Un regard malicieux tout en finesse, sur la première découverte de la sexualité.
Série Melle Zazie. Pour Max, le monde était divisé entre les Avec-zizi et les Sans-zizi, et, bien sûr, les premiers dominaient les seconds. Mais, Zazie, la nouvelle de la classe, dessine très bien, joue au foot, sait monter aux arbres et gagne à chaque fois qu'elle se bat ! Aurait-elle un zizi, elle aussi ? Max profite d'un après-midi à la plage où Zazie et lui ont oublié leur maillot de bain pour en avoir le coeur net...
Sarah a onze ans.
Elle déambule, insensible au froid, le long du canal. sarah n'est qu'une ombre, l'ombre d'une enfant qui peu à peu s'enferme dans le silence.
Depuis quelque temps, elle n'est plus la même. son institutrice semble être la seule à le remarquer : pourra-t-elle aider sarah à parler et à révéler son terrible secret ?.
À l'école, un mystérieux tueur en série s'attaque sauvagement aux poupées des cinq filles du "clan Barbie". Vengeance ?
Il y avait un pays : l'Algérie.
Il y avait un pays : la France. Vint la guerre. Et aujourd'hui, il y a Wahid. Un enfant de l'amour.
Ce titre regroupe les deux volumes parus chez le même éditeur : "Tu préfères que je mange ton père et ta mère" et "Tu préfères que je mange ton père et ta mère (la suite)" - Très très occupés par leur travail, les parents de Zoé sont très très souvent absents de l'appartement familial... L'imagination de la petite fille délaissée s'emballe alors quand elle pense à Madame Mizu, qui habite au-dessus. Mizu : une sorcière qui n'aurait qu'une idée en tête, manger la petite fille esseulée, ou une vieille dame en manque d'affection, elle aussi ? Un personnage guest-star du roman et que Zoé va interpeller détient peut-être la réponse : Celui-qui-écrit.
L'art d'Éric Rondepierre (Orléans, 1950) décompose l'imaginaire cinématographique pour nous en montrer les « taches aveugles ». Cette décomposition commence par une fragmentation de la bande filmique : l'artiste arrête le défilement, isole des instantanés et les présente sous forme d'agrandissements photographiques. Un film n'est autre chose qu'un flux d'images élémentaires qui ne peuvent jamais apparaître pour elles-mêmes dans le cadre d'une projection normale : elles n'existent que pour se trouver sacrifiées au profit d'une illusion d'optique. Leur exhibition dans le champ artistique fait ainsi surgir une part de l'ombre et du sacrifice dont se nourrit le cinéma.