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pierre bisiou
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Le magasin qui n'ouvre que les jours de pluie
Yeong-Gwang You
- Robert Laffont
- Collection R
- 10 April 2025
- 9782221274705
Il paraît que le Magasin La Mousson, situé dans la ville d'Arc-en-ciel, n'ouvre que les jours de pluie.
Que pour s'y faire inviter, il faut raconter ses malheurs sur papier, et les envoyer par courrier aux gobelins qui gèrent les lieux.
Que si ces derniers vous choisissent, en échange de votre visite ils vous offriront un grand bonheur...
Serine n'aurait jamais cru recevoir son invitation pour le magasin des gobelins... accompagnée d'un mystérieux carton d'or ! Une fois sur place, escortée par un drôle de chat aux pouvoirs imprévisibles, elle va partir à la recherche de son bonheur. Et elle devra faire vite : si elle ne le déniche pas avant la fin de la saison des pluies, elle pourrait être piégée chez les gobelins pour toujours. -
Après le succès de Lapin maudit (Matin Calme, 2023), l'autrice star Bora Chung revient avec un roman composé de sept histoires fantastiques se déroulant dans un étrange institut de recherches spécialisé dans les phénomènes paranormaux
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A 35 ans, Kim Jiyoung, Coréenne ordinaire à la vie jusque-là des plus banales se met soudain à agir de manière étrange. Pourquoi ?
Kim Jiyoung est une femme ordinaire, affublée d'un prénom commun - le plus donné en Corée du Sud en 1982, l'année de sa naissance. Elle vit à Séoul avec son mari, et leur petite fille. Elle a un travail qu'elle aime mais qu'il lui faut quitter pour élever son enfant. Et puis, un jour, elle commence à parler avec la voix d'autres femmes. Que peut-il bien lui être arrivé ? En six parties, qui correspondent à autant de périodes de la vie de Kim, Cho Nam-joo livre une photographie de la femme coréenne piégée dans une société traditionaliste. Mais Kim Jiyoung est bien plus que le miroir de la condition féminine en Corée - elle est le miroir de la condition féminine tout court.
Un roman féministe à résonnance universelle. Une arme brillante contre la pensée conservatrice et patriarcale. Minh Tran Huy, Madame Figaro Un ouvrage remarquable. Stéphane Bugat, Le Télégramme Traduit du coréen par Kyungran Choi et Pierre Bisiou -
Deux fiancés coordonnent leurs voyages interstellaires afin de pouvoir célébrer leur mariage sur la Terre. Mais des incidents perturbent leur traversée de l'espace et du temps, repoussant leurs retrouvailles vers un futur toujours plus lointain. Alors que la Terre subit changement climatique, guerres civiles et désastres nucléaires, une chose reste constante : l'amour est éternel. Quant à leur fils, devenu un voyageur du temps, il cherchera à se rendre aux confi ns de l'univers, jusqu'au point de non-retour.
« Une expérience révolutionnaire et mystique. Puissant et gracieux. » Bong Joon-ho
« Au final, plus que la nouveauté, c'est l'émotion qui retient l'attention et emporte l'adhésion. On en redemande. » Midi Libre
« Une science-fiction sublime, tant la science, la poésie et la métaphysique se rejoignent parfaitement . » Le Meilleur des mondes, France Culture -
Young, étudiant et jeune écrivain, vit à Séoul avec sa meilleure amie. Tous deux font la fête, boivent, sortent avec des garçons. Ils sont de cette génération de Coréens confrontée à une société corsetée : Young doit taire son homosexualité au monde, et surtout à sa mère affaiblie. Derrière son humour ravageur, se cache un homme éprouvé par la solitude et le doute. « L'amour est-il vraiment beau ? » s'interroge-t-il. Jusqu'au jour où Gyuho entre dans sa vie.
S'aimer dans la grande ville nous entraîne dans le parcours haut en couleurs et émouvant d'un homme face à l'amour sous toutes ses formes, qu'il soit amical, filial, en couple ou simplement - et surtout - de soi-même. A la croisée de Sally Rooney et Herve Guibert, mêlant brio romanesque et subtilité sentimentale, ce roman phénomène en Corée puis dans le monde entier a été en sélection du Man Booker Prize et sera adapté en série et en film. -
À Séoul de nos jours, une trentenaire en difficulté demande à sa mère de l'accueillir chez elle quelque temps. Cette dernière accepte à contrecoeur : sa fille ne souhaite pas s'installer seule, mais avec sa partenaire. Aussitôt, dans ce huis clos, un climat de malaise naît entre les trois femmes. La mère souffre devant la nature incompréhensible à ses yeux de ce couple. Face à un mode de vie qu'elle désapprouve tant il nie la tradition coréenne du mariage et de la famille, elle oscille entre honte et colère. Alors que les idéaux de la fille se heurtent au sens des convenances de la mère, une réconciliation est-elle seulement possible ?
Un premier roman où l'intime et la délicatesse se côtoient pour aborder ce qui est encore considéré comme un grand tabou en Corée. À propos de ma fille est aussi une invitation touchante à découvrir des femmes coréennes tiraillées entre tradition et émancipation.
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Parfois on a l'impression d'être le dernier à parler une langue que tout le monde aurait oubliée. C'est juste qu'on se sent seul au monde. On a perdu quelqu'un que l'on aimait plus que tout, comme un père pour sa fille préférée. Ou son enfant pour un jeune couple. Leur fils de deux ans a disparu un matin au supermarché et quand il leur est restitué, des années plus tard, il est si différent de l'image qu'ils avaient précieusement gardée de lui que c'est comme s'il leur était arraché une seconde fois.
Ce sont nos pertes, nos détresses, nos amours bancals, nos défaillances et nos consolations que nous reconnaissons dans ces récits doux-amers qui oscillent entre burlesque et désastre, ironie et tendresse. Et le portrait n'est jamais aussi drôle et mordant que lorsque l'auteur se met en scène, écrivain dépressif qui trouve dans le sexe un remède miracle à ses pannes d'inspiration.
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C'est une insulte et un mot doux. Ad libido.
Une partie de fesses, menée à fond de train.
Un totem sans tabou.
Vibrant éloge de la sodomie, Q alterne professions de foi et scènes de la vie conjugale, tour à tour comique, langoureux, éruptif. Un constant souci de la langue soutient une plume alerte, de haute tenue, sans considération aucune pour l'horizontal et le bienséant. Libertin sans emprunt, chic et cash, Pierre Bisiou entre joliment en littérature par la porte étroite.
À dévorer, séance tenante.
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En finir avec la guerre aux drogues
Yann Bisiou, Jean-Pierre Couteron, Pierre-yves Geoffard
- L'Esprit Frappeur
- 22 September 2021
- 9791093279121
Aujourd'hui, des digues s'effondrent. Le discours qui s'est longtemps résumé à dire que "les drogues, c'est de la merde" ne prend plus ; la régulation du cannabis n'est plus un sujet tabou, l'ouverture de salles de consommation a moindres risques non plus. De plus en plus de pays s'y mettent.
Alors que le sujet devient plus clair, le débat peine à s'approfondir. Depuis trente ans, les mêmes questions et souvent les mêmes réponses dans dans les médias ou en politique. Les drogues, tout le monde en parle mais personne ne sait vraiment ce qu'il en dit. Lorsqu'on dépasse le préjugé, le sujet est sensible. "Dites-moi comment vous traitez les consommateurs de drogues et je vous dirai dans quelle société vous vivez."
Entre libertés publiques et vie privée, sécurité et santé, les drogues sont le miroir d'une société qu'on aimerait vous raconter.
Jean-Pierre Courteron, Jean Félix Savary, Pierre-Yves Geoffard et Yann Bisiou, Quatre experts du sujet se sont réunis pour écrire ce livre, véritable outil pédagogique pour comprendre et se faire un avis.