Non, le Berrichon n'est pas une déformation du Français !! ... c'est même plutôt l'inverse. Tandis que notre langue vivante nationale évoluait avec le temps, le patois berrichon, lui, a conservé toute sa saveur et son originalité. Et à ce titre, il représente un patrimoine linguistique à sauvegarder. Le comprendre c'est bien, le causer, c'est bin mieux !!!A travers toute une collection de poches, découvrez les parlers locaux par thème : météo, famille, corps humain, etc...volume 1, thématique le météo : les pronoms, les verbes, les participes passés, les prépositions, les adverbes, le soleil, la chaleur, le froid, la neige, la glace, le verglas, les nuages, l'orage, la pluie, le grésil, le vent, les moment de la journée et de l'année, la nuit, la lune, l'obscurité, parler du temps, la météo et les animaux.
" Un roman captivant et optimiste, inspiré d'une histoire vraie, mêlant poésie et réalisme, amour et aventure, au coeur d'un pays fascinant... " Michel, jeune chimiste normand de 29 ans, se voit confier une mission inattendue et périlleuse : trouver un endroit dans le monde où cultiver une variété de Pervenche de plus en plus rare, plante essentielle pour l'élaboration d'un nouveau médicament.
C'est au Mexique, dans les montagnes tropicales et volcaniques de Veracruz, que Michel va découvrir une pervenche d'une qualité exceptionnelle, appelée là bas, la Ninfa.Plus précisément dans le jardin de Gonzalo, un jeune paysan totalement démuni et banni par ses frères indiens du village de Los Mangos.
Débute alors pour les deux hommes une aventure fantastique. Dans des conditions hostiles, bravant tous les obstacles avec détermination et courage, ils parviendront à convaincre la population de les suivre dans leur projet. Des milliers de personnes découvriront alors le trésor que recèle cette plante qui leur était jusqu'alors inconnue.
Cette merveilleuse histoire, est celle de la confiance née entre deux hommes, de la découverte de soi-même, de l'alchimie positive qui surgit lorsque les cultures se croisent et se respectent; une histoire où les mots courage, détermination et intelligence ont pour écho direct ceux de dignité, ressources nouvelles et revanche sur un passé difficile.
" Le trésor de Los Mangos " pourrait être perçu comme un conte philosophique, car chacun d'entre nous peut posséder un trésor " dans son jardin " sans en connaître la valeur, mais ce livre est avant tout un roman inspiré d'une histoire vraie, où l'homme ressort grandi.
Tout a commencé il y a vingt ans...
Les grès anciens du Berry, leur rôle dans la vie des Hommes Cet ouvrage composé de textes et de photos a été élaboré par Lucienne et Gérard Vincent. Il met en valeur des poteries faites à l'unité, par des artisans qui n'avaient qu'un tour de potier et leurs deux mains pour travailler.
Que le lecteur ne recherche pas la géométrie parfaite des grès présentés dans cet ouvrage, ce ne sont pas des pièces d'usine. Les vernis peuvent parfois être irréguliers. Les imperfections ou les défauts qui pourraient apparaître ne sont du fait ni du photographe, ni de l'imprimeur ; ils font partie intégrante de la pièce, ancienne et parfois usée ... ce qui fait leur charme. Ces grès reflètent aussi l'esprit de consommation de l'époque : on ne détruisait pas ce qui n'entrait pas dans la norme, comme on le fait de nos jours par exemple avec les légumes. On conservait, on réparait, on récupérait, on prenait soin des choses.
Des procès de sorcellerie du XVIe et du XVIIe siècle, aux étranges pratiques encore en usage aujourd'hui dans nos campagnes, la face noire du surnaturel n'a cessé de hanter les esprits superstitieux et de s'incarner en d'inquiétants personnages. Les « meneurs de loups » et « les meneurs de nuées ». qui fascinaient nos ancêtres, existent toujours, et nul n'ignore que L'envoûtement continue d'avoir ses adeptes et ses victimes... c'est tout un univers insolite, riche en énigmes et en curieuses découvertes, qui se livre à nous peu à peu, à travers ces pièces à conviction et ces témoignages.
En 1808, Napoléon 1er envahit l'Espagne. Large vainqueur face à une armée désorganisée et un pays presque à l'abandon, il décide d'envoyer Ferdinand, prince des Asturies et héritier légitime du trône en résidence surveillée en France alors qu'il a choisi de confier à un de ses frères la couronne espagnole.
Quentin Burbaud est chargé par Fouché de se joindre à l'escorte en partance de Bayonne qui achemine Ferdinand, son frère et son oncle ainsi qu'une partie de la cour qui l'accompagne, jusqu'à la résidence de monsieur de Talleyrand, à Valençay, qui doit les y accueillir.
La mission de ce jeune policier est simple ; elle consiste à assurer la surveillance, tout autant que la protection, des princes espagnols aussi longtemps que durera leur séjour dans le Berry. Complots, incendies, meurtres, enlèvements, affaires de c eur, rien ne lui sera épargné.
L'an 1419, le Royaume des Francs étant en pleine guerre civile, le Duc de Bourgogne Jean-Sans-Peur est assassiné sur le Pont de Montereau. François Selève, jeune médecin du Dauphin Charles de France, est suspecté d'être l'auteur du crime et doit prendre la fuite, pour se retrouver, incognito, dans les faubourgs de Bourges. Il s'y fera des amis, dont le futur argentier du Roy, Jacques Coeur, et le Duc René d'Anjou, avec lequel il imaginera l'épopée Johannique.Une plongée dans le monde des petites gens du Moyen-Âge, bien des siècles avant l'automobile et les réseaux sociaux.
Le 6 juin 1944, les Alliés débarquent en Normandie. Les Allemands qui les attendaient dans la région de Calais doivent envoyer en urgence des réserves importantes sur le nouveau front normand. La 2e division blindée Das Reich, stationnée à Montauban, prend la route le 8 juin, mais est arrêtée le lendemain dans le secteur de Limoges, faute de carburant, dans l'attente d'un important convoi ferroviaire d'essence qui n'arrive pas. Le 9 juin au soir, les Occupants découvrent à la gare d'Argenton leur convoi, intact. Ils peuvent reprendre leur progression vers la Normandie, après s'être livré à un massacre de la population.Si les faits sont bien connus, ils n'ont pas encore été l'objet, près de 80 ans après, d'une analyse critique complète : le massacre peut-il pour tout ou partie s'expliquer par les actions de la Résistance? Le combat à la gare a-t-il été bien préparé et mené? Pourquoi la mission stratégique de destruction du carburant n'a-t-elle pas été exécutée? La prise de pouvoir dans la ville était-elle justifiée ou opportune?Sur tous ces épisodes, l'auteur présente des conclusions argumentées. Lorsqu'un doute peut subsister, il propose d'ultimes hypothèses, qu'il confronte aux faits, et laisse au lecteur le soin de conclure lui-même. L'ensemble constitue ainsi une première analyse historique, qui pourra être commentée et restera à compléter en cas de découverte de nouveaux éléments.
Défunt Pierre Mathivet était maître chanvreur dans la montagne de Creuse. Son dur métier le portait de village en village où il passait ses veillées à travailler le chanvre. C'était un grand et bel homme qui contait des récits étranges où se croisaient les vivants et les morts, les mentalités profondes du monde paysan et les traditions ancestrales.
Tous les ans, il venait s'installer pour quelques jours chez l'arrière-grand-mère de l'auteur, aux Bregères, où il avait le gîte et le couvert, comme c'était la coutume autrefois pour ces travailleurs ambulants ayant pour famille presque la Creuse entière. « Lorsqu'il s'abattait aux Bregères, la tête bourrée d'histoires, on se serrait autour de lui pour entendre ses récits », se souvient la petite fille que j'étais.
De fait, Béatrice Gérard-Simonet fut possédée dès son adolescence par la passion de la collecte des mots de patois, des contes, des légendes, des traditions paysannes, de la médecine populaire, et des superstitions qui couraient le temps.
Le collectage des contes s'avéra le plus difficile, tant les changements intervenus dans la vie rurale avait rompu la transmission des traditions orales d'une génération à l'autre. Et seule, la connaissance intime de son terroir permit à l'auteur de « recoudre » des témoignages devenus parcellaires en raison de l'abandon des longues veillées d'hiver qui avait rapidement appauvri la mémoire collective.
L'authenticité des sources, la poésie des mots du terroir et la peinture réaliste des moeurs paysannes convient le lecteur à un voyage aux racines mêmes d'un pays creusois, sauvage et attachant à la fois.