2049. Depuis vingt ans, le soleil a disparu et le monde est plongé dans la pénombre. La faune et la flore se sont peu à peu adaptées, et les espèces nocturnes, multipliées. Pour les humains, s'éclairer, se nourrir, survivre sont devenus des défis quotidiens. Elikia, née peu après l'avènement de la Grande Nuit, et sa mère Diba, se sont fixé pour mission de ramener le jour sur le monde. Persuadées que la disparition du soleil est liée à celle de Juddu, une ancienne et mystérieuse cité ayant abrité des esprits et des individus dotés de pouvoirs, toutes deux sillonnent le continent africain dont elles sont originaires à la recherche de témoignages. Les récits glanés auprès des Anciens les conduisent jusqu'à l'Adamaoua, une montagne où nulle âme sensée n'oserait s'aventurer...
Après la perte brutale de sa mère, Elikia va rencontrer l'Éclaireur, un des seuls survivants du massacre de Juddu. À son côté, elle découvrira qu'elle peut faire usage de la magie... et aussi que les deux marques incrustées sur sa joue gauche la relient malgré elle à Guddi, la divinité responsable de la disparition du soleil. La jeune fille parviendra-t-elle à s'affranchir de l'emprise que la nuit exerce sur elle afin de respecter la dernière volonté de sa mère : poursuivre leur quête ?
Between the deserts of Mali and the rivers of Mauritania is a song known only to Africa itself. It is a song that can be heard every day, as long as the wind isn't blowing too hard.
It is the song of the Luminaries, a group of women with powerful magic wearing long golden dresses.
Fadya is the youngest of the Luminaries and on her journey, she will encounter and help two fishermen who have inadvertently awaken the wrath of the Goddess of the river.
Fadya and the song of the river is a wonderful journey inspired by traditional African tales.
« J'avais peut-être repris forme humaine, mais je ne comprenais pas pourquoi on m'avait ramenée dans un monde sans soleil. »2051. Quand Elikia rouvre les yeux, comprend qu'elle est vivante et qu'il fait toujours désespérément noir, la colère la submerge. Cependant, son sacrifice pour ramener le Jour n'a pas été tout à fait vain : Diarra, la deum capable d'inverser le cours des mondes, est de retour. La quête du soleil prend avec elle une ampleur inédite. Pour se montrer à la hauteur du combat qui s'annonce, Elikia devra explorer l'étendue de ses nouveaux pouvoirs... car le dragon en elle n'attend qu'une chose : sortir.
Adé est une jolie petite fille à la peau noire, aux grands yeux bruns et aux cheveux crépus. Une chevelure magnifique et fournie, qui lui vaut néanmoins de nombreuses moqueries à l'école, les autres enfants lui disant notamment qu'ils ont l'impression qu'elle a « comme un million de papillons noirs sur la tête ». Adé aime les fleurs, les papillons, les éclairs au chocolat et poser des questions. Un jour qu'elle est en compagnie de sa mère et de ses tantes, elle les interroge donc sur ses cheveux sans cesse raillés. Grâce à elles, elle va découvrir en douceur la beauté de ces papillons endormis sur sa tête, jusqu'à leur envol final. Un ouvrage qui invite à la tolérance, l'acceptation de soi et vise à introduire un peu de diversité dans la littérature jeunesse. « »
Après le succès de Comme un million de papillons noirs et du Chemin de Jada, nouvel album de Laura Nsafou avec une nouvelle illustratrice, Olga Guillaud. Avec sensibilité et tendresse, elle interroge la question du deuil par une petite fille qui a du mal à comprendre la mort de sa grand-mère et lui organise malgré tout une très belle fête d'anniversaire. Un album également bouleversant et juste sur la question de la transmission.
Yari rencontre Hide qui lui convient en tous points. Mais ils n'ont pas la même conception de la relation amoureuse et sont éprouvés tant par leurs envies que par leurs limites. Leur relation met en lumière leurs différends et pose les questions de l'exclusivité et de la jalousie.
Une romance moderne qui explore de multiples façons d'aimer aujourd'hui.
Après le succès de « Comme un million de papillons noirs », le nouveau livre de Laura Nsafou et Barbara Brun. Reprenant les codes du conte africain, elles proposent une histoire de formation et de tolérance autour de deux soeurs jumelles à la teinte de peau de couleur pourtant différente. Au cours d'une partie de cache-cache prolongée jusqu'à la nuit tombée, celle à la peau plus foncée découvrira que sa beauté, sans être semblable à celle de sa soeur, est bien réelle. Une formidable histoire de réconciliation sur la sororité et l'acceptation de soi peu courante en littérature jeunesse.