Éléments d'ossature verticaux et horizontaux ancrés sur la structure du bâtiment, les façades légères - ou façades rideaux - présentent de nombreux avantages : légèreté, esthétique, transparence, fonctionnalité, durabilité, confort, performance, mise en oeuvre par préfabrication réduisant les délais de construction, utilisation de matériaux finis divers (verre...), etc.
En outre, elles peuvent être utilisées pour tous types de bâtiments (logements, bureaux, etc.) et sont de plus en plus mises en oeuvre.
Cet ouvrage dresse un panorama complet des multiples composants et de la mise en oeuvre des façades légères. Il décrit leurs performances ainsi que leur entretien et maintenance afin d'éviter usure et vieillissement prématuré.
Un chapitre spécifique est dédié à la sécurité des personnes décrite dans le fascicule de documentation FD DTU 39 P5.
Outre les comportements mécaniques des façades légères et thermomécaniques des vitrages, il détaille les dispositions constructives issues de l'instruction technique n° 249 relative aux façades.
La dernière partie de l'ouvrage, qui constitue le coeur de ce guide technique, présente, sous forme de fiches pratiques riches en schémas, de nombreux détails de construction courants reproductibles.
Recherches sur l'architecture, la sculpture, la peinture, la menuiserie, la ferronnerie, etc., dans les maisons du moyen âge et de la Renaissance à Lyon / par P. Martin,...
Date de l'édition originale : 1855 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr
Cette édition commentée de la version française des emblèmes d'Andreas Friedrich offre au lecteur moderne, emblème après emblème, les clefs de lecture de ces images, ainsi que de l'arrière-plan luthérien du discours moral qu'elles suscitent. Cet étonnant livre d'images conduit progressivement à s'approprier un code et une syntaxe de l'image avant de se voir proposer de subtils montages symboliques, véritables hiéroglyphes modernes : des emblèmes, proprement, nouveaux...
Des livres intelligents pour tables basses. Une gageure ?
Mettre à disposition de « l'honnête homme » des textes rares, des analyses interdisciplinaires exigeantes.
Des ouvrages illustrés de drôles d'images dans un format décalé. Une pensée et un objet agréables à manier.
Les vices et remèdes de la langue
Pierre Martin, en proposant Linguae vitia et remedia d'Antoine de Bourgogne nous fait découvrir les curieux objets que sont les emblèmes. Ceux-ci n'existent que par un parfait assemblage d'une image et d'un poème, dévoilant une morale, un sens, une vision, de façon plus ramassée que les Fables de La Fontaine et avec un humour que ne renierait pas Roland Barthes.
Destinés à plaire et à instruire, les emblèmes se composent d'une vignette savante et d'une maxime versifiée. En plein XVIIe siècle, une image est décortiquée, analysée en laissant planer non-dits et sous-entendus, dans une perspective étonnamment moderne et suivant une représentation polysémique sublimée par la recherche de la beauté littéraire. L'emblème est un peu au livre de l'époque ce qu'est l'opéra à la musique : une totalité, vivante et merveilleuse.
Recherches sur l'architecture, la sculpture, la peinture, la menuiserie, la ferronnerie, etc., dans les maisons du moyen âge et de la Renaissance à Lyon / par P. Martin,... http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5485957m
Dans Tisser sa toile, Tina Mérandon aborde la relation mère-fi lle d'un point de vue très originale. Profi tant d'une résidence artistique en Bretagne, elle a utilisé l'idée de la trame tissée (draps et nappes, objets textiles ayant souvent été associés aux rituels domestiques qui reliaient les femmes entre elles) pour faire poser, derrière un voile, mère et fi lle ensemble. Les ombres projetées ne sont pas sans évoquer la caverne de Platon. Il y a ainsi une dimension archaïque dans cette relation mère-fi lle, appuyé par ce théâtre d'ombre qui évoque également lespeintures rupestres aux limites de la représentation. C'est pourquoi, à cette idée d'une image archaïque, l'artiste a voulu y associer des images de statuaires féminines relevées dans les calvaires du Finistère datant des XVIe ou XVIIe siècles, époque opulente que la région vivait alors grâce au commerce de la toile de lin. Traitées dans le livre par une impression dorée sur un papier noir, ouvrant et fermant l'ouvrage, elles ne sont pas sans évoquer également les origines d'une représentation occidentale que sont les icônes byzantines.
Éric Rohmer se lance dans la réalisation de ses « Contes des quatre saisons » à plus de soixante-dix ans. Le troisième film de la série, Conte d'été est une réussite artistique et financière complète, fruit d'une longue maturation du scénario et du travail avec les comédiens. Conte de saison intimement lié au décor des côtes bretonnes, cette chronique estivale s'attache aux fluctuations des sentiments de personnages qui ne cessent d'hésiter sur leur destinée sentimentale. Conte philosophique où se posent les questions de l'identité et de l'altérité, cet opus est aussi un conte moral qui interroge la nature des relations entre les sexes et montre comment le jeu de la séduction construit un regard genré.
Martin Karplus (né à Vienne en 1930, vivant aux États-Unis depuis 1938), scientifique mondialement reconnu pour ses travaux (entre autres, il est un pionnier de la théorie chimique de résonance magnétique nucléaire) a aussi pratiqué la photographie en couleurs entre 1954 et 1965 : une bourse de la National Science Foundation lui a permis de visiter toute l'Europe, muni d'un Leica IIIC. Pendant cette pause dans une vie consacrée à la science, il n'a cessé de produire des photographies avec les premières diapositives Kodachrome. Il a poursuivi ce travail durant quelques années aux États-Unis, en Amérique du Sud et en Asie. La centaine d'images sélectionnées parmi les milliers réalisées en quelques années, témoignent du regard curieux et profondément humaniste d'un très grand chercheur.
Le pôle Molière, aux Mureaux, est un ensemble de services publics dans un quartier en rénovation : crèche, maternelle, école primaire, salles multifonctions, restaurant, café des parents...
Pour cet équipement des artistes ont été sollicités afin d'imaginer un système d'orientation qui fasse signe, incarne chaque bâtiment du pole et lui donne également une identité dans son ensemble.
Malte Martin, designer graphique et plasticien, a proposé un vocabulaire simple ou chaque bâtiment du pôle a sa couleur et sa forme sans passer par les mots. Au lieu d'être pensé comme un objet ou un mobilier qu'on rajoute, cette signalétique-signe est conçue en interaction avec le geste architectural.
Ce vocabulaire visuel existe aussi comme jeu d'initiation graphique au sein du Pôle. Il a été expérimenté dans de nombreux ateliers pendant la phase chantier de cette démarche de design d'innovation sociale et culturelle.
Jean Royère (1902-1981) manifeste très jeune son goût pour la décoration. À l'âge de trente ans, après une brève carrière dans la finance, il fait de brillants débuts de décorateur. Se pliant pendant les premières années aux contraintes du fonctionnalisme, il se montre parfaitement apte à réaliser du mobilier de série.
Le boudoir qu'il présente au Salon des artistes décorateurs de 1939 marque de manière provocante le retour de l'ornement. Des premiers motifs, comme la sinusoïde, aux formes biomorphiques, Royère développe avec virtuosité toutes les combinaisons d'un répertoire ornemental très personnel. Attentif à la création contemporaine, il découvre dès la fin des années 1930 chez les Scandinaves et les Italiens des formes nouvelles dont il saisit l'importance et qui seront déterminantes pour l'évolution de son travail.
Ce livre analyse l'oeuvre considérable d'un homme qui, entre 1931 et 1972, a réalisé plus de mille projets à travers le monde - de l'aménagement de la cité ouvrière d'Aplemont, dans le nord de la France, à la décoration du palais du shah d'Iran, créant avec légèreté et humour un style en rupture totale avec le passé. Ce style, qui évoque si justement le désir de liberté et d'insouciance d'une époque, correspond à certaines aspirations très actuelles et garde aujourd'hui toute sa séduction.
L'ouvrage que lui consacre son fils Jean-Pierre, permet de comprendre le sens de l'oeuvre d'un des peintres marquants du début du XXe siècle, et qui n'a jamais oublié son Nice natal.
Il y a eu Brassens. Ses vieux costumes de velours côtelé, son regard bourru, son air de frère sur lequel on peut compter. Ses bancs publics, son chat, son arbre, sa mauvaise réputation, ses copains, son Auvergnat et son pauvre Martin, on aimait l'entendre quand il en parlait. Fuis il y a eu Georges, le philosophe, le sage... Il a tout accepté de la vie : la pauvreté comme la gloire, les joies comme les maladies. Puis la mort. Sans révolte, sans peur, sans résignation non plus. Il s'est frayé un passage à l'écart de ce monde secoué de violence, un chemin de poète qui a su trouver l'essentiel : la sérénité. Voilà pourquoi, 25 ans après sa mort, Brassens reste si grand dans notre mémoire. La réédition de ce livre-culte offre une rencontre avec l'un des chanteurs les plus aimés des Français, dont les oeuvres ne cessent d'inspirer la jeune génération.