Communément, l'arbitraire est honni, quel qu'il soit et d'où qu'il vienne. Cependant, dans un monde où le consensus est universellement requis, ne convient-il pas de tenter l'éloge des humeurs singulières qui ponctuent la moindre de nos actions?
Quels sont les effets de la communication dans le domaine de la politique culturelle ? C'est à cette problématique que l'auteur tente de répondre, prenant appui sur l'analyse des actions concrètes du ministère de la Culture, telle l'opération Les arts au soleil.
Les théories machiavéliennes à travers la correspondance administrative de Machiavel.
Subvertir ? C'est-à-dire détourner, passer au-dessus ou au-dessous des chaînes du pouvoir en place, critiquer de manière vivante et pratique. La chose est entendue : tout intellectuel se doit d'être subversif ou de disparaître dans les marécages de la réaction. Mais comment subvertir ? C'est la question. Mikel Dufrenne se défend d'entrer dans la ronde des pervers car elle se referme sur l'individu, ses désirs et ses petits plaisirs, peut-être déjà travaillés par la pulsion de mort. Il y a des perversions glacées du langage et des signes, il y a des perversions du pouvoir qui retournent à leur origine : non la puissance du désir, mais le désir de puissance. Le subversif ne nage pas dans les eaux et à la traîne de l'avant-garde intellectuelle, il est sauvage, actif et joyeusement insolite.
Subvertir ? C'est-à-dire détourner, passer au-dessus ou au-dessous des chaînes du pouvoir en place, critiquer de manière vivante et pratique. La chose est entendue : tout intellectuel se doit d'être subversif ou de disparaître dans les marécages de la réaction. Mais comment subvertir ? C'est la question. Mikel Dufrenne se défend d'entrer dans la ronde des pervers car elle se referme sur l'individu, ses désirs et ses petits plaisirs, peut-être déjà travaillés par la pulsion de mort. Il y a des perversions glacées du langage et des signes, il y a des perversions du pouvoir qui retournent à leur origine : non la puissance du désir, mais le désir de puissance. Le subversif ne nage pas dans les eaux et à la traîne de l'avant-garde intellectuelle, il est sauvage, actif et joyeusement insolite.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Le « troisième homme » présente une lecture d'Hitler et de Mein Kampf détachée de la « spécificité juive », même s'il y puise son acharnement à poursuivre Hitler dans ses différentes « logiques ». C'est que nous pouvons croire que le racisme est le centre d'Hitler, cet homme qui fut un moment au centre de l'histoire, mais Hitler n'avait pas de centre : il était antisémite plus autre chose. Alors qu'il nous pétrifie comme la Méduse, il voltige comme Pégase d'un univers mental à l'autre, d'un mécanisme psychologique à l'autre, d'une situation historique à l'autre. En fait, Hitler oblige à regarder Auschwitz, qui interdit de voir Hitler... Revenir sur Hitler, alors c'est, pour quelqu'un qui n'avait jamais osé s'aventurer de ce côté-là, accepter de rencontrer de véritables imprévus : s'interroger moins sur le passé de l'histoire que sur l'avenir de notre esprit.
Existe-t-il un imaginaire collectif qui s'exprimerait dans la vie quotidienne des groupes, dans leur façon de s'emparer de l'espace?
A travers des péripéties séculaires de l'exode, de l'exil, de la diaspora, de la mise en ghetto, de l'assimilation ou de la constitution d'un pays, la culture et l'identité juive se sont aménagées un espace au sein du monde. L'auteur en retrace le long cheminement.
Où va la société moderne? Vers un filet enchevêtré (réseau de réseaux), vers quelque catastrophe de grande ampleur? Ou vers une maîtrise progressive de cet univers fluide de la communication, dans lequel, pour le meilleur et pour le pire, nous sommes aujourd'hui entrés? Un philosophe s'interroge.
En multipliant les approches (conception métaphysique de la souveraineté, débats théologiques en apparence archaïques), l'auteur, sociologue, tente de comprendre si le principe de subsidiarité travaille pour ou contre une Europe, pour l'instant encore virtuelle.
Propose une première esquisse se déroulant à la façon d'un triptyque : préhistoire, histoire et actualité omniprésente de l'Etat.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
Explore quelques moments inconnus de l'acte de recherche : le retournement fou de Comte, fondateur de la sociologie, sous l'effet de la passion amoureuse; la dramatique autocritique de Lévy-Bruhl à la fin de sa vie; la tragique entreprise finale de Freud obsédé par Moïse...
L'art contemporain ne serait-il pas la médiation nécessaire entre le social, le politique et le juridique, jouant ainsi son propre rôle, à la fois critique et régulateur? Les mouvements artistiques actuels manifestent tous le lien entre la subjectivité et la sphère publique où ils s'inscrivent.
La période gaullienne a été marquée par l'apparition d'un espace public télévisuel d'Etat, puis sont apparus les journalistes politologues, une période politicienne marquée par le libéralisme et enfin l'époque actuelle des réseaux. En étudiant le mode d'é
Le thème de la défense de la république, de ses principes et de ses valeurs occupe plus que jamais une place centrale dans le débat politique national. L'ouvrage aborde la république par son versant social, c'est-à-dire par ce qui, à côté de ses qualifications d'indivisible, de laïque et de démocratique, la caractérise dans la définition qu'en donnent les textes constitutionnels.
La revendication d'une identité locale, la recherche des racines, l'intérêt pour le patrimoine local n'ont jamais été aussi forts. Paradoxalement, à l'heure de la Globalisation, le monde devient local... Or, définir des entités aux périmètres clairs, durables, et justifiés par la nature, les traits culturels ou une légitimité historique, est de plus en plus difficile : mobilité, diversité et polymorphisme des territoires et des liens sociaux, mise en réseau des économies et créolisation des cultures font, en revanche, émerger de nouvelles figures, dont celles d'un local pluriel. L'auteur propose ici de privilégier l'analyse des processus, par lesquels s'opère la relation entre l'action et le lieu. Cette analyse permettrait de cerner les enjeux contemporains de la localisation, dont les implications politiques et sociales sont considérables.
Les textes examinent les différents aspects de la remise en cause des idéaux de progrès ainsi que les perspectives ouvertes sur le XXIe siècle.
Selon que l'Etat est plutôt fédératif ou plutôt unitaire, le problème politique de la diversité des langues se pose et se résout tout autrement.
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
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