Il a des oreilles énormes, et tout le monde l'embête. Pourtant ces grandes oreilles lui permettent de tout entendre autour de lui : dans la nature, la nuit, le bruit des flocons qui tombent sur le toit, mais aussi dans la maison, et cela peut être moins drôle d'entendre ses parents qui ne s'entendent pas. Puis, sur le chemin de l'école, il rencontre Marthe, qui trouve que ses oreilles ressemblent à de grands coquillages, c'est joli comme image et Sigismond se met à les aimer. D'ailleurs, plus tard, Sigismond devenu Sigmund utilisera ses grandes oreilles pour écouter ses patients.
Ce texte poétique nous raconte l'enfance de Sigmund Freud, qui a su écouter le chant du monde.
Un vieux loup paresseux cherche une solution pour croquer les tendres brebis sans se fatiguer. Sa fille, plus ambitieuse, relègue les anciennes manières de son père et modernise la méthode de séduction. Mais les brebis ne sont pas si sottes...
Une fable contemporaine avec plusieurs lectures possibles.
Quand les progrès du numérique servent à nous pister, nous espionner, nous asservir, nous perdons notre liberté alors que les cyborgs revendiquent la leur. Quatre nouvelles cyberconnectées.
Les voyages forment la jeunesse Le vieil adage n'a pas pris une ride, mais encore faut-il avoir le goût de voyager et ce goût-là n'est pas inné.
Depuis des siècles, les livres de voyage ont invité les jeunes lecteurs à la découverte du monde. Les récits d'explorateurs, tes journaux de bord des grands navigateurs, les carnets de voyage, mais aussi les documentaires ont offert à des générations d'enfants leurs propres images du monde. Elles ont été largement marquées par leur époque et n'ont pas toujours été dénuées de préjugés. Remonter le long cours de cette littérature nomade, aller aux sources, en tracer la cartographie, tel est le propos de cet essai qui nous conduit à l'endroit précis où nombre de lecteurs en font la première expérience : au coeur des livres de voyages destinés à la jeunesse.
Patrice Favaro nous en dresse un panorama subjectif, en décrypte les genres et les écueils, et nous invite à découvrir ce vaste et riche territoire encore trop peu étudié.
Parce qu'il est dyspraxique, la vie de Jésus (c'est lui qui s'est baptisé ainsi) est compliquée. Cet été-là, il le passe loin de ses parents, dans la ferme où vivent sa grand-mère, son oncle et sa famille. Son cousin le prend en grippe.
Avec Angélina (une voisine un peu perdue) ils vont prendre la route. Leur chemin croise celui de Elie, qui pourrait être leur père, et qui va les prendre sous sa protection, le temps de réfléchir. Peut-être Jésus n'est-il pas le plus perdu des trois. Ensemble, ils se tiennent chaud, ils réparent des fractures anciennes et soigneusement tues. Ce temps suspendu permettra à Jésus de trouver sa place à la fois dans sa famille et dans sa vie.
Ce roman rural, ce road-trip sur les routes sinueuses de montagne, met en scène des personnages en quête de vérité, de sincérité. La nature, comme souvent chez Patrice Favaro, joue un vrai rôle.
Enfant d'une famille très pauvre, Sid est échangé à son oncle contre les dettes des ses parents, puis revendu à un propriétaire d'éléphants, un mahout. Il devient son apprenti. Dans l'Inde d'aujourd'hui, les éléphants sont très utiles. Travailleurs de force, figurants de cinéma, indispensables dans les processions religieuses, les occasions ne manquent pas. Ashraf, le patron des éléphants, est un homme d'affaires sans scrupule qui maltraite employés et animaux. Pendant le tournage d'une scène de film, un éléphant acteur sème panique et mort dans le quartier. Sid et son copain d'infortune s'enfuient et se réfugient à la fondation pour la protection des éléphants. Une nouvelle vie commence pour eux...
Naïta se rend en Inde, où son père a choisi de vivre. Il organise des treks et aide des Tibétains en exil. Naïta est venue panser une blessure secrète. Son amitié avec un jeune réfugié et la rencontre avec un moine tibétain, lui permettront de porter un autre regard sur la vie.
cours, mohan, cours ! le long d'un train qui ralentit, pour y grimper en se jouant du danger, comme les gamins de la gare de new delhi.
cours, mohan, cours plus vite ! sous le porche l'entrée, ils sont deux à attendre. ils ont sorti une arme, une lame au tranchant vif. cours dans les rues de la capitale de l'inde, mohan. cours après un chauffeur de taxi introuvable, un éléphant qui fait de la publicité, le sourire de parvati et. l'étoile de l'himalaya.