Paru en 1926 dans la revue Weird Tales, La femme du bois était le texte préféré d'Abraham Merritt.
Histoire fantastique et singulière qui mélange réalisme et onirisme débridé, il met en scène un amoureux des arbres qui découvre effaré qu'une famille de bûcherons des Vosges, habitée par une haine ancestrale, veut détruire une forêt. Attiré puis séduit par de sublimes créatures sylvestres, il va se laisser convaincre par elles d'empêcher ce massacre et, comme possédé et hors de lui, affronter les brutes munies de haches.
Fable sombre qu'éclairent des moments de grâce, expression poignante d'une inquiétude face à l'humain ravageur, ce texte légendaire brille d'une étrange et inquiétante lumière. Il mériterait d'être lu par tous ceux qui croient que sauver les forêts relève du combat !
Au coeur des à-pics glacés et des neiges éternelles de l'Alaska, Leif découvre une étrange vallée que le temps semble avoir oubliée. Il y rencontre la belle Evalie, mais aussi la sorcière Lur, une guerrière redoutable qui reconnaît en lui l'incarnation d'un grand roi du temps jadis : le terrible Dwayanu. Et bientôt, celui-ci surgit des ombres de son inconscient, s'emparant de l'esprit de Leif... Il va pourtant falloir faire face, car la guerre fait rage à présent. Mais comment sauver Evalie et son peuple, alors qu'il est lui-même habité par leur plus grand ennemi ?
Merritt est de ces pionniers qui sont devenus des classiques. Il nous transporte dans son univers le plus abouti, où se mêlent créatures d'un autre monde et démons d'un autre âge.
Découvrez son style merveilleux à travers cette nouvelle traduction - superbement illustrée par Sébastien Jourdain -, qui comprend enfin la fin originale de l'auteur, inédite en France.
Alors qu'il revient de Chine après avoir effectué une délicate mission, l'explorateur James Kirkham est enlevé en plein New York et remplacé dans sa vie quotidienne par un double parfait. Il est alors conduit dans une somptueuse demeure et mis en présence de son kidnappeur : Satan lui-même ! Ou, du moins, c'est ainsi que se présente l'homme en face lui. Collectionneur « d'âmes et de beauté » comme il aime à se définir, ce dernier propose à Kirkham d'entamer avec lui une partie dans un jeu dont la seule issue sera le pouvoir ou la mort... Ce jeu : les Sept Pas de Satan ! Thriller fantastico-policier, Sept Pas vers Satan est une illustration de la fascination qu'exercèrent sur Abraham Merritt les mondes obscurs : ici, le satanisme, la sorcellerie dans Brûle, sorcière, brûle ! ou les mythes et légendes dans Rampe, ombre, rampe !
New York, années 30. Dans un hôpital, un médecin soigne en vain des malades qui meurent horriblement. Scientifique et mesuré, il décide de trouver une raison à cette épidémie, qui touche un parrain de la pègre mêlé à l'affaire qui fait basculer l'intrigue dans le roman noir. Luttant contre les explications délirantes, il se heurte à la disparition de ceux qui ont eu l'idée d'aller se confronter au mal dans son repère. Car malédiction il y a, avec des poupées tueuses et une maison de sorcière...Délire fantastique, plongée dans l'inconnu, suspense haletant, ce roman confronte une société à ses démons. Avec son personnage irréductiblement rationnaliste, Merritt crée un trouble qui ne lâchera plus un lecteur oscillant sans cesse entre envie de croire au meilleur du pire et à son impossibilité.
Au coeur des à-pics glacés et des neiges éternelles de l'Alaska, Leif découvre une étrange vallée que le temps semble avoir oubliée. Il y rencontre la belle Evalie, mais aussi la sorcière Lur, une guerrière redoutable qui reconnaît en lui l'incarnation d'un grand roi du temps jadis : le terrible Dwayanu. Et bientôt, celui-ci surgit des ombres de son inconscient, s'emparant de l'esprit de Leif... Il va pourtant falloir faire face, car la guerre fait rage à présent. Mais comment sauver Evalie et son peuple, alors qu'il est lui-même habité par leur plus grand ennemi ?
À l'origine de l'heroic fantasy, le romancier Abraham Merritt (1884-1943) eut une influence considérable sur les plus grands maîtres du genre, de Robert E. Howard à Moorcock en passant par Lovecraft, Silverberg et Tim Powers.