Quand une enseignante new-yorkaise témoin d'un meurtre se retrouve la victime d'un jeu pervers. Un thriller dans la lignée d'American Psycho.
Un psychopathe en liberté Un soir, alors que Fiona, enseignante new-yorkaise, prend un verre avec l'un de ses élèves dans un bar miteux de son quartier, elle surprend les ébats amoureux d'un homme tatoué et d'une jeune femme rousse dont on retrouvera peu après le corps mutilé...Dernier témoin à l'avoir vue vivante, Fiona est d'abord suspectée puis interrogée par les deux inspecteurs chargés de l'enquête.Mais la menace se précise : une main en plastique sordide lui est adressée... Serait-elle la proie du maniaque qu'elle a surpris ? Ou bien victime du jeu pervers de l'un de ses élèves ou de l'inspecteur Malloy avec lequel elle entretient une relation trouble ?Considéré comme un classique du thriller érotique, In the cut offre une plongée dans les abysses de la psyché humaine.
This long-awaited monograph brings together fifty years of work and demonstrates how the interiors guru has drawn on a global range of influences for his designs as well as his furniture and fabric collections.
John Stefanidis established his design practice in Chelsea, London, in 1967, attracting a discerning international clientele with his carefully considered, vibrant, and beautiful transformation of homes worldwide.
If there is such a thing as a Stefanidis «look,» it combines an original use of vibrant color, an eclectic aesthetic, great sensitivity to proportions, and comfort matched with international flair. With interiors that are often distinguished by bespoke elements-bronze door pulls, oak shutters, an inlaid table, a pair of simple, oak-topped chests-Stefanidis's creations often feature the handiwork of decorative painters and other craftspeople who marbleize woodwork and lay in floor mosaics. This lavishly illustrated survey-with images taken for the foremost shelter magazines and unpublished photographs from the designer's archive-closely follows Stefanidis's trajectory from his professional start in the late 1960s to his most recent, celebrated projects. Sifting through a vast personal archive, Stefanidis shares exclusive insights into his process, his own rules for decorating, and personal stories of his adventures and friendships with many of the leading lights of the day.
In January 1836, two sisters, Eleanor and Harriet, set sail for India, leaving their home in England to accompany their brother, Henry, on his posting as Governor-General. Told through the engaging voice of Eleanor, One Last Look takes the reader to the heart of nineteenth-century India. Surrounded by a constant entourage of servants and aides, overwhelmed by the suffocating heat and her own physical vulnerability, Elenanor begins to realize that nothing is as it seems. Will her brother's political ambitions lead them inexorably to disaster? Is her sister's sanity under threat? As fragile boundaries begin to dissolve, and desire and horror overcome her, it is clear that Eleanor's vision of this land and herself will be irrevocably transformed.
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Une plongée au coeur de l'Inde du XIXe siècle
1836. Henry, un haut dignitaire anglais est envoyé en mission diplomatique en Inde, où il restera gouverneur général jusqu'en 1842. Il effectue ce voyage en compagnie de ses deux soeurs, Harriet et Eleanor, dont le journal retrace leurs années passées là-bas.
Traversé par plusieurs événements graves - l'épidémie de choléra de 1837 ou la prise de Kaboul par l'armée anglaise en 1839 -, le récit que fait Eleanor de leur séjour laisse une grande part à ses pensées intimes - dont ses relations ambiguës avec son frère. D 'abord convaincue de la supériorité de l'aristocratie britannique, Eleanor porte un regard acéré sur les gens qu'elle croise - maharadjahs ou évêques, serviteurs ou officiers de la Couronne - avant de tomber sour le charme de ce nouveau monde.
La vie est ponctuée de promenades à dos d'éléphants et de soirées mondaines avec la société coloniale, jusqu'au drame : Harriet, dans un accès de folie, tue son amant indien...
prison de femmes de sloatsburg, état de new york.
helen, une schizophrène condamnée pour le meurtre de ses deux enfants, aurait préféré la peine capitale à la prison à vie. mais la justice en a décidé autrement. louise, la nouvelle psychiatre du pénitencier, s'identifie à ses patientes au point d'enfreindre le règlement. ike, ex-flic devenu gardien de prison, est un père divorcé un peu blasé. loin de sloatsburg, angie joue les starlettes à hollywood en attendant le rôle de sa vie, enfermée dans ses rêves de gloire.
récit à quatre voix, adieu, ma grande est un livre sur la violence, celle qui ravage les familles ou impose sa loi dans les prisons. avec un regard dérangeant, susanna moore fait monter la tension jusqu'à l'insupportable dans ce roman noir qui dévoile ce que l'être humain recèle de pire.
