« Ni l'accumulation des signes, ni les éclaboussures de taches noires n'étaient lisibles pour lui. Mais l'art calligraphique de l'Orient l'avait toujours fasciné et il pouvait en sentir toute la puissance. [...] Au fil des jours, des semaines et des mois, les pages se couvrirent de signes, rythmant l'espace, l'organisant, jusqu'à procurer sens et équilibre à l'ouvrage. »