En avril 1962, Alger est le théâtre de nombreux attentats, provoqués par des opposants aux accords d'Evian, qui veulent garder l'Algérie française. Le commandant Jean Lardent quitte l'armée et Alger pour profiter de sa retraite à Nice. Il va se trouver, lui et toute sa famille, au coeur d'une tourmente. Elle débute par le meurtre d'un avocat niçois, favorable à l'indépendance de l'Algérie. Cet assassinat inquiète le pouvoir, qui craint la contamination, l'extension des troubles en métropole. Le commissaire Ange Blanco envisage aussi, d'autres pistes, car l'avocat traitait de plusieurs affaires sensibles liées au racket, à la corruption dans la ville et même aux pratiques illégales de médecine par une secte. Cet avocat est la première victime d'une série de crimes toujours signés du même rituel : l'amputation d'un doigt et l'éventration. Le commissaire Ange Blanco va enquêter dans un monde où s'entremêlent le complot politique, la corruption et la magie.
Après le meurtre d'un homme dans une chambre d'hôtel à Marseille, d'autres clients qui avaient passé le week-end dans cet établissement sont tués les jours suivants. Alors que la police suppose qu'ils sont victimes de leur intérêt pour un établissement de jeux, des révélations d'origine paranormale suggèrent que c'est la justice divine qui est à l'oeuvre. Le commissaire Ange Blondin est sceptique jusqu'à sa rencontre avec un physicien qui prétend que les phénomènes paranormaux s'expliquent dans notre univers quantique où les consciences sont connectées et participent à un grand projet, hors du temps.