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frederic de grave
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Comment Répine, ce célèbre peintre russe qui chevaucha la deuxième moitié du XIXe?siècle et le premier tiers du XXe, parvint-il à créer son premier chef-d'oeuvre, les Haleurs de la Volga, qui le rendit célèbre dès le début des années 1870 aussi bien en Russie qu'au-delà de ses frontières?
Fondée sur les mémoires et la correspondance du peintre, cette monographie au souffle romanesque retrace la jeunesse et les débuts de Répine à l'Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg jusqu'à son expédition sur la Volga où il immortalisera parmi «?ses?» haleurs l'inoubliable Kanine dont la stature imposante ne le quittera plus.
Après les Haleurs qui occupent une place centrale dans son oeuvre, d'autres tableaux entrent en scène dans les genres les plus variés, consacrant Répine comme un peintre éclectique hors pair.
Au fil des pages, le lecteur pénètre dans l'univers artistique et les débats qui animent Répine et ses contemporains. Il découvre aussi les relations étroites du peintre avec deux grandes personnalités, Stasov, le célèbre critique d'art qu'il accompagna dans deux voyages à l'étranger et Tolstoï, devenu son ami, dont il fit plusieurs portraits et tableaux et qui lui rappelait étrangement la figure imposante de Kanine, son héros-haleur...
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Les chants de la Grande Guerre patriotique : 1941-1945
Frédéric de Grave
- Éditions Lire-Couraut
- 7 May 2025
- 9782754311946
Des centaines de chants ont été composés pendant la Grande Guerre Patriotique (1941-1945). Rien que pendant la première semaine des hostilités, deux cent chants ont vu le jour. Nombre incroyable quand on pense au désarroi qu'a causé en Russie l'opération Barbarossa. Une idée dominait dans cet élan populaire : pour faire face à cette guerre atroce, le pays avait autant besoin de chants que d'obus et de bombes. La musique faisait dorénavant partie de l'effort de guerre. Elle faisait corps avec le peuple russe. Parmi ces nombreux chants il fallait faire un choix. Les passer tous en revue aurait été impossible.
C'est pour cela que nous nous sommes limités à une trentaine de chants où nous retrouverons les mêmes thèmes que dans la plupart des chants composés pendant la période de guerre.
Comme ils sont pratiquement inconnus en Occident, ce livre a pour objectif de les faire connaître parmi ceux qui s'intéressent à l'histoire de la seconde guerre mondiale.
Plus de soixante-dix ans après la fin de la Grande Guerre Patriotique, ces beaux chants qui ont porté le peuple russe, deviennent, malgré eux, actuels en 2022 dans un tout autre contexte, réutilisés au gré de la situation politique et militaire, sans aucun lien direct avec leur création initiale. A l'avenir, ils risqueront d'être exploités encore en fonction de critères étrangers à leur noble rôle historique.
Ceux qui s'en servent abusivement, ne pourront jamais enlever de ces beaux chants leur pureté qui les mettent à même de franchir les siècles ! -
Comment Répine, ce célèbre peintre russe qui chevaucha la deuxième moitié du XIXe siècle et le premier tiers du XXe, parvint-il à créer son premier chef-d'oeuvre, les Haleurs de la Volga, qui le rendit célèbre dès le début des années 1870 aussi bien en Russie qu'au-delà de ses frontières ?
Fondée sur les mémoires et la correspondance du peintre, cette monographie au souffle romanesque retrace la jeunesse et les débuts de Répine à l'Académie des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg jusqu'à son expédition sur la Volga où il immortalisera parmi « ses » haleurs l'inoubliable Kanine dont la stature imposante ne le quittera plus.
Après les Haleurs qui occupent une place centrale dans son oeuvre, d'autres tableaux entrent en scène dans les genres les plus variés, consacrant Répine comme un peintre éclectique hors pair.
Au fil des pages, le lecteur pénètre dans l'univers artistique et les débats qui animent Répine et ses contemporains. Il découvre aussi les relations étroites du peintre avec deux grandes personnalités, Stasov, le célèbre critique d'art qu'il accompagna dans deux voyages à l'étranger et Tolstoï, devenu son ami, dont il fit plusieurs portraits et tableaux et qui lui rappelait étrangement la figure imposante de Kanine, son héros-haleur.