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erich segal
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«- Jenny, je suis désolé...- Tais-toi !M'ayant ainsi interrompu, elle dit très calmement : - L'amour, c'est n'avoir jamais à dire qu'on est désolé.»
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En 21 chapitres, suivis d'une "Coda", le livre retrace l'histoire du genre comique de l'Antiquité jusqu'à Ionesco et Beckett, en passant par Molière, Beaumarchais ou encore Chaplin. La comédie est née des fêtes rituelles en l'honneur de la fertilité et du renouvellement du monde, au cours desquelles on s'affranchissait momentanément des règles sociales. Au cours des siècles, quelques changements s'opèrent, mais la comédie demeure un espace de liberté totale. jusqu'à l'arrivée du théâtre de l'absurde du XXe siècle, qui fait voler en éclats toutes ses règles, sans jamais s'écarter, pourtant, de la filiation d'Aristophane.
Segal achève son histoire en traçant un passionnant parallèle entre Les Oiseaux et En attendant Godot, la seconde pièce étant le parfait miroir inversé de la première. On ne rit plus de la vie, mais de la mort.
La Coda du livre est consacrée au Docteur Folamour, le film de Stanley Kubrick, qui marque définitivement la mort de la comédie comme célébration du renouveau, l'objet même du comique étant alors la fin de l'humanité.
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Promotion 1962 de l'école de médecine de Harvard. A une exception près, ils étaient tous blancs... A cinq exceptions près, ils étaient tous de sexe masculin... Chez certains, l'intelligence confinait au génie, chez d'autres, le génie confinait à la folie. Passionnés, amoureux de leur vocation. Il leur faudra sortir, avant de pouvoir guérir, du creuset impitoyable qu'est la faculté de médecine. Bennett, Noir parmi les Blancs, mettra sa carrière en péril pour sauver la vie d'un homme. Seth, studieux et sensible, se trouvera confronté au problème de l'euthanasie. Barney sera attiré par la psychiatrie. Et Laura apprendra que dans cette profession être femme peut devenir un cauchemar. Enfants de Brooklyn, voisins d'enfance, Barney et Laura vivront à travers ces pages une amitié précieuse malgré des chemins divergents. Une amitié qui, au fil des années, deviendra profond amour. Un meurtre, un procès, un miracle... {Docteurs}, ce récit plein d'humour, parfois dramatique, est la fresque vibrante d'une profession et d'une époque.
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Chaque livre d'Erich Segal est la poursuite du rêve américain. Cette fois-ci, après Harvard promotion 1958 et les blouses blanches de {Docteurs}, nous entrons avec Segal en religion. Il nous raconte deux destins croisés ; le judaïsme et le catholicisme ; l'amour et la réussite ; la tentation et l'échec. Deborah et Daniel Luria sont à Brooklyn les enfants d'un rabbin respecté de tous, le Rav Moïse Luria. A un pâté de maisons vit Timothy Hogan, irlandais, catholique, tête brûlée, tout le contraire de la pieuse tradition des Luria. Ce qui passionne Erich Segal, c'est la démonstration, romanesque, colorée, qu'un destin se gagne : Deborah, femme et mère, écartée des études, devient rabbin. Daniel, promis à l'étude du Talmud, se convertit en financier des marchés à terme. Timothy, rebelle voué à la marginalité, gravit tous les échelons de la hiérarchie catholique. Non sans avoir fait, l'ignorant, un enfant à Deborah ! De Brooklyn à Jérusalem, d'un kibboutz à Wall Street, de l'obscurité d'une synagogue aux lumières de la ville, Erich Segal déplace ses personnages, nous montrant avec la même précision un exorcisme juif et une pension catholique de Queens.
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Tout commence à Harvard, dans les années cinquante, quand cinq jeunes gens pleins de talent, d'ambition et de rêves se rencontrent à l'Université : Danny Rossi, qui veut devenir pianiste concertiste ; Ted Lambros, d'origine grecque, qui sera professeur ; Jason Gilbert, juif, qui mourra héroïquement pour ses idées ; George Keller, réfugié politique hongrois, qui franchira toutes les étapes de la vie politique américaine ; et Andrew Eliot enfin, le narrateur de ce récit, descendant d'une des plus grandes familles de Boston, qui se croit, à tort, un bon à rien. Ces cinq jeunes gens, dont nous suivons le destin mouvementé, parfois cruel, les aventures professionnelles et les relations amoureuses, représentent plus que cinq individus isolés. Ils forment l'histoire d'une génération - notre génération - et nous font découvrir de l'intérieur ce qu'il est convenu d'appeler le rêve américain.
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