Réflexions pour comprendre la crise et en sortir.
Octobre 2008 : la faillite de la banque Lehmann Brother inaugure la "crise financière", qui, très vite, débouche sur une crise économique aux conséquences sociales catastrophiques.
Dans le même temps, se profile l'idée que l'on a affaire à un phénomène de très grande ampleur qui produit des effets dans tous les domaines de l'existence, jusqu'aux dimensions immatérielles de l'homme et des sociétés.
D'où le projet d'effectuer un véritable travail d'enquête dans le monde des idées. Dans le cadre du journal de la rédaction de France Culture, des intellectuels furent invités à livrer leurs premières réflexions sur la crise. Les entretiens ici rassemblés sont les retranscriptions corrigées de ces conversations, dont le principal objet a été de tirer profit -sur le plan intellectuel- des leçons de la crise.
Des empires d'hier à la globalisation d'aujourd'hui, ne sommes-nous pas arrivés au bout d'un processus ? Ne faut-il pas chercher dans les mondes métaphysique et spirituel l'origine commune des dysfonctionnements qui nous assaillent ? Et comment l'intelligence de la civilisation occidentale peut-elle répondre au défi abyssal auquel elle se confronte ?
Le double savoir de Raphaël Sadin, rabbin reconnu pour l'authenticité de son enseignement talmudique et sa maîtrise des sciences profanes, s'allie ici à la prose éclairée et alerte du journaliste culturel Antoine Mercier pour éclairer ces questions.
Leur livre, à la fois rigoureusement argumenté et lumineusement écrit, décrypte le chemin de l'humanité à partir de la vision historique et philosophique que la tradition juive a développée au cours des siècles. Il donne à lire, entre autres, une approche inédite de l'antisémitisme à partir de l'exégèse du livre prophétique de Daniel et des commentaires du Maharal de Prague. Il montre, surtout, que si le monde d'aujourd'hui laisse peu de place à l'espérance, il n'est pourtant pas d'espérance en un lieu et un temps exempt de désespoir. Et que là où croît le désespoir germe également l'audace de s'y opposer. N'est-ce pas là, depuis toujours, l'ouverture que seule permet la Bible ?
Une grammaire pour l'étudiant dès la première année en lettres modernes qui trouvera l'essentiel dans les fiches, et pour les candidats aux concours de recrutement de l'enseignement qui approfondiront leurs connaissances.
Un ouvrage qui offre :
- une présentation des méthodes et des notions fondamentales de la grammaire ;
- une progression du plus simple au plus complexe : des principales parties du discours, verbe, nom, adjectif, à l'exposé de leurs combinaisons dans le cadre de la phrase (la subordination) et du texte (l'ordre des mots ; de la phrase au texte) ;
- une série d'applications, d'exercices et de corrigés en fin de chapitre qui illustrent les exposés ;
- Enfin 30 fiches synthétiques qui permettent de mémoriser l'essentiel et constituent un bagage pour les révisions aux examens.
Un ouvrage qui offre :
- une présentation des méthodes et des notions fondamentales de la grammaire ;
- une progression du plus simple au plus complexe : des principales parties du discours, verbe, nom, adjectif, à l'exposé de leurs combinaisons dans le cadre de la phrase (la subordination) et du texte (l'ordre des mots ; de la phrase au texte) ;
- une série d'applications, d'exercices et de corrigés en fin de chapitre qui illustrent les exposés ;
- 30 fiches synthétiques qui permettent de mémoriser l'essentiel et constituent un bagage pour les révisions aux examens.
Quelque chose de destructeur semble à l'oeuvre dans le monde du travail. Le mal-être au travail est désormais une réalité qui touche tout le monde et partout, tant dans le secteur privé que dans le public. Suicides, dépression, burn out, harcèlement, pressions de tous ordres, on ne compte plus les signes d'un phénomène lourd et inquiétant. Doit-on s'y résigner comme si c'était une fatalité dans nos sociétés postindustrielles ? Non, répondent ensemble Vincent de Gaulejac et Antoine Mercier. Dans ce manifeste qui résonne comme un cri d'alarme, le sociologue clinicien et le journaliste invitent à réagir, à analyser les causes du malaise qui ne sont pas réductibles aux seules variables psychologiques. Ils proposent de mieux comprendre les sources du mal-être pour se donner les moyens d'en sortir au niveau individuel, collectif et politique. Comment changer un système chaotique et paradoxal qui engendre une crise permanente, banalise l'exigence du toujours plus et préconise la lutte des places comme moteur de la performance.