«Comme toutes les maisons anciennes, le cottage avait son parfum propre, qui s'était élaboré lentement au fil des ans.
C'était quelque chose d'à la fois rustique et raffiné, où dominait l'âcreté du feu de tourbe atténuée par la senteur de miel des cires dont se servait lady Patricia pour encaustiquer les meubles, les lambris, la rampe et la bordure de bois des marches de l'escalier, et aussi la collection de bilboquets vernis. En été s'y ajoutait la fragrance des bouquets et, au retour des brouillards, l'odeur un peu piquante des chandails humides mis à sécher dans l'entrée...» C'est près de ce cottage que Dune Benton est retrouvée morte. Cette vieille dame anglaise richissime écrit des romans à l'eau de rose dans son île de Greenhill, en Écosse. Son fils, sa belle-fille, sa secrétaire (russe et pilote d'avion), le fossoyeur, le gardien de phare, un ramasseur de varech et la ravissante Barbara sont autant de suspects aux yeux de l'inspecteur John William Sheen. La victime, qui devait ressembler étrangement à une cousine de Barbara Cartland et d'Agatha Christie tout à la fois, ne méritait-elle pas qu'on l'assassine ?
Empire du Japon, époque Heian, XIIe siècle. Miyuki prend la suite de son mari, excellent pêcheur de carpes et fournisseur des étangs sacrés de la cité impériale, mort noyé dans la rivière Kusagawa. Elle entreprend un périple de plusieurs centaines de kilomètres à travers forêts et montagnes pour porter jusqu'à la capitale les précieux poissons. La mémoire des heures éblouissantes vécues avec l'homme qu'elle a tant aimé - et certaine qu'il chemine à ses côtés - donne à Miyuki le pouvoir de surmonter les tribulations les plus insolites, et de rendre tout son prestige au vieux maître du Bureau des Jardins et des Etangs.
Sous nos yeux, le Japon médiéval vit et s'anime.
Peut-on être amoureux des faits divers ? Ce qui est certain, c'est qu'on peut se prendre de passion pour les personnages qui les habitent, qui les hantent, qui en vivent ou qui en meurent, victimes et tueurs, héros et justiciers, escrocs de haut vol et mystificateurs, journalistes et romanciers...
C'est à un bal « démasqué » que Didier Decoin invite le lecteur. Entrez dans la danse : de Marguerite de Ravalet, la jouvencelle qui perdit la tête (au sens propre) pour un amour maudit, à la troublante Amanda Knox et la petite Omayra Sánchez dont la mort retransmise en direct fit pleurer le monde entier, voici quelques demoiselles en détresse parmi les plus émouvantes. Face à elles, virevoltent les quadrilles diaboliques des cannibales, des kidnappeurs, des tueurs en série et des génies de la mort. Du maquis corse au boulevard du Crime, en passant par la forêt maudite d'Aokigahara et Boston tombée dans la mélasse, voici le petit peuple des faits divers et ses mille et une histoires. A peine croyables, mais pourtant vraies.
> Une collection prestigieuse proposant de relire les plus grands auteurs français ayant reçu le Prix Goncourt depuis 1903 (date de sa création) > John L'Enfer de Didier Decoin comme 5è des 40 volumes sélectionnés par Le Figaro et l'Académie Goncourt, vendu 12,90¤.
> Plan média radio, print, digital, massif.
Didier Decoin Jésus le Dieu qui riait Depuis deux mille ans, les chrétiens contemplent un Christ grave, douloureux, tragique. Aucune oeuvre d'art, aucune tradition, aucun texte n'évoque un sourire du Christ.
Pourtant, Jésus se rend aux noces, partage les escapades en bateau, le pain et le poisson grillé de ses compagnons. Et surtout, il annonce le plus radieux des messages : la mort n'est pas une fin. Il y a décidément trop de jubilation dans ces trente-trois années d'Incarnation pour que le rire en soit banni.
C'est l'écho de cette joie que Didier Decoin a cherché, au fil d'une relecture passionnée des Evangiles. Sous la forme d'un récit romanesque, il tente de faire apparaître un visage inconnu de Jésus : celui d'un «Dieu qui riait». Restituant le quotidien, l'ambiance, les décors, les personnages, il nous révèle avec amour et avec foi le versant lumineux d'un Dieu saisi par le bonheur d'aimer, et partageant ce bonheur avec le monde entier.
Catherine Kitty Genovese n'aurait pas dû sortir seule ce soir de mars 1964 du bar où elle travaillait, une nuit de grand froid, dans le Queens, à New York. Sa mort a été signalée par un entrefilet dans le journal du lendemain : « Une habitante du quartier meurt poignardée devant chez elle. » On arrête peu de temps après le meurtrier, monstre froid et père de famille. Rien de plus. Une fin anonyme pour cette jeune femme drôle et jolie. Mais sait-on que le martyre de Kitty Genovese a duré plus d'une demi-heure, et surtout que trente-huit témoins, bien au chaud derrière leurs fenêtres, ont vu ou entendu la mise à mort ? Aucun n'est intervenu. Qui est le plus coupable ? Le criminel ou l'indifférent ? Récit saisissant de réalisme et réflexion sur la lâcheté humaine, le roman de Didier Decoin se lit dans un frisson.
La Bible de mes dix ans se résumait à un mince petit ouvrage cartonné, L'Histoire sainte, qui racontait les relations agitées de quelques héros de temps très anciens et d'un Dieu interventionniste qui se disait lui-même jaloux et prompt à la colère. Des décennies plus tard, ma Bible d'homme parle du (et au) monde entier. Amoureuse et nomade, elle m'a entraîné en Terre sainte, chez les imprimeurs du ghetto de Venise, à Doura Europos, dans les champs de coton de la Bible beit, à Babylone, sur les pentes du mont Ararat, chez les Amish, dans les grottes de Qumran, sur les traces des chasseurs d'Éden qui traquent sans relâche le Paradis perdu d'Adam et Eve, etc. Mes étoiles pour ce grand voyage dans le temps et dans l'espace ont été toutes ces Bibles dont la vie m'a permis de tourner les pages: la Bible des pauvres, la Bible du Diable, la Bible paysanne, la Bible de Voltaire, la Bible d'argent, la Bible de Marcel Carné, la Bible du dernier des Mohicans, la Bible low cost, la Bible de l'Homme noir qui assure que, de Moïse à Jésus, tous les personnages bibliques étaient noirs, sans oublier la Bible des Gédéons et enfin la bouleversante Bible-vitrail que Chagall fit en mémoire d'une jeune fille noyée.
"La Bible de mes dix ans se résumait à un mince petit ouvrage cartonné, L'Histoire sainte, qui racontait les relations agitées de quelques héros de temps très anciens et d'un Dieu interventionniste qui se disait lui-même jaloux et prompt à la colère.
Des décennies plus tard, ma bible d'homme parle du (et au) monde entier. Amoureuse et nomade, elle m'a entraîné en Terre sainte, chez les imprimeurs du ghetto de Venise, à Doura Europos, dans les champs de coton de la Bible belt, à Babylone, sur les pentes du mont Ararat, chez les Amish, dans les grottes de Qumran, sur les traces des chasseurs d'Eden qui traquent sans relâche le Paradis perdu d'Adam et Eve, etc. Mes étoiles pour ce grand voyage dans le temps et dans l'espace ont été toutes ces bibles dont la vie m'a permis de tourner les pages : la Bible des pauvres, la Bible du Diable, la Bible paysanne, la Bible de Voltaire, la Bible d'argent, la Bible de Marcel Carné, la Bible du dernier des Mohicans, la Bible low cost, la Bible de l'Homme noir qui assure que, de Moïse à Jésus, tous les personnages bibliques étaient noirs, sans oublier la Bible des Gédéons et enfin la bouleversante Bible-vitrail que Chagall fit en mémoire d'une jeune fille noyée." Didier Decoin
Sur la falaise, le feu allumé par Babe Ozouf s'élève dans la nuit. En contrebas, un navire sombre dans la Manche. Prenant le brasier pour la lumière du phare, il a viré droit sur le récif. Quelle volonté guide Babe la naufrageuse ce soir de 1893 ? Son geste scelle le sort de trois générations de femmes ; le temps venu, il guidera sa fille Catherine et sa petite-fille Carole vers le Cap de la Hague...
"J'ai fait ce livre pour dire que je n'habite pas une maison mais que je suis habité par elle." Lorsqu'il était enfant, Didier Decoin a passé des vacances dans le Nord du Cotentin. Il est tombé amoureux de cette région et a consacré des années à y chercher la maison de ses rêves. Il nous raconte ici joliment ses mésaventures immobilières, les péripéties inévitables liées aux travaux, les tempêtes, son jardin, les petits bonheurs du voisinage et des nourritures terrestres qu'offre ce pays normand battu par le vent et la mer.
Pour un écrivain. parler d'une maison que l'on aime, c'est une autre façon de parler de soi. En passant, Didier Decoin nous offre ainsi de très belles pages autobiographiques où se mêlent la tendresse, l'humour et l'émotion. "D'une certaine façon, ce livre est traduit d'un autre livre, de granit celui-là, où depuis vingt-cinq ans je grave quelques-unes des plus belles pages de l'histoire de ma vie."
Bicyclette qui change un destin. Cinq mystérieuses photographies. Et sir Arthur Conan Doyle qui croit dur comme fer à l'existence des fées. Le romanesque à l'état pur de Didier Decoin.Le plus sentimental et le plus catholique de nos Goncourt [?] affirme ici encore son amour irraisonné pour les êtres doux et forts, fragiles et sensibles, ludiques et passionnés.
Avec une écriture riche et soyeuse. Gilles Pudlowski, Le Point.Didier Decoin raconte d?une plume enchantée cette Angleterre ouverte à la fantaisie et encline à l?extravagance. [?] Il faut, avec Une Anglaise à bicyclette, laisser le charme agir. Les fées séduites se sont penchées sur ce livre-là. Françoise Dargent, Le Monde.
Londres, immédiat après-guerre. Ruth Ellis, enjouée, désirable, plaît aux hommes, et sans doute les choisit-elle fort mal. Dans un Londres pluvieux et charbonneux, théâtre de vices cachés au sein une société bien-pensante, d'entraîneuse, Ruth devient prostituée. Un jour, malheureuse, violentée, mais toujours belle, et mère de famille, elle tue son amant à bout portant. Elle est condamnée à la pendaison. Bourreau, fais ton oeuvre !... Et si le bourreau avait une âme ? Et s'il répugnait soudain à supprimer une innocente aux boucles blondes ?
"Entre roman historique et polar délicieusement suranné, singulier mélodrame et réflexion sur la banalité du mal, le récit de Didier Decoin est une mécanique parfaitement huilée et néanmoins subtilement émouvante." Marie Chaudey, La Vie.
"Decoin gagne son pari contre l'oubli. Ses personnages vivent en nous avec force, sitôt la dernière page refermée." Gilles Pudlowski, Le Point.
L'éblouissement d'une rencontre « vertigineusement » personnelle Une nuit, dans le confort douillet de sa maison, Didier Decoin se met soudain à pleurer sans savoir pourquoi, envahi d'un sentiment puissant et indicible. Sa foi, qu'il pensait véritable, disparaît pour laisser place à une révélation fulgurante : « il fait Dieu comme pour d'autres il fait jour », il en a désormais l'intime conviction.
Le récit d'une nuit de jubilation, d'un moment décisif où tout bascule. Un livre confession.
La vie d'Henri Decoin, cinéaste à qui l'on doit entre autres films Les Inconnus dans la maison ou Razzia sur la Chnouf, fut aussi trépidante que romanesque. Qui d'autre que son fils Didier pouvait la raconter ? Tour à tour tanneur de fourrure, recordman de natation, écrivain ou pilote pendant la première guerre mondiale, Henri Decoin se lance dans une carrière de journaliste sportif avant de se consacrer au cinéma et d'épouser la belle Danielle Darrieux. Un père au destin exceptionnel à qui son fils rend hommage avec une infinie tendresse.
"En ce temps-là, je ne croyais pas en Dieu. J'étais jeune journaliste, et j'étais l'amoureux maladroit d'une jeune fille qui avait une frange blonde et un teckel qui buvait du whisky. Je n'avais pas besoin de vous, Élisabeth », écrit Didier Decoin.
Et pourtant... Comment rester indifférent à la vie d'Élisabeth de la Trinité ? à sa grâce ? à sa sainteté ?
Comme tant d'autres, Didier Decoin s'est laissé toucher par cette figure envoûtante et entame un dialogue intime avec cette petite fille boudeuse et colérique, qui deviendra soeur, mystique puis sainte.
De sa naissance à son passage vers l'autre vie, il retrace, plein de finesse, d'humour et de sagesse, la courte existence d'une figure d'exception.
Didier Decoin, de l'académie Goncourt, est l'auteur de nombreux essais et romans célébrés par la critique et le public. Les OEuvres complètes d'Élisabeth de la Trinité sont publiées aux Éditions du Cerf.
"A l'instar de la Manière de visiter les jardins de Versailles (seul ouvrage qu'écrivit jamais Louis XIV), Je vois des jardins partout est une sorte de manière de visiter les jardins de ma vie.
Ceux que j'ai possédés, et ceux des autres, publics ou privés, que j'ai arpentés. En me penchant sur tous ces jardins, c'est aussi sur mon passé que je me penche, et si je vois des jardins partout, c'est que les jardins ont été, quantitativement et qualitativement, le paysage le plus récurrent et le plus constant de mon existence. En ce sens, ce livre est peut-être une autobiographie déguisée. Cézanne disait que « peindre signifie penser avec son pinceau ».
Jardiner, c'est penser avec un sécateur, des semelles gadouilleuses, un mal de dos et des engelures aux doigts. Ou un coup de soleil sur le nez. Oui, jardiner, c'est penser, mais penser par avance, imaginer, anticiper ce qui va sortir de terre - et dans quel désordre ou quelle harmonie innés ça va surgir. Et c'est avant tout faire confiance à la terre. En écrivant ce livre, je me suis aperçu qu'il n'y avait pas d'école de vie plus sûre ni plus charmante qu'un jardin, que ce soit le paradisiaque et génial Jardin Blanc conçu par Vita Sackville-West dans son domaine de Sissinghurst ou le très modeste recoin qu'on m'avait alloué dans le potager familial pour y faire pousser ce que je voulais - j'avais opté pour quelques épis de blé, dont j'avais tiré quelques grammes de farine, dont je fis un pain minuscule mais tellement délectable que j'en ai encore le goût en bouche.
L'admirable Epicure, qui affirmait que le plaisir est le souverain bien (comme je suis d'acord avec lui !), avait installé son école philosophique dans un jardin où il passa son existence. Vingt-trois siècles après la mort du philosophe grec, les jardins continuent de nous enseigner l'essentiel de la vie : on y apprend la patience, l'humilité toujours, la déception quelquefois, le silence, l'harmonie, les parfums et les saveurs, la beauté, on peut y faire l'expérience de la mort (je l'ai croisée dans un jardin anglais sous la pluie) - et de l'amour, bien sûr, car qui n'a pas fait l'amour dans un jardin au printemps ne sait pas encore tout de l'amour. J'ai essayé de concevoir ce livre pour qu'il soit lu comme on visite un jardin : sans trop de logique, donc, sans que son parcours soit guindé ni rigide, ni surtout pédant - mais une simple déambulation parmi des souvenirs jardiniers qui m'ont enchanté et parfois bouleversé." Didier Decoin
Didier Decoin was twenty when he published his first book, Le Proces a l'amour . It was followed by some twenty other titles, including Abraham de Brooklyn and John l'Enfer . He is currently Secretary General of the Academie Goncourt, has been Chairman of the ecrivains de Marine since 2007 and is a member of the Academie de Marine. He spent fourteen years on the writing of The Office of Gardens and Ponds .
1880, lors de la construction d'un pont qui doit relier Brooklyn à New York. Simon, le Français qui a épousé Gelsomina, une jeune immigrée italienne, et travaille sur ce chantier géant, rencontre Kate, une Américaine de vingt ans évadée d'un pénitentier.
Très vite, Gelsomina sent que son mari lui échappe.
Pourtant, atteint par le «mal des caissons», Simon quitte Brooklyn, cette folie de planches, de poutrelles et de boue, emmenant sa femme et cette fille qu'il aime d'un amour immense. Traversant plaines, déserts et montagnes, ils parviennent enfin à Chicago. Simon croit que Kate y sera en sécurité...
En 1880, dans la plus septentrionale des îles anglo-normandes.
A la suite d'un accident, sarah mcneil a presque totalement perdu l'usage de sa voix : le monde se réduit pour elle aux solitudes des landes. jusqu'à ce que deux évènements bouleversent sa vie : la découverte d'une histoire d'amour, rapportée par le gazette d'edimbourg, et la rencontre d'une maraîchère française dont l'embarcation s'est échouée sur la côte. gaudion est l'amour de sa vie. une nuit se passe.
Mais l'homme, en butte à l'hostilité des soldats de l'île, doit repartir. pour le retrouver, la jeune fille usera de tous les stratagèmes. de londres à trouville, puis à la prison de pont-l'evêque, le chimérique amour de sarah pourrait ainsi, à force de ténacité, forcer le destin lui-même.
Blaise aime Docile, la libraire qui reçoit des clients aux goûts particuliers.
Blaise a douze ans ? Tant pis ! Et tant pis si Docile doit mourir parce que c'est la guerre.
Car Blaise devine qu'en grandissant, on n'oublie pas les amours d'enfance.
En 1865, Charles Lutwidge Dodgson, mieux connu sous le nom de Lewis Carroll, ecclésiastique indécis et professeur de mathématiques inemployé bien que vivant au Christ Church College, connaît le plus grand, et peut-être le seul, chagrin de son existence : la jeune Alice, objet unique de ses feux, est devenue nubile. Quand tout le pouvoir d'aimer que l'on porte en soi se concentre sur l'enfance, le passage à l'âge adulte est en effet pire qu'une trahison, c'est la mort même.
La confession de ce malheur, Lewis Carroll ne nous l'a pas donnée. Mais Didier Decoin a repris sa plume, imaginant que l'auteur d'Alice aux pays des merveilles, pour lui conter sa vie, ses bonheurs et ses tourments avait, jusqu'à sa mort, adressé une correspondance sans échos à Charles Dickens, qu'il avait peut-être croisé et dont l'image d'écrivain glorieux, presque officiel même, était l'inverse exacte de la sienne. Et il n'est rien de plus délicieux que ces deux musiques confondues, quand la sensibilité, touchante et singulière, de l'Anglais se trouve prolongée par l'écriture subtile et la fine culture du Français.
Comme l'avoue l'auteur, ce livre "relève davantage de l'intuition que de l'érudition". Récit épistolaire (une quinzaine de missives imaginaires datées de 1865 jusqu'à 1898, pastichant Lewis Carroll) qui décrit sa situation à Charles Dickens quand Alice (du pays des merveilles) passe le cap de l'adolescence. Avec humour et tendresse, une biographie plausiblement imaginée.
"c'est un véritable conte de Noël qu'a inventé Didier Decoin en écrivant Un policeman. il se révèle à la fois policier, amoureux, vagabond, plein de douleur, de tendresse et d'enfance. Tout se passe à Londres et dans la campagne anglaise. Aussi pense-t-on à Dickens et à ses enfants menacés."Kléber Haedens."Il est parmi les très rare jeunes romanciers qui nous parlent de leur monde personnel avec assez de clarté et de conviction pour nous obliger à interroger le nôtre."Robert Kanters.