifiquement l'esprit frondeur du Languedoc. » (Le Figaro)
Dans cet ouvrage, sont abordées quelques-unes des multiples facettes concernant la manière dont le symbole d'un Grand Architecte de l'Univers, organisateur d'un chaos primordial, peut-être approché par les Francs-Maçons, leur permettant ainsi d'avoir un repère dans leur quête spirituelle. L'auteur propose, entre autres, une lecture très détaillée des trois premiers versets du prologue de l'Évangile de Jean.
Quel est donc ce Dieu des savants et des philosophes ?
La particularité de ce Dieu est qu'il ne s'appuie en aucune manière sur des vérités révélées, il ne repose que sur la raison et l'expérience.
L'expression Grand Architecte de l'Univers est usitée en remplacement du mot Dieu, car elle convient aussi bien aux approches déistes que théistes. Le texte des Constitutions d'Anderson, dans la version remaniée de 1823, impose par ses land marks la croyance en Dieu, Grand Architecte de l'Univers qui est défini comme :
Être suprême, invisible et tout puissant.
C'est donc À la Gloire de ce Grand Architecte, que travaillent aujourd'hui la grande majorité des Francs-Maçons du Monde.
Le mot français Gloire, est en fait inadéquat pour rendre compte de ce que le mot hébreu kavod (doxa en grec, gloria en latin) recèle : la kavod est la présence de Dieu au milieu de son Peuple. Cette présence est liée à une habitation : Dieu habite la tente, puis le Temple. La Gloire est l'espace de Dieu.
Ce Livre ré-Unit "Confidences de Lucie" et "L'Homme voilé", deux tomes d'un seul et même Livre.
Je Vous laisse découvrir ce Duo présenté sous forme d'Allégorie Initiatique, à lire entre les lignes.
Tout d'abord, Lucie Vous Révèlera (ou vous rappellera) que. et que.
Amis Lecteurs, la Vie peut être une joyeuse Farandole.
Il suffit de sortir de nos geôles.
Après l'Hiver, Vous le savez, vient le Printemps.
Que Lucie soit aussi Votre « Prince Charmant ».
Puis Vous comprendrez (ou Vous souviendrez) que, comme nous le disait Edgar Allan Poe, "Ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu'endormis." C'est exactement ce que J'ai voulu « Vous Transmettre » ou Vous rappeler par cet Ouvrage.
Loin d'être de « doux rêveurs », soyons parfaitement Conscients de tout ce qui fait notre Vie, de ce que nous faisons de notre Vie.
Que « les Doux Rêveurs Conscients » tendent la main aux « Rêveurs endormis » (aux « Hommes voilés ») et qu'ils les emmènent sur le plus Beau des Chemins, Celui de leur Vie, à la Rencontre de leur Être.
C'est mon Souhait le plus Cher. Ce n'est pas une utopie. Ou plutôt si : C'est une Utopie Réelisable. Il suffit de la Rêver Éveillé !.
Selon Luca Fucini, les Calvino - GioBernardo, son frère GioBatta et son fils Mario - furent animés par les principes de leur époque, adoptés dans les loges maçonniques : « auto-éducation pour faire évoluer les grandes masses, par l'enseignement et le sens du devoir ».
Admirant les symboles initiatiques gravés sur la porte et peints sur la voûte de leur villa de Sanremo, Italo Calvino apprit également à être un « homme libre », comme il l'écrivit en 1957 dans sa lettre de démission du parti communiste italien qu'il envoya à regret mais de façon assumée.
Avec ses ouvrages, il continua l'oeuvre paternelle : « Je sais que souvent je parlerai au vent. Mais les plantes aussi confient au vent leurs graines, comme le but suprême de leur vie. Toutes les graines ne seront pas dispersées, il suffira qu'une seule trouve le bon environnement pour assurer et multiplier son espèce ».
Si l'Italie avait d'avantage cru dans ce message, aujourd'hui elle serait moins essoufflée. Elle pourrait compter sur une agriculture à l'avant-garde et sur un tourisme de haut niveau, sur la science et sur l'éducation.
Mais il n'est jamais trop tard pour reprendre « le chemin de saint Jean ».
(Aldo Alessandro Mola) Come scrive Luca Fucini, i Calvino - GioBernardo, suo fratello GioBatta e suo figlio Mario - furono animati dai principi all'epoca coltivati nelle logge massoniche: "autoeducazione per far progredire le grandi masse, con insegnamento e senso del dovere".
Contemplando i simboli iniziatici incisi sulla porta e dipinti sulla volta della villa sanremasca, anche Italo apprese a essere "uomo libero", come nel 1957 scrisse nella sofferta ma ferma lettera di congedo dal partito comunista italiano.
Con le sue opere continuò l'opera paterna: "So che più spesso parlerò al vento. Ma anche le piante affidano al vento i loro semi, supremo scopo della loro vita. Non tutti i semi saranno dispersi, basta che uno solo trovi un ambiente propizio per assicurare e moltiplicare la specie".
Se l'Italia avesse creduto di più in quel messaggio oggi sarebbe meno affannata. Conterebbe su un'agricoltura di avanguardia e su un turismo di alta qualità, su scienza ed educazione. Ma non è mai tardi per riprendere "la strada di San Giovanni".
(Aldo Alessandro Mola)
Le livre de recettes "Les secrets d'un chef... ... dans la nature" a pour vocation de faire découvrir une cuisine un peu particulière puisqu'elle utilise certains ingrédients qu'on ne peut se procurer dans le commerce. Cette cuisine cherche à opérer une sorte de « réhabilitation » des végétaux sauvages comestibles ou, plus précisément, des plantes qui poussent spontanément et « librement » dans les campagnes et en ville.
Le livre est magnifiquement illustré et constitué d'un répertoire de 280 plantes comestibles, classifiées par famille botanique, une cinquantaine de fiches techniques de plantes utilisées pour la préparation des recettes proposées et, surtout, 56 recettes organisées par type de paysage.
"Je ne suis pas un gros mangeur, mais, sans pour autant avoir la prétention d'être un fin gourmet, j'ai toujours eu du goût pour les chefs, petits ou grands, connus ou modestes, qui savent inventer une cuisine originale, simple, belle, et bonne. Comme si c'était si facile.
À une époque où, parfois, on a l'impression que tant de gens s'acharnent stupidement à vouloir tout compliquer, peut-être pour mieux se noyer dans je ne sais quel fatras, le livre que vous tenez entre les mains est la meilleure réponse à tous ceux qui ne savent plus ce qu'est la simplicité.
Et puis aussi, à cette même époque si friande de modernisme (pour ne pas dire de futurisme), il est rassurant de calmer le jeu. C'est ce que fait Alain Hastain, avec un talent fou, et une si jolie inspiration, en remettant à l'honneur certaines plantes sauvages injustement oubliées. Rien ne nous oblige pour autant à nous prélasser dans un passéisme systématique, fondé sur cette notion navrante et rétrograde du « c'était mieux avant ». Mais il est bon, de temps en temps, de jeter un coup d'oeil en arrière, pour voir si par hasard l'on n'aurait pas semé certaines valeurs en cours de route. En cela, la démarche d'Alain Hastain et de Charles-Érick Labadille est exemplaire, parce qu'elle ne concerne pas que la cuisine, mais aussi, d'une façon beaucoup plus ouverte, notre attitude dans le monde actuel.
Sur ce, je file à mes fourneaux." (Patrice LECONTE, cinéaste)
Tout le monde connaît Hercule et l'histoire fabuleuse de ses travaux, mais saviez-vous qu'il était venu se reposer sur le Rocher de Monaco ?
Si la renommée de ce héros a résisté au temps, pour parvenir jusqu'à nos jours, c'est bien que ce récit légendaire touche notre inconscient collectif. Chacun pouvant s'identifier à lui et imaginer avoir sa force et son courage pour vaincre de redoutables monstres.
Mais il y a plus encore...
Ce mythe renvoie à l'intime et à l'universel.
Au fil des pages, voyager avec Hercule vous ouvrira des portes mystérieuses, en vous révélant des clés symboliques dont la fonction première est d'expliquer ce qui est, de prime abord, incompréhensible ou étrange dans les tâches à accomplir. Les périples prennent, de cette façon, un sens plus profond, les combats deviennent plus explicites et dévoilent la nature duelle de tout être humain. Ce héros, avec ses exploits ou ses doutes, nous permet de faire connaissance avec nos propres archétypes. Nous sommes les enfants d'Hercule, nous devons combattre nos passions et vaincre nos vices à mains nues, dépouillés de tous métaux, avant la transmutation finale.
Il aurait dû être un roi, il vivra en homme, et deviendra un dieu.
L'essence de la voie réclame que notre vie devienne théandrique, à la fois pleinement divine et pleinement humaine. Elle exige que nous parvenions à la Réalisation ultime, celle du « Dieu vivant », du Dieu Un et sans second, car il n'y a qu'un seul Dieu ! Dieu, le Seigneur de l'univers, est le Dieu de tous les hommes, le Dieu d'une multitude de frères et de soeurs même si ceux-ci ont bien du mal à se reconnaître et à le reconnaître. Affirmons donc sans détour que Dieu n'a jamais été, n'est pas et ne sera jamais juif, chrétien, musulman, hindou, bouddhiste ou quoi que ce soit...
Afin de renouer avec l'usage de cette route relativement peu fréquentée, nous nous proposons d'évoquer le long tracé des voies anciennes, d'aplanir et de baliser les pistes oubliées, de signaler les passages obligés, d'exposer, d'étudier, de définir et d'expliquer l'ensemble des instructions et des pratiques essentielles du chemin...
Notre seul but et notre seule ambition se résument donc à présenter une méthode pratique et à rappeler les démarches du travail spirituel qui mènent lentement mais sûrement à la Réalisation car, comme le souligne très justement Aurobindo, « il s'agit moins d'innover que de redécouvrir ce qui l'a déjà été, de ré-instituer d'anciennes vérités et de refaire l'expérience faite par les grands maîtres du passé et de parvenir soi-même à la Réalisation ! »
L'essence de la voie réclame que notre vie devienne théandrique, à la fois pleinement divine et pleinement humaine. Elle exige que nous parvenions à la Réalisation ultime, celle du « Dieu vivant », du Dieu Un et sans second, car il n'y a qu'un seul Dieu ! Dieu, le Seigneur de l'univers, est le Dieu de tous les hommes, le Dieu d'une multitude de frères et de soeurs même si ceux-ci ont bien du mal à se reconnaître et à le reconnaître. Affirmons donc sans détour que Dieu n'a jamais été, n'est pas et ne sera jamais juif, chrétien, musulman, hindou, bouddhiste ou quoi que ce soit...
Afin de renouer avec l'usage de cette route relativement peu fréquentée, nous nous proposons d'évoquer le long tracé des voies anciennes, d'aplanir et de baliser les pistes oubliées, de signaler les passages obligés, d'exposer, d'étudier, de définir et d'expliquer l'ensemble des instructions et des pratiques essentielles du chemin...
Notre seul but et notre seule ambition se résument donc à présenter une méthode pratique et à rappeler les démarches du travail spirituel qui mènent lentement mais sûrement à la Réalisation car, comme le souligne très justement Aurobindo, « il s'agit moins d'innover que de redécouvrir ce qui l'a déjà été, de ré-instituer d'anciennes vérités et de refaire l'expérience faite par les grands maîtres du passé et de parvenir soi-même à la Réalisation ! »
La Franc-maçonnerie propose un voyage initiatique pour améliorer le monde et s'améliorer soi-même. Les étapes de ce voyage sont des escales spiralaires : chacun y revient sans cesse, mais différemment, au fil de son travail intérieur et de son engagement dans le réel, en ses « Degrés et Qualités ». Le Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm invite le cherchant à trois aventures parallèles :
- Un certain adogmatisme, compagnon de la Raison, qui invite à la redécouverte de notre Liberté ;
- Une certaine spiritualité, mot entendu dans son sens le plus large, où la vie de l'esprit fonde notre Égalité ;
- Un certain ésotérisme ou hermétisme, regard décalé et amoureux sur le Réel, aux racines, peut-être, de notre Fraternité.
Chacune de ces trois voies, pratiquée séparément, a ses propres écueils :
- L'adogmatisme peut conduire à un relativisme désespérant ;
- La spiritualité peut dégénérer en intégrisme ;
- L'ésotérisme peut s'abîmer dans la superstition la plus abrutissante.
Une des originalités de la Franc-maçonnerie est de réunir et de réconcilier ces mots que notre monde oppose.
Dans ce premier tome, Jean-Baptiste Bellivier revisite le parcours initiatique maçonnique avec les Arcanes tendus par le Premier Degré de nos Rites. Il s'adresse ainsi à tous les Apprentis Francs-maçons. Il est composé de vingt-et-une lettres qui peuvent être lues dans n'importe quel ordre. Il est illustré par un jeu de Tarot original qui permet d'entrer dans le Symbolisme.
"Cette lettre se veut, ultimement, une invitation. Elle va largement prendre la forme d'interrogations. Je vais te dire ce que j'ai compris de la franc-maçonnerie, ce que cette démarche m'a apporté et m'apporte toujours, largement sur le ton relatif du témoignage : je ne suis pas un « croyant » de la franc-maçonnerie, j'en suis un « pratiquant ». La franc-maçonnerie n'est qu'un chemin possible parmi d'autres, elle n'est d'abord qu'un moyen.
Elle permet une distance critique, mais aussi une mise en mouvement, ce qui la rend « initiatique ». Je n'ai pas de dogme à défendre. J'ai simplement vécu, grâce à la franc-maçonnerie, une démarche féconde et qui, me semble-t-il, m'a rendu plus libre. Je ne la partage ni comme une vérité ni comme allant de soi pour tout le monde, mais comme un chemin possible pour réenchanter le monde et travailler à quelques questions indécidables, dont les fameuses questions du sens, des sens et de l'essence de notre vie."
Avec ce livre pénétrant et étayé, le lecteur est transporté sur le chemin d'une possible « résurrection » de l'âme humaine et d'un éveil à la chaleur de l'esprit. Par-delà les sycomores des temples de Memphis nous conduit à l'essence de la nature humaine, aux plans subtils en l'homme et dans le monde, nous éclaire sur les vertus cardinales et théologales et leurs fondements spirituels. Il nous guide au coeur des arts libéraux de l'École de Chartres en nous invitant à une lecture astrosophique de l'Anticlaudianus d'Alain de Lille. L'auteur, qui s'aide des investigations spirituelles de Rudolf Steiner pour éclairer les fondements de la Franc-maçonnerie spiritualiste de Memphis-Misraïm, nous plonge dans l'univers de l'alchimie, du conte du Graal, des récits initiatiques, et en particulier celui d'une expérience spirituelle étonnante au sein de la cathédrale de Chartres. Ce livre humaniste appelle aux noces de la sagesse antique et de l'amour christique.
Le chamanisme, né dans les régions septentrionales eurasiatiques, tire ses origines d'un sentiment animiste inné, présent dans l'âme de l'homme. Le chaman représente le lien entre les hommes et les esprits : en état de transe, il reçoit les révélations des dieux, guérit les malades et accompagne les moribonds dans l'au-delà.
Cet ouvrage étudie la mythologie, l'univers du chaman, ses rôles, son initiation, les séances de transe, les plantes et les animaux sacrés. Suivant un parcours insolite, on cherche les traces de l'existence d'un sentiment chamanique primordial : du monde des anciens Scandinaves à celui des Celtes, des populations amérindiennes du Nord jusqu'aux anciens Égyptiens, aux Grecs et aux Romains. On découvre également que le monde culturel contemporain révèle des échos chamaniques plus ou moins évidents, de la musique à la littérature, du cinéma au jeu vidéo.
Ce livre veut montrer que certaines pratiques chamaniques peuvent encore marquer le rapport de l'homme avec l'environnement qui l'entoure et que la transcendance de l'enseignement chamanique peut être perçue, encore aujourd'hui, au plus profond de l'âme humaine.
« Chamanismes, le pluriel a son importance. Le travail d'Alessandra Orlandini Carcreff a le mérite de rendre compte de la diversité et de la multiplicité des noms et des représentations. » (Olivier Truc, "Le Monde").
Les deux auteurs sont des dignitaires de la Grande Loge Nationale Française puisque l'un, Patrick Charles Berard, est Grand Maître Provincial de la Grande Loge Provinciale Alpes Méditerranée et l'autre son Assistant, Lucien Millo, par ailleurs auteur maçonnique reconnu du R.E.A.A.
Dans cet ouvrage à quatre mains, les auteurs proposent au lecteur de se laisser porter par une approche initiatique originale de l'abeille, travailleuse, vivant en collectivité, adoptant un comportement social ordonné et produisant le miel, aliment complexe et sacré.
Sensibilisé par les caractères et comportements de cet insecte plurimillénaire, ils ont décidé d'unir leur plume pour y consacrer un ouvrage destiné à mettre en lumière les intrications les plus évidentes de cet animal avec la collectivité maçonnique et son véhicule originel qu'est le symbolisme.
Chacun, fort de l'expérience acquise durant de nombreuses années sur les colonnes de nombreuses Loges maçonniques, a décidé d'allier sa compétence à celle de l'autre pour aborder ce sujet hautement symbolique et parfaitement méconnu du plus grand nombre.
Les auteurs rendent ainsi à l'abeille un hommage légitime et sa juste place dans le foisonnement d'allégories, de mythes et de symboles dont la Franc-Maçonnerie est devenue le conservatoire en même temps que le creuset, tous fondus en un patrimoine désormais devenu commun.
Que cache finalement les arcanes du tarot dit « de Marseille » ? Quelques secrets hermétiques ? Des références aux antiques sagesses ?Une histoire des symboles à travers les civilisations et les siècles ?Tout cela, et bien plus encore...Ce livre est une enquête bien plus riche qu'il n'y parait au prime abord, parcourant les chemins des mythes perses, égyptiens, grecs, latins et bibliques.Il est un voyage à travers les racines de notre culture occidentale, conçu pour révéler bien des secrets oubliés sur les fondements de nos repères historiques, philosophiques et moraux.Philippe Massiera, professionnel de la communication, mais aussi plasticien, livre ici le fruit de plusieurs années de recherches sur l'iconographie profane et sacrée, depuis l'antiquité jusqu'à notre époque.
Dans cet ouvrage, sont abordées quelques-unes des facettes d'un très vaste sujet : LA NOTION DE DIEU.
L'être humain reste hanté par le mystère de sa provenance, dont la véritable Genèse est totalement perdue dans la nuit d'un temps rendu à jamais inaccessible.
Non content de s'interroger sur ses origines et sa destinée post-mortem, l'Homme fait appel aux sciences divinatoires, pour tenter d'examiner son futur et ainsi connaître à l'avance son devenir probable en ce bas monde. !!!
Quels sentiments peut-on éprouver pour Dieu ?
Faut-il remercier Dieu ?
S'adjoignent d'autres questionnements concernant, les affres de la mort, les imperfections de la création, l'accomplissement de la volonté divine. Des propositions de réponses, comportant des spécificités typiquement maçonniques, éclairent les thèmes abordés.
Le Grand Architecte de l'Univers, constitue un symbole parmi les plus importants de la Franc-Maçonnerie, il ne saurait en aucun cas représenter un refuge, mais plutôt indiquer une direction, un chemin vers la Lumière, stimuler une interrogation et une démarche introspective.
À côté des icônes de la Maçonnerie maintes fois citées, on mentionne bien rarement les Autres, ces Frères et ces Soeurs oubliés de la célébrité initiatique dont le parcours, souvent extraordinaire et parfois glorieux, mérite notre légitime curiosité.
Qu'ils soient aventuriers, artistes, hommes politiques, explorateurs, savants, militaires, ecclésiastiques (oui !), écrivains ou simples citoyens, ces Maçon(e)s ne sont pas resté(e)s dans leurs temples et leur histoire nous promet quelques savoureuses découvertes.
Et pourquoi ne pas revisiter également quelques personnages aux noms plus familiers, dont la vie recèle certains épisodes ignorés ?
Partant vers les cinq continents à la rencontre d'une soixantaine d'initiés tous aussi surprenants, pensons à Platon qui affirmait : c'est la vraie marque d'un philosophe que le sentiment d'étonnement.
Pour la première fois est présentée, ici, une méthode de construction de la Grande Pyramide, qui n'est pas une énième « théorie ». L'auteur invite le lecteur à « faire un tour » sur le chantier de la pyramide de Khéops, pour découvrir, en sa compagnie, les secrets des architectes égyptiens.
Les différentes phases de la construction de l'édifice le plus étudié et le plus célèbre de l'Histoire, sont révélées progressivement et accessibles à tous.
Un voyage enthousiasmant dans le temps, à des milliers d'années, un saut dans l'étonnante technologie d'un peuple génial.
Une aventure difficile à oublier...
« Peremherou - sortir à la lumière du jour » est le nom que les anciens Égyptiens utilisaient pour définir le texte funéraire que nous appelons aujourd'hui « Livre des Morts ». À travers une brève analyse nous en étudierons les origines, la structure et les contenus, cherchant à en comprendre le sens souvent obscur. Dans ce voyage virtuel, nous serons accompagnés d'un personnage appelé « Hor », dont le papyrus est conservé au Musée égyptologique de Turin depuis 1824. Le thème central sera la fameuse scène de la psychostasie ou de la « pesée du coeur » avec la confession négative du défunt (chapitre CXXV), peu connue mais étonnamment riche de références à la tradition judéo-chrétienne. La traduction intégrale du papyrus est suivie d'un dictionnaire des termes hiéroglyphiques, adressé à celui qui, par simple curiosité ou pour un approfondissement personnel, désire enrichir ses connaissances ou s'essayer à la traduction d'un texte en hiéroglyphes, écrit il y a plus de 2600 ans.
1635 : la ville italienne de Valenza est assiégée sur ordre du cardinal de Richelieu et les regards de deux jeunes se croisent, dans un amour silencieux et impossible.
Les secrets de l'espionnage, la cabale, la médecine d'autrefois et de mystérieuses boucles d'oreille. Le secret du médecin de la cabale navigue entre le XVIIe et le XXIe siècle, dans un roman historique qui plonge le lecteur au coeur de la culture juive et de l'art de l'orfèvrerie.
Traduction du roman italien, Il segreto del medico cabalista (LiberFaber, 2012).