Ce livre offre un récit fort et bouleversant sur la vie de « zonarde », avec des personnages profondément marqués par une histoire personnelle douloureuse et tumultueuse. C'est une ode à la liberté, au respect de l'autre dans sa différence et ses choix de vie.
Le 11 décembre 2008, les autorités de santé congolaises alertent les instances internationales : la fièvre Ebola est de retour dans la province du Kasaî occidental. Trois spécialistes, dont François Weber, y sont envoyés en urgence pour évaluer la situation et tenter d'endiguer l'épidémie. Ce qu'ils vont découvrir et vivre dépasse l'entendement. Une mission qui ouvre les yeux, une aventure humaine avant tout.
Une tempête tropicale dévaste Madagascar. François Weber, un humanitaire belge, est mandaté pour une mission de coordination des premiers secours. Le récit relate jour après jour ses difficultés, les destructions et les drames dont il est témoin, mais aussi de belles rencontres avec d'autres humanitaires et surtout les Malgaches, parmi lesquels une jeune femme à aimer passionnément.
Claire Strauss, après nous avoir menés Sur les pas de Jesse, un premier roman remarqué, nous convie sur ceux de Lola.
Un récit sur le contraste entre la simplicité de la nature et la complexité des rapports humains. C'est l'histoire d'un conflit interne entre un esprit sauvage et l'emprise familiale.
Le chêne de Lola a obtenu le PRIX DU ROMAN RÉGIONAL décerné par le LIONS CLUB du district 103 SE.
À la recherche du Bonheur ?
Produisons-le nous-même Nous transmettons quotidiennement des concepts à notre enfant.
Prendre du recul sur notre manière d'être et de faire permet de se mettre à la portée de notre enfant.
Dans une journée, une foule de merveilleux moments se présente.
Leur accorder toute l'attention, c'est vivre son présent, vivre pleinement sa vie, son incarnation.
Plusieurs petites séquences de bonheur, d'amour, de fierté,... produisent un merveilleux film de vie.
Livre à partager ! L'enfant se servira du livre comme outil pour se faire comprendre.
Nous sommes en Automne. La nature s'apprête au repos de l'hiver. Les feuilles des arbres virent aux couleurs d'épices et les sous-bois émanent des odeurs agréables. Tommy, un petit lapin, n'est pas convaincu par l'explication scientifique de ce merveilleux changement de saison. Il décide d'organiser une expédition avec ses amis dans les sous-bois pour découvrir la vérité. Serait-ce l'oeuvre d'une fée ? D'un monstre magique ?
Au programme : de l'amitié, de la magie, de délicieuses pommes golden et surtout un amour incommensurable de la nature ! Découvrez cette aventure magique au travers des illustrations féériques de Judy.
Chacun de ces vingt-six textes a pour pivot une femme d'aujourd'hui. C'est ce qui fait l'unité du recueil. La diversité des héroïnes apparente le recueil à un kaléidoscope dont chaque tour compose une nouvelle image féminine, l'éclaire d'un ton différent, mettant en lumière sa complexité. Tantôt sa fragilité, son désarroi, ses incertitudes, ses contradictions, ses mensonges... tantôt la force de ses émotions et de ses actions. Les thèmes des nouvelles sont variés, eux aussi : l'exil, la maternité, l'amour et le désir, le couple, la mort... Et déclinent toujours la question sous-jacente : Qui suis-je ?L'écriture oscille entre poésie et humour, révolte et nostalgie, espoir et découragement.
Wladimir Ferrari nous offre ici la partition de sa course folle le long de la colonne vertébrale de son piano. Une vie mélodieuse, ponctuée de points d'orgue et de cocktails d'anecdotes. Son récit est un véritable voyage musical qui nous transporte au gré de ses pérégrinations internationales. Une ode à la vie d'artiste alternant arpèges et staccatos au rythme des choix de la vie. En filigrane, Wladimir nous montre que nous pouvons tous poser nos mains sur notre propre clavier, l'agencement des notes, la façon de les jouer nous appartient et c'est à nous de composer notre propre mélodie.
Wladimir Ferrari est pianiste, spécialiste du piano bar américain. Il a commencé sa carrière à Monte-Carlo en tant que chef d'orchestre pour ensuite découvrir le monde avec passion et simplicité.
Qui connaît Théophraste Renaudot, en dehors du prix littéraire qui porte son nom ? Ancien étudiant à la faculté de médecine de Montpellier, ce philanthrope mit ses compétences médicales et sa vie entière au service de tous, il dut pourtant se battre avec la plus folle énergie pour les imposer et il est juste de lui rendre hommage...
Ce jeu a été conçu pour vous aider en donnant un début de réponse à vos questions et à vos attentes. Chacun des 72 anges gardiens ont des missions bien spécifiques, disons qu'ils seront plus aptes à répondre dans un domaine qu'il savent mieux gérer.
Tous les messages donnés, traiteront sur 4 thèmes : Amour, Argent, Travail et sur la vie en général.
Ces récits, guidés par les chuchotements d'Evelyne, sont le reflet de nos pensées intérieures, de notre société si versatile. Laissez vous transporter par ces expériences qui révéleront tout votre potentiel en vous donnant les outils pour construire vos bonheurs futurs.
Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des hasards provoqués. Ce livre vous a t 'il choisit ? Vous le saurez en le lisant dès aujourd'hui.
Ce recueil de contes pour adultes, de création nouvelle aux allures de fables poétiques regorge de leçons de vie et de valeurs morales. Ces trois contes abordent les aspects d'une nature solidaire, parfois cruelle mais aussi bienveillante en mettant en avant la sensibilité naturelle des êtres vivants et le rôle que chacun a à jouer dans la nature. Découvrez la rivalité et les fruits d'une nature qui pourrait bien vous surprendre !
Leticia Monceau est une Parisienne de 27 ans. Issue d'une famille bourgeoise et semblant avoir tout pour elle, elle quitte d'un bond son petit ami et son poste prestigieux au sein d'une multinationale. Elle souhaite donner plus de sens à sa vie, se réfugie dans le yoga, les associations, la critique de la société et de sa famille. La crise générationnelle de ces enfants gâtés ? Une quête plus intime se joue en parallèle, de Paris à Biarritz, de Dakar à l'île de Ré : celle de ses souvenirs enfouis. Le roman traite des petits traumatismes qui en cachent de grands, de la complexité des sentiments, de la culpabilité.
Le goût de l'enfance resterait-il en bouche toute la vie ?
» Ce voyage ne serait-il qu'un tampon de plus ? Elle présageait que non. Quelque chose s'affinait depuis quelques mois autour d'elle, en elle, quelque chose qui la rendait à la fois plus triste et plus optimiste que jamais.»
Trois femmes ordinaires : une célibataire malgré elle, une mal mariée, une divorcée. On ne pleure pas pour autant.
Au contraire, on rit du quotidien, on rit des autres et de soi. Et puis de choses moins anodines qu'il n'y paraît, chamailleries de l'enfance, mesquineries, jalousies et petits mensonges en tout genre. Et l'on s'émeut aussi. De l'amitié qui lie ces femmes malgré tout et des efforts qu'elles font pour refuser les compromissions, se trouver et s'assumer, même au prix de la solitude.
La légende de Tristan et Yseult est l'une des plus célèbres histoires de la littérature médiévale. Perdure, à travers les siècles, la tragédie de deux amans prisonniers de leur lien amoureux indéfectible, ce qui les met au-dessus des lois de la famille et de la société. Assurément, l'art du conte est porteur de l'imaginaire né de la diversité des cultures et permet de découvrir un autre univers peuplé de récits venus du fond des âges
Les anges et Archanges sont des êtres lumineux et divins, savoir cheminer avec eux, peut changer le traçage de notre route sur terre, J'ai la chance d'avoir un lien privilégié avec eux, mais cela ne fait pas de moi un être supérieur. Le travailleur de lumière que je suis ne signifie pas n'avoir aucune épreuve à traverser, aucun souci, aucun chagrin. Bien au contraire, je suis exactement comme vous, avec tous les soucis qui peuvent accompagner une vie. Il m'est bien souvent arrivé, au gré de mes epxpériences terriennes, de vouloir tout lâcher, mais il y avait toujours quelque chose qui me rattrapait, semblant vouloir me dire : "philippe accroche-toi, tu as une mission sur Terre à accomplir." C'est pour cela qu'au trvaers de mes récits, je vous fais partager tout mon savoir, même s'il me reste encore beaucoup de choses à apprendre sur l'univers des Anges et autres entités lumineuses,
Le Liban raconté par deux soldats poètes.
Danièle Frauensohn : Ils nous livrent leurs mots bleuis par la perte de repères. Ils n'ont pas hésité à franchir le pas les yeux rivés à la mer. Ils ont tenté de promettre un avenir en décryptant la paume de leurs mains.
Jean-Marc Collet est passé maître dans l'art de la narration poétique de sa guerre, des missions extérieurs auxquelles il a pris part. Il veut faire découvrir, sous une forme esthétique, ce que peut être la vie du soldat, au bout du monde, dans ce monde de barbarie où le " bon sauvage" comme le " civilisé" n'existent plus. Il aime la poésie et nous l'affirme par ce cri.
Lecture de Marie-Pascale Schuller sous la direction de Glad Amog Lemra . Ingénieur du son Jonathan Mereau.« Père-Fille » est un livre en miroir. Le père cadre pimpant quadragénaire hyperactif dans le monde professionnel des années 1970, bascule brutalement dans le néant social. Il devient chômeur. Il est englouti dans la spirale descendante de la solitude, aussi éreintante que celle qui l'emprisonnait auparavant dans son travail. La fille, adolescente est spectatrice de cette histoire paternelle. En silence, elle souffre de ces ineffables solitudes. Ces épreuves et ces exclusions successives engendrent les expressions multiples de sa violence brutalité d'un accident de moto, explosion d'une sensualité dans la kleptomanie. L'aboutissement de ce parcours initiatique lui permet de rétablir sa filiation. Ces deux monologues intérieurs sont sensoriels. Seules des perceptions relatent les histoires décalées mais complémentaires d'un père et de sa fille.
L'été en Méditerranée, les étals s'emplissent de fruits gorgés de soleil, sucrés et juteux à souhait. Cerises, pêches, abricots, melons, fraises mais aussi poires, grenades, kiwis, pêches et nectarines, pastèques, figues et prunes : le climat méditerranéen est propice à la production de fruits parfumés. Les plaines et les deltas sont des régions fruitières fertiles et productives. Comme en Espagne, la Huerta de Valencia et les régions d'Alméria. Au Maroc, la région du Souss Massa Draa ou de la vallée des Ait Bougmez. En Algérie, les wilayas de Tipasa (agrumes) et les wilayas de Djelfa, de Saida, de Batna, de Mascara (pistachiers). En Egypte, les vergers de «Saint Katherine» sont les plus anciens du Sud Sinaï, cultivés depuis plus de 2 000 ans par une tribu Bédouine, les Jebeleya. En Syrie, la plaine de Zebdani et le Wadi Barrada regorgent de pêchers, abricotiers, amandiers, orangers, pommiers ou figuiers. En Italie, la côte amalfitaine produit des agrumes, tandis que le Haut Adige est réputé pour sa culture de pommiers. En Emilie Romagne, pruniers, poiriers et aussi melons et pastèques. En Grèce, les vergers de Péloponnèse, au Liban, la plaine de la Bekaa. En Israël, les vergers du Mont-Carmel et au Montenegro, la plaine de Zeta. En France, les régions du Languedoc-Roussillon, de la Durance et de la Provence produisent des fruits d'excellence : l'abricot rouge du Roussillon, les cerises du Mont du Ventoux, le melon de Cavaillon ou le citron de Menton... A croquer, à confire, à compoter ou confiturer, nature, en salade, en chutney, en tarte, en sorbet ou en crème glacé, les fruits d'été se dégustent de multiples façons.
Le pastis, quelle histoire !
Indissociable des saveurs du Sud, définitivement rattaché à Marseille, le pastis est à lui seul une légende. Son nom vient du provençal «pastisser» qui veut dire mélanger. Le «pastis» est donc une sorte de mélange de plantes, d'épices et d'alcool.
Le pastis, c'est le soleil de l'apéritif, la convivialité des gens du midi, la boisson rafraîchissante de l'été et la touche anisée de la cuisine provençale.
Bon, c'est vrai, au cabanon on boit jaune sinon on verrait rouge, alors ici on dit un pastaga ça va et trois ça va aussi ! Même le Marcel avec ses quatre-vingt-dix cannes ne veut pas de momie, et les flans chez nous se dégustent au soleil et pas à la cuillère. Certains disent que le pastis, pour éviter d'en faire, vaut mieux le boire. Mais quand on passe enfin à table, on en met dans les pâtes, les favouilles, les pieds paquets et même dans les biscuits que l'on mange en les trempant dans un pastis, pardi !
Qu'il s'appelle amplovo en Provence, amarou à Nice, antchoïa au Pays Basque, anxova en Catalogne, acciuga en Italie, anchoa en Espagne, ?a???? (gáv_ros) en Grèce, incova à Malte, incun en Croatie, hamsi en Turquie, anchoa au Maroc (ou boqueron, anchois frais) ou lloj sardeleje en Albanie, l'anchois est présent dans les cuisines provençales et basques depuis le Moyen-âge. Pêché au lamparo dans les barques catalanes depuis le 13ème siècle, il fit la renommée des ports (et conserveries) de Collioure jusqu'à Saint-Tropez. Méditerranéen, il s'est invité dans les terres italiennes, Campanie, la Calabre et la Sicile, suivant les différentes toutes de sel depuis la Ligurie. Au Maroc, il raconte aussi l'histoire de la pêche. Et en octobre, il a même son festival à L'Escala en Catalogne (Espagne) : Festa de l'anxova i de la sal. Entier, haché ou en purée, salé ou frais, l'anchois est un ingrédient indispensable dans nombre de préparations culinaires d'une rive à l'autre : anchoïdade niçoise, bagna cauda piémontais, ghagin bl incova maltaise, gavros ladoxido grecques, aliciotti con l'indivia italien mais aussi pissaladière, fougasses, tians. En entrée, en plat ou en accompagnement, il n'en finit pas de se décliner dans toutes les cuisines, dans toutes les cultures et au fil de nos histoires.
Qu'on le nomme poulet, pollo, pollastre, djéja, kotopoulo, tigieg ou tavuk, nul n'a plus voyagé et depuis plus longtemps que le poulet. Venu des confins de l'Himalaya et suivant une longue route, le poulet est arrivé il y a au moins 3000 ans au Moyen-Orient. On retrouve sa trace en Babylonie, en Égypte et en Crête vers 1500 av JC. Il est fort probable que notre gallinacé ait suivi les caravanes chargées d'épices odorantes. A quelles rencontres fut-il mêlé dans les caravansérails de Samarcande, Khiva ou Sultanhani ? Quoiqu'il en soit, Gallus Gallus après les montagnes du Pamir et les déserts du Karakoum, s'est répandu sur les rives méditerranéennes de la Syrie à l'Egypte et de la Perse jusqu'au Yémen. Pouvait-il imaginer son destin paré de couleurs chatoyantes, nageant dans des sauces relevées, sa chair s'exaltant aux arômes épicés ? Champion de l'acclimatation, il s'est donc installé dans toutes les cuisines méditerranéennes. Depuis, l'ami poulet se pavane sur les rives de la Méditerranée, se prêtant à toutes les cuisines, de toutes les cultures et dans tous les cultes. Rôti, grillé, farci, bouilli, en sauce, en salade, le poulet se prépare de si nombreuses façons qu'il se trouve très souvent sur les tables pour une cuisine familiale, festive, conviviale ou gastronomique. A lui seul, le poulet témoigne de la richesse culinaire des pays méditerranéens, de l'histoire des migrations des hommes et de l'évolution des cuisines.