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ivan tourgueniev
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Premier amour
Ivan Tourguéniev
- LE LIVRE DE POCHE
- Le Livre De Poche Classiques
- 1 April 1976
- 9782253012528
Réunis un soir, des amis se racontent leur premier amour.
« J'avais alors seize ans. Cela se passait au cours de l'été 1883. J'étais chez mes parents, à Moscou... » Dans la maison voisine, une princesse, jeune fille à la Tourgueniev, délicieuse, pure et volontaire, s'amuse de ses soupirants jusqu'au jour où elle-même succombe à l'amour.
Ce récit au charme cruel est une histoire vraie. L'adolescence de Vladimir fut celle de Tourgueniev. Il n'aima vraiment toute sa vie qu'une seule femme, sans en être aimé. Echos de sa jeunesse au milieu des serfs et des paysans russes, de ses peines amoureuses, ces trois nouvelles sont des chefs-d'oeuvre de vérité et de poésie. -
Premier amour ; nid de gentilhomme
Ivan Tourguéniev, Edith Scherrer
- Folio
- Folio Classique
- 24 January 2008
- 9782070344888
Nouvelle édition en 2008
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Nouvelle édition en 2008
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Dans la campagne russe, au coeur de l'été, on passe le temps en bonne société en jouant aux cartes, en se promenant au bord du lac, en buvant du thé fumant ou en allant au bal. C'est là que Vladimir Serguéïtch Astakhov, arrivé de Saint-Pétersbourg pour inspecter le village dont il est propriétaire, rencontrera deux femmes. L'une est aussi froide que l'autre est entreprenante. À force d'indécision, elles lui échapperont toutes les deux et Vladimir Serguéïtch verra, dans cet été, la fin d'une époque insouciante.
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Nouvelle extraite de Romans et nouvelles complets, III (Bibliothèque de la Pléiade)
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Sourd-muet de naissance, le serf Gérasime est une force de la nature. Il rêvait d'épouser Tatiana, mais celle-ci est promise à un autre. Il se console en recueillant Moumou. La société russe du XIX? siècle est ainsi faite que Gérasime n'a le droit d'aimer qu'une chienne. Encore que... Écrite pendant la détention de Tourguéniev à la maison d'arrêt de Saint-Pétersbourg en mai 1852, cette nouvelle interdite par la censure fut finalement publiée en mars 1854 dans la revue Contemporain.
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«Ou bien encore, vous partez pour une lointaine partie de chasse en pleine steppe. Après dix verstes de mauvais chemins de traverse, voici enfin la grande route. On laisse derrière soi des auberges avec leurs puits, leurs portails grands ouverts, leurs samovars qui pétillent sous l'auvent ; on traverse un village, puis un autre, des champs à perte de vue, de vertes chenevières ; et longtemps, longtemps vous roulez ainsi. En avant ! En avant ! La steppe est proche. Quelle vision du haut de cette côte ! De blanches églises apparaissent ; au loin, dans la plaine, les outardes se suivent à la queue leu leu ; un vieux manoir, avec ses communs, sa grange, son verger, se blottit contre un étang minuscule. Les arbres se font rares. La voici enfin la steppe, la steppe immense et sans limites !...»
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«Le printemps, le printemps arrive ! Je suis assis sous ma fenêtre et mon regard, par-delà la rivière, va se perdre dans les champs. Ô nature ! Nature ! Je t'aime si fort, et pourtant je suis sorti de tes entrailles incapable même de vivre. Tiens, un moineau mâle qui sautille, les ailes écartées ; il crie, et chacune des notes de sa voix, chacune des petites plumes ébouriffées de son corps minuscule respire la santé et la vigueur... Que faut-il en déduire ? Rien. Il est sain, il a le droit de crier et d'ébouriffer ses plumes ; et moi je suis malade, et je dois mourir, c'est tout.» Un récit crépusculaire et contemplatif, sous forme de journal intime, par la grande plume russe de Premier amour.
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Roudine est admis dans le salon de Daria Lassounska. Il brille par son éloquence, séduit les âmes, s'installe comme interlocuteur privilégié de la maîtresse de maison, ravissant jusqu'au coeur de Natalie, la fille de Daria. Est-ce un tartuffe ? Un beau parleur ? Qui peut dire si Roudine, homme de paroles et d'idées, est capable d'éprouver une passion véritable ? Dimitri Roudine, publié en 1856, marque durablement Henry James, qui déclare Tourguéniev premier romancier de son temps.
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Est-il possible de renoncer à une existence heureuse pour tenter de revivre un amour ancien ? Est-il possible de savoir réellement ce que l'on veut, de rester parfaitement honnête, sincère avec soi-même, quand dix ans se sont écoulés et que l'on veut ressusciter une passion ? Litvinov est un jeune trentenaire égaré dans une luxueuse villégiature. Il découvre ces questions, dans tout ce qu'elles ont d'exaltant - et de profondément désagréable.
Paru en 1867, Fumée est un roman important dans l'oeuvre de Tourguéniev. Montrant une exceptionnelle prescience quant au destin de ses compatriotes, l'auteur use avec un talent impitoyable d'une intrigue romanesque pour brosser une cruelle galerie de portraits.
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Romans et nouvelles complets Tome 1
Ivan Tourguéniev
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 24 April 1981
- 9782070109807
Il aura fallu près de cent ans après la mort de celui que les Russes ont toujours considéré comme le plus accompli de leurs prosateurs pour que la totalité de ses romans, nouvelles et esquisses soit publiée en français, dans les trois volumes que lui consacre la Bibliothèque de la Pléiade. Et pourtant Tourguéniev fut, de son vivant, l'écrivain russe le plus célèbre en France. Ami intime de George Sand, de
Mérimée, de Flaubert, installé à Paris à partir de 1871, il fut le véritable initiateur du public français à la Russie, par ses romans et plusieurs de ses nouvelles qui furent traduits et édités en français presque en même temps qu'ils étaient publiés en Russie. Malgré cela, parmi ses oeuvres, seuls quelques titres isolés éveillaient encore un écho dans nos mémoires : Les Mémoires d'un chasseur, Premier amour, Pères et fils... Dans les trois volumes de l'édition de la Pléiade, le lecteur français retrouvera cette évocation merveilleuse, réaliste et lyrique à la fois, de la vieille Russie terrienne qui enchantait déjà George Sand et Flaubert ; il y découvrira aussi un autre Tourguéniev, peintre génial de l'actualité sociale et intellectuelle de son temps, que ses compatriotes, tantôt flattés, tantôt furieux, portèrent aux nues ou insultèrent férocement : ni Tolstoï, ni Dostoïevski, ni bien entendu Tchékhov ne soulevèrent jamais de telles passions. Cet aspect de Tourguéniev n'avait pas été perçu jusqu'ici par le lecteur français. L'édition de la Pléiade, avec son introduction, ses chronologies, ses notices historiques et biographiques, son appareil de notes et de variantes, lui en facilitera la découverte et la compréhension. On s'est fondé, pour traduire les textes, sur l'édition «académique» en 28 volumes des oeuvres et de la correspondance de Tourguéniev, une des meilleures éditions savantes qui soient en U.R.S.S. -
En janvier 1870, Tourguéniev est invité par Maxime Du Camp à assister à l'éxécution publique d'un jeune criminel devenu célèbre pour avoir commis huit meurtres sordides, Jean-Baptiste Troppmann. Poussé par une curiosité qu'il lui est malaisé d'expliquer, Tourguéniev accepte l'invitation et suit Troppmann de sa toilette funèbre jusqu'à la guillotine. Description glaciale d'une mise à mort à laquelle assiste une foule de badauds avinés et braillards, L'Exécution de Troppmann, écrit sans parti-pris, est le constat d'échec de la peine de mort, sans vertu dissuasive et absurdement immorale.
Ce volume comprend : L'Exécution de Troppmann, Un incendie en mer et Une fin.
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Dans cette comédie en cinq actes écrite en 1850, Ivan Tourgueniev explore les comportements amoureux de ses contemporains. La paisible vie quotidienne d'une petite société noble en villégiature devient pour quelques jours le théâtre d'une agitation inhabituelle. En pleine époque romantique, Tourgueniev fait preuve d'une exceptionnelle modernité.
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Un roi Lear des steppes ; l'auberge de grand chemin et de Moumou
Ivan Tourguéniev
- Sillage
- 1 December 2016
- 9791091896559
Les trois nouvelles rassemblées dans le présent volume ont toutes été inspirées à Tourguéniev par le monde dans lequel il a grandi : celui des propriétaires terriens russes, à l'époque qui précède l'abolition du servage. La figure de sa mère, veuve tyrannique et âpre au gain, dont les lubies doivent s'imposer à son entourage comme autant de décrets divins, est présente dans chacun de ces trois textes, comme un symbole de la grande bourgeoisie russe contre laquelle Tourguéniev a consacré tout son talent à s'insurger.
Qu'il s'agisse du destin d'un portier muet dans Moumou, de la déchéance d'un aubergiste trompé par sa femme dans L'Auberge de grand chemin ou de la fin d'un Roi Lear russe : c'est cette figure maternelle qui impose les mariages, permet aux uns de faire fortune pendant qu'elle précipite les autres dans la misère. Un seul pouvoir lui manque, en dernier lieu : celui d'empêcher les événements tragiques qu'elle a elle-même précipités.
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«Je connus d'autres femmes, mais le sentiment éveillé en moi par Assia, ce sentiment brûlant, tendre, profond ne se renouvela plus. Non! Jamais d'autres yeux ne remplacèrent pour moi des yeux fixés un jour sur moi avec amour, mon coeur ne répondit jamais en défaillant aussi joyeusement et aussi doucement à aucun coeur appuyé contre ma poitrine!» L'intensité de l'idylle naissante et la peur de l'amour évident paralysent parfois les êtres humains, au point de pousser ces derniers à commettre l'acte irréversible par lequel toutes les promesses de bonheur s'évanouiront à jamais.
Dans cette nouvelle sise sur les bords du Rhin, Tourguéniev invite le lecteur à plonger au plus près du coeur, dans les arcanes de l'Amour et de la Raison.
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Romans et nouvelles complets Tome 2
Ivan Tourguéniev
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 16 March 1982
- 9782070110223
Il aura fallu près de cent ans après la mort de celui que les Russes ont toujours considéré comme le plus accompli de leurs prosateurs pour que la totalité de ses romans, nouvelles et esquisses soit publiée en français, dans les trois volumes que lui consacre la Bibliothèque de la Pléiade. Et pourtant Tourguéniev fut, de son vivant, l'écrivain russe le plus célèbre en France. Ami intime de George Sand, de
Mérimée, de Flaubert, installé à Paris à partir de 1871, il fut le véritable initiateur du public français à la Russie, par ses romans et plusieurs de ses nouvelles qui furent traduits et édités en français presque en même temps qu'ils étaient publiés en Russie. Malgré cela, parmi ses oeuvres, seuls quelques titres isolés éveillaient encore un écho dans nos mémoires : Les Mémoires d'un chasseur, Premier amour, Pères et fils... Dans les trois volumes de l'édition de la Pléiade, le lecteur français retrouvera cette évocation merveilleuse, réaliste et lyrique à la fois, de la vieille Russie terrienne qui enchantait déjà George Sand et Flaubert ; il y découvrira aussi un autre Tourguéniev, peintre génial de l'actualité sociale et intellectuelle de son temps, que ses compatriotes, tantôt flattés, tantôt furieux, portèrent aux nues ou insultèrent férocement : ni Tolstoï, ni Dostoïevski, ni bien entendu Tchékhov ne soulevèrent jamais de telles passions. Cet aspect de Tourguéniev n'avait pas été perçu jusqu'ici par le lecteur français. L'édition de la Pléiade, avec son introduction, ses chronologies, ses notices historiques et biographiques, son appareil de notes et de variantes, lui en facilitera la découverte et la compréhension. On s'est fondé, pour traduire les textes, sur l'édition «académique» en 28 volumes des oeuvres et de la correspondance de Tourguéniev, une des meilleures éditions savantes qui soient en U.R.S.S. -
Romans et nouvelles complets Tome 3
Ivan Tourguéniev
- Gallimard
- Bibliotheque De La Pleiade
- 21 March 1986
- 9782070110995
Il aura fallu près de cent ans après la mort de celui que les Russes ont toujours considéré comme le plus accompli de leurs prosateurs pour que la totalité de ses romans, nouvelles et esquisses soit publiée en français, dans les trois volumes que lui consacre la Bibliothèque de la Pléiade. Et pourtant Tourguéniev fut, de son vivant, l'écrivain russe le plus célèbre en France. Ami intime de George Sand, de
Mérimée, de Flaubert, installé à Paris à partir de 1871, il fut le véritable initiateur du public français à la Russie, par ses romans et plusieurs de ses nouvelles qui furent traduits et édités en français presque en même temps qu'ils étaient publiés en Russie. Malgré cela, parmi ses oeuvres, seuls quelques titres isolés éveillaient encore un écho dans nos mémoires : Les Mémoires d'un chasseur, Premier amour, Pères et fils... Dans les trois volumes de l'édition de la Pléiade, le lecteur français retrouvera cette évocation merveilleuse, réaliste et lyrique à la fois, de la vieille Russie terrienne qui enchantait déjà George Sand et Flaubert ; il y découvrira aussi un autre Tourguéniev, peintre génial de l'actualité sociale et intellectuelle de son temps, que ses compatriotes, tantôt flattés, tantôt furieux, portèrent aux nues ou insultèrent férocement : ni Tolstoï, ni Dostoïevski, ni bien entendu Tchékhov ne soulevèrent jamais de telles passions. Cet aspect de Tourguéniev n'avait pas été perçu jusqu'ici par le lecteur français. L'édition de la Pléiade, avec son introduction, ses chronologies, ses notices historiques et biographiques, son appareil de notes et de variantes, lui en facilitera la découverte et la compréhension. On s'est fondé, pour traduire les textes, sur l'édition «académique» en 28 volumes des oeuvres et de la correspondance de Tourguéniev, une des meilleures éditions savantes qui soient en U.R.S.S. -
Alexis, le narrateur, reçoit en cadeau une montre en argent. Ravi, il l'exhibe devant son cousin David qui, par envie ou jalousie, le pousse à s'en débarrasser. Il la donne alors à un jeune mendiant, puis, pris de remord, essaie de la récupérer...Passant de main en main, la montre bouleverse la vie des deux cousins et met à l'épreuve la solidité de leurs liens.
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Je n'ai pas les nerfs assez robustes pour vivre dans ce monde-là !
Gustave Flaubert, Ivan Tourguéniev
- LE PASSEUR
- Le Passeur Poche
- 8 April 2021
- 9782368908525
Il lui reste dix-sept ans à vivre lorsque Flaubert rencontre le plus français des écrivains russes, Ivan Tourgueniev. Leur première lettre date de 1863, et cette correspondance exceptionnelle durera jusqu'aux derniers jours de Flaubert.
Exceptionnelle, en effet, parce que c'est un document irremplaçable sur le laboratoire intérieur de chacun des deux auteurs : ils livrent leurs doutes, leurs difficultés, les affres qu'ils traversent. Sans filtre ni prévention, car chacun sait que l'autre est un frère d'encre et de plume.
C'est aussi un irremplaçable miroir de la vie intellectuelle, culturelle et politique : on voit défiler, peints et croqués avec une force de trait stupéfiante, les grands personnages de l'époque.
Enfin, c'est le livre d'une amitié : les deux géants des Lettres correspondent, au sens le plus plein du terme. Ils échangent, se confient, s'épaulent et se critiquent. Ils nouent ensemble le plus subtil et plus exigeant des signes de ponctuation : le trait d'union.
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« Ivan Tourgueniev a deux cents ans. Plus universelle, plus moderne que jamais, sa prose le place désormais parmi les auteurs qui, en leur temps, ont également relevé le défi de l'universalité. Ce grand sage cosmopolite du XIXe siècle nous livre une clef pour lire le passé, celui de la Russie en particulier et du genre humain dans son ensemble, mais aussi pour cerner la modernité et mieux appréhender l'avenir. » OLGA GORTCHANINA Traduit du russe par Nastasia Dahuron et Anne Godart-Marchal Préface, notes et commentaires d'Olga Gortchanina
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« Si vous aimez tellement votre fiancée, nous n'avons plus à discuter, tout ce que nous pourrons dire ne servira, pour ainsi dire, à rien. Mais il me semble, au contraire, que vous commencez à hésiter, que vous êtes indécis. Vous commencez enfin à douter de vos propres sentiments, et cela, c'est un point très important. En tout cas vous êtesmaintenant apte, comme on dit, à écouter des conseils amicaux. »
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Le Pain d'autrui / L'Imprudence / Sans argent
Ivan Tourguéniev
- L'Arche
- Scène Ouverte
- 13 June 1997
- 9782851812674
« Excusez-moi, monsieur... Je suis ivre, mais je sais ce que je dis. Voilà... Vous êtes maintenant un seigneur important, un fonctionnaire de Pétersbourg, instruit, naturellement... Et moi, je ne suis qu'un bouffon, un imbécile sans le sou, un mendiant, un fainéant... Mais savez-vous vraiment qui je suis ? »
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Mon chien Pégase ; le chien ; les nôtres
Ivan Tourguéniev
- LA PART COMMUNE
- La Petite Part
- 2 June 2018
- 9782844183590
Confidence émue sur les liens de profonde affection qui unissent le chien aux talents éblouissants et son maître.
Trois nouvelles :
Mon chien Pégase, traduit par Mikaïl Achkinasi, La Vie littéraire, 27 octobre 1899.
Le Chien, traduit par P. Mérimée, Nouvelles moscovites, 1869.
Les Nôtres, épisode des journées de juin, traduit par Michel Delines, La Vie Littéraire, 10 janvier 1899.
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Histoires faciles à lire : histoires d'horreur
Leonid Nikolaevic Andreev, Alyona Chumak, Vladimir Odoïevski, Ivan Tourguéniev
- Ophrys
- Histoires Faciles A Lire
- 3 July 2020
- 9782708015708
Une collection qui permet de lire de la littérature en V. O. : des textes littéraires, d'auteurs reconnus, simplifiés au niveau du vocabulaire et des passages traduits.
Ce nouveau tome de la collection « Histoires faciles à lire » propose plusieurs histoires d'horreur russes écrites par I. Tourguenev, F. Odoïevskï , L. Andreev.