Mon gros chat n'aime pas... est le refrain qui introduit chaque déclaration d'une longue liste de détestations d'un matou acariâtre. Sa jeune maîtresse nous en fait l'inventaire : « Mon gros chat n'aime pas les fleurs, ni les mouches, ni les papillons et encore moins les autres chats... etc. » mais elle semble supporter avec flegme et tendresse le moindre de ses caprices. Car, à vrai dire, elle est occupée à lui préparer une surprise... Le lecteur la suit tout au long de la journée au jardin où elle cueille des fleurs, à la cuisine où elle fait un gâteau, à l'étage où elle va chercher décorations et cotillons. Mais ce n'est qu'à la toute fin que l'on comprend qu'elle lui a organisé une fête d'anniversaire et que si son gros chat déteste tout, c'est simplement parce qu'il n'aime qu'elle ! À partir de 3 ans
- Dis, maman, est-ce que tu m'aimeras toute la vie ? demande Archibald, un soir avant de s'endormir
- Hum, eh bien, je vais te dire un secret..., répond sa maman. Ainsi commence le tendre inventaire des moments de vies partagés entre une mère et son enfant, où tout devient prétexte à s'aimer.Sur chaque double page, Astrid Desbordes a choisi d'opposer en vis-à-vis des situations contraires, qui jouent avec aisance sur les registres du quotidien et de l'imaginaire, de la poésie et de l'humour. Le message de cet irrésistible album est simple et limpide : l'amour est constant et sans condition. Mais c'est dans la toute dernière phrase que se cache le véritable secret : « Je t'aime parce que tu es mon enfant / mais que tu ne seras jamais à moi. »Les illustrations de Pauline Martin, subtiles dans le trait comme dans la couleur, soulignent avec force la délicatesse de cette formidable déclaration d'amour. À partir de 3 ans
« Un jour, mes parents m'ont dit que j'allais avoir une petite soeur.
C'est drôle, je ne me souvenais pas leur avoir demandé. »
C'est Archibald qui nous fait cet aveu en introduction du nouvel album de Pauline Martin et Astrid Desbordes, qui reprennent ici le personnage de Mon Amour dans le rôle d'un grand frère curieux mais dubitatif face à l'arrivée d'une petite soeur avec laquelle il va désormais devoir compter.
Au fil des pages, la petite soeur grandit, trouve sa place dans les jeux, dans le coeur, mais aussi dans les inquiétudes d'un grand frère parfois jaloux, souvent tendre et finalement très fier de ce rôle nouveau. Car, nous dit Archibald, « ce que je préfère avec ma petite soeur, c'est être son grand frère ».
Astrid Desbordes nous surprend une nouvelle fois par la subtilité et l'humour de son propos, remarquablement soutenu par les illustrations de Pauline Martin.
À partir de 3 ans
Dans la nature, se dit Archibald, il n'y a pas de bruit.
C'est comme si on était seul au monde.
Archibald et son papa regardent les hirondelles partir de l?autre côté de la terre : « Moi aussi je pourrai aller aussi loin, quand je serai grand ? demande Archibald. Encore plus loin que ça, répond son papa. »« Mais si le vent se lève ? demande Archibald. Si le vent se lève, le vent passera, répond son papa. »Les questions d?Archibald se succèdent, dévoilant une à une les craintes de l?enfant à l?idée de ce grand voyage qui, on le devine, est celui de la vie.En réponse, papa apaise, transmet, encourage, libère et, par-dessus tout assure Archibald de son amour indéfectible? à partir de 3 ans
« Aujourd'hui, à l'école, il y a un nouveau. Il s'appelle Sam. »
Toujours vêtu d'un pull vert, ce Sam n'est pas du genre à se mêler aux jeux des autres. Forcément, il intrigue. Qui peut préférer regarder les nuages à jouer à l'épervier ? Archibald décide de lui donner sa chance. Et Sam lui prête son regard : dans un nuage, il voit un dragon ; dans une toupie, un cyclone. Or il suffit que Sam soit malade une semaine pour qu'Archibald perçoive l'absence criante de ce point vert dans la cour. À son retour, c'est l'amitié scellée, entre deux enfants résolument différents.
Un magnifique hymne à la nature.
Parfois, quand Archibald se promène dans les rues, il s'arrête devant les vitrines pour regarder des choses belles et chères et souvent il aimerait les acheter. Mais à bien y réfléchir, Archibald se dit que ces objets, une fois qu'on les possède, finissent enfermés dans des tiroirs, ou des armoires. Au contraire, il réalise que le rossignol qui lui apprend à chanter, le grand pommier qui lui offre un goûter, ou bien la lune qui reste allumée toute la nuit pour le rassurer... ces choses-là, elles, sont en liberté, elles ne lui appartiennent pas, elles ne sont ni rares ni chères et pourtant, quand Archibald y pense, il ne voit rien de plus précieux au monde.
À partir de 3 ans
Archibald se fait mener la vie dure : on le presse, on l'oblige, on le gronde... Alors il s'interroge : vraiment, est-ce que les parents trouvent ça amusant de contrarier leurs enfants ? Un parent lui explique alors que sa maman, c'est comme un jardinier...Un album tendre qui raconte comment chaque petite pousse d'enfant est nourrie, arrosée, soignée, observée, protégée... jusqu'à devenir un grand arbre épanoui.
À partir de 3 ans
« Ma première maison, je ne m'en souviens pas, mais je sais qu'elle n'était vraiment pas grande. »
Cette première maison qu'évoque Archibald est le ventre de sa mère. Sa maison d'aujourd'hui, il y vit avec ses parents et sa petite soeur, et il l'aime portes et fenêtres grandes ouvertes et parfois, au contraire, calfeutrée pour mieux se serrer les uns contre les autres. Archibald aime découvrir les maisons de ses amis et il en fait ici l'inventaire : il y a celle d'Hector très décorée, et celle de Sam plus bricolée, la péniche d'Ulysse, la caravane de Noé... Mais au fond, c'est la sienne qu'il préfère, pas pour sa taille ni sa hauteur, juste pour ceux qui l'attendent à l'intérieur.
À partir de 3 ans
« Ce matin, Archibald a raté son match. Marguerite, elle, a bien réussi. »
Dans cette nouvelle histoire, Archibald se sent tout petit parce qu’il a perdu au tennis. Pourtant, il s’entraîne beaucoup, mais sans résultat, pense-t-il. À sa maman, il confie même qu’il n’est « vraiment pas doué ». Partant tous deux en promenade, Maman interroge alors son garçon : « crois-tu que cet oiseau n’est pas doué parce qu’il ne sait pas nager ? Que ce papillon n’est pas doué parce qu’il ne sait pas chanter ? Que ce pommier n’est pas doué parce qu’il ne sait pas voler ? »
Archibald comprend ainsi que chacun est doué pour quelque chose et qu’il porte en lui ce qu’il aime vraiment. Il suffit de le découvrir et c’est justement ce qu’il va faire !
À partir de 3 ans.
« À 8 h et demi, Maman a terminé l’histoire du soir. “Au lit mon Archibald”, m’a-t-elle dit en m’embrassant. J’ai répondu “oui, oui, Maman chérie” et j’ai sorti mon train. »
Telle est l’entrée en matière d’une histoire que nous conte Archibald. 9h, 10h, 11h, puis minuit… Jusqu’à 4 h du matin, Papa, Maman et Mamina tentent chacun à leur tour de convaincre Archibald qu’il est l’heure de dormir. Chacun déploie sa tendre ruse, sa technique infaillible, sa théorie implacable. Mais tous terminent, au petit matin, endormis dans des coins improbables de la maison, tandis qu’Archibald, toujours debout, doit les border avant d’aller se coucher paisiblement dans le lit vide de ses parents…
À partir de 3 ans
Comprendre les rouages de l'industrie pharmaceutiqueL'adage selon lequel " la santé n'a pas de prix " revient souvent. Pourtant, inscrite dans l'économie de marché, celle-ci en a forcément un. Dès lors, comment les sociétés peuvent-elles garantir le droit fondamental à la santé ? Pénuries de traitements essentiels, explosion des prix des médicaments qui menace notre protection sociale basée sur la solidarité, modèle de recherches qui ne répond pas à tous les besoins, même les plus urgents, débats empêchés sur les meilleures modalités d'une production locale publique, négociations déséquilibrées entre régulateur public et multinationales : les politiques pharmaceutiques nous concernent tous, et pourtant, les citoyens ont été dépossédés des moyens d'en débattre de façon éclairée pour exiger les réformes nécessaires.
Partant du constat de la grande opacité qui entoure le sujet, Pauline Londeix et Jérôme Martin rendent ici accessible une expertise minutieuse. Ils contribuent ainsi à une réappropriation collective des politiques du médicament et formulent des propositions au service d'un objectif simple et vital : l'exercice effectif du droit à la santé.
Une chronologie de l'histoire de l'art signée Bescherelle. Un ouvrage complet, fiable et attractif qui s'adresse à tous les curieux d'histoire de l'art.
Un panorama vivant de l'histoire de l'art
o L'ouvrage commence en 1401 avec le concours emblématique pour la réalisation des portes du Baptistère à Florence et s'achève avec un dossier sur l'art dans la mondialisation.
o L'histoire de l'art de la Renaissance à nos jours est ainsi déroulée, sous une forme documentée et vivante, à travers plus de 145 dates clés, donnant à voir les oeuvres fondatrices et les moments clés dont elles sont le symbole.
Une organisation claire, une mise en page rythmée
o Au début de chaque période, une grande frise chronologique.
o Au fil des doubles pages, la présentation de chaque oeuvre, l'accent étant mis selon le cas sur sa forme, sa signification, sa réception...
o À intervalles réguliers, des dossiers sur des problématiques transversales ou des genres majeurs de la période considérée.
Max veut courir plus vite ! Mais avec une couche... pas facile !
L'univers quotidien, plein de tendresse et de fantaisie, d'un petit garçon espiègle, Max, et de son fidèle doudou : Lapin.
Max et Ginger font la course dans le jardin, mais Max est gêné par sa couche pour courir.
Et si passer au pot lui permettait d'aller plus vite ?
L'univers quotidien, plein de tendresse et de fantaisie, d'un petit graçon espiègle, Max, et de son fidèle doudou : Lapin.L'histoire : Max et sa copine Ginger sont fâchés et très en colère. La maman de Max a une idée, et s'ils fabriquaient une tarte à la colère ?
L'univers quotidien, plein de tendresse et de fantaisie, d'un petit garçon espiègle, Max, et de son fidèle doudou : Lapin.
L'histoire : C'est l'heure de dormir, " Au lit petit ours!" annonce papa. Mais l'ours Max n'a pas très sommeil. avec lapin, il va construire une petite cabane de nuit...
La nouvelle série d'albums d'Astrid Desbordes et Pauline Martin
L'univers quotidien, plein de tendresse et de fantaisie, d'un petit garçon espiègle, Max, et de son fidèle doudou : Lapin.
Aujourd'hui Max lit des histoires avec sa maman.
Quand arrive l'histoire de la sorcière Gros-derrière qui croque les gens, Max et maman n'ont pas du tout l'intention de se laisser avaler. Gare à toi vieille sorcière !
La confrontation des écrits artistiques et musicaux de Jean-Jacques Rousseau se révèle féconde en ce qu'elle permet d'observer, avec précision dans l'esprit d'un intellectuel du siècle des Lumières, la manière dont la musique peut être pensée et vécue, pour devenir finalement l'aune à laquelle tous les arts sont appréciés. Posé tout d'abord comme référent, l'objet musical soumet en effet, dans le discours de Rousseau, les autres arts à l'épreuve de sa propre spécificité ; pensé encore comme modèle d'une conception particulière du beau, il fournit l'instrument d'une appréciation des autres disciplines, met en jeu leur propre statut et leur ordonnance hiérarchique. Ainsi, bien plus qu'une pratique, l'art musical devient, pour Rousseau, une norme esthétique, autorisant qu'il juge des arts en musicien. Exprimé avec conviction dans ses écrits musicaux (principalement le Dictionnaire de musique et l'Essai sur l'origine des langues), ce parti fédère par ailleurs plusieurs de ses oeuvres littéraires, biographiques et politiques. Par son analyse, Marie-Pauline Martin propose ainsi de relire certains écrits du philosophe à la lumière d'un enthousiasme, et même d'une foi absolue, en l'effet moral de la musique.
This open access book on straw management aims to provide a wide array of options for rice straw management that are potentially more sustainable, environmental, and profitable compared to current practice. The book is authored by expert researchers, engineers and innovators working on a range of straw management options with case studies from Vietnam, the Philippines and Cambodia. The book is written for engineers and researchers in order to provide them information on current good practice and the gaps and constraints that require further research and innovation. The book is also aimed at extension workers and farmers to help them decide on the best alternative straw management options in their area by presenting both the technological options as well as the value chains and business models required to make them work. The book will also be useful for policy makers, required by public opinion to reduce greenhouse gas emissions and air pollution, looking for research-based evidence to guide the policies they develop and implement.