Shirley Peters a été tuée, et son ancien amant l'avait menacée de mort. Pour l'inspecteur Resnick, il s'agit là d'un drame passionnel, ce genre de drame auquel il a l'impression d'être confronté tous les jours. Mais quand une seconde femme est sauvagement violée et assassinée, il semble évident qu'un serial killer est à l'oeuvre et qu'il choisit ses victimes parmi les femmes esseulées qui cherchent un compagnon dans la rubrique locale des coeurs solitaires. Journaliste, poète, scénariste et romancier, John Harvey est une révélation majeure du roman noir anglais.
Dans cette douzième et ultime aventure de Charlie Resnick, personnage emblématique qui a conquis un large public sur deux décennies, John Harvey se confronte à un événement majeur de l'histoire sociale de la Grande-Bretagne: la grève des mineurs de 1984. La découverte du cadavre d'une femme qui avait disparu pendant la grève remet l'inspecteur Charlie Resnick en scène et l'amène à se confronter à son passé de jeune flic. Trente ans plus tôt, Resnick était en première ligne en tant que policier chargé de la surveillance des grévistes. Déjà, à l'époque, son sens moral avait été mis à mal par les méthodes employées contre les mineurs. Aujourd'hui, c'est un homme âgé et il se souvient... Une histoire poignante qui s'achèvera sur des notes de Thelonious Monk.
Au foyer pour jeunes délinquants où il attend d'être jugé pour sa participation à un cambriolage qui a mal tourné, on retrouve le jeune Nicky Snape, quinze ans, pendu dans les douches. C'est l'inspecteur Charlie Resnick qui avait procédé a son arrestation, mais l'affaire est confiée a Bill Aston, un officier de police dénué d'imagination qui attend la retraite. Lorsque l'enquête provoque un meurtre sanglant sur les berges du fleuve, les craintes de Resnick se révèlent fondées. Lui-même sera chargé d'enquêter sur une série de viols particulièrement brutaux dont les victimes sont des hommes. Il aura ainsi l'occasion de rencontrer Hannah Campbell, l'un des professeurs de Nicky. Et, au milieu de toutes ces horreurs, Resnick s'apercevra qu'il est en train de tomber amoureux. Suite de la chronique de l'inspecteur jazzophile, Proie facile est le roman préféré de John Harvey.
L'ultime aventure du personnage de Frank Elder, inspecteur de police à la retraite, qui doit intervenir dans une affaire à laquelle est mêlée sa fille Catherine.
Une enquête mêlée à un drame intime.
Maria Roy a menti en décrivant les cambrioleurs qu'elle a surpris chez elle, comme deux petitsNnoirs en blousons. Harold, son mari, n'a pas tout dit sur ce que contenait son coffre-fort. Quant au grand type élégant qui s'est courageusement interposé contre un commando venu saccager le restaurant chinois où il dînait, il est autant industriel du textile que Lester Young était chanteur d'opéra... Tant que ces gens-là se mentent les uns aux autres, tout le monde y trouve plus ou moins son compte. Mais lorsque chacun à leur tour, ils viennent mentir au détective-inspecteur Charlie Resnick, il cherche le lien entre les menteurs, un kilo de cocaïne en vadrouille et une vague de cambriolages non éclaircis. Quitte à mettre son nez dans les affaires d'un collègue indélicat et à fréquenter l'univers impitoyable de la télévision... Après Coeurs Solitaires, une nouvelle enquête de Charlie Resnick.
John Harvey, le créateur du célèbre inspecteur Charlie Resnick, nous propose un tour d'horizon de son univers et de ses héros à travers 10 nouvelles à la tonalité noire, sur fond de jazz et de notes bleues. Dans ces histoires criminelles, défilent aussi bien les quartiers chauds de Londres que des villes comme Nottingham ou Sheffield. Chaque fois, un personnage poursuit une quête ou résout une enquête. John Harvey mêle, dans sa prose élégante, le noir social et le blues de l'émotion. Pour les aficionados et pour une belle porte d'entrée dans l'univers du grand auteur anglais pour ceux qui ne l'ont pas encore lu.
Douze ans ont passé, pourtant Lorraine Preston s'en souvient comme si c'était hier : son frère dans le box des accusés, la condamnation à perpétuité et la honte. Aujourd'hui Michael Preston va sortir de prison, mais seulement pour quelques heures. il bénéficie d'une permission exceptionnelle afin d'assister aux obsèques de sa mère. son père est déjà mort depuis longtemps, c'est lui qui l'a tué. un acte aussi violent qu'inexplicable. Pour l'inspecteur Resnick, cette libération n'est pas une bonne nouvelle. La présence d'un meurtrier en ville est la dernière chose qu'il souhaite alors qu'il doit faire face à des bandes armées et à une explosion du trafic de drogue. et, comme un signe du chaos ambiant, sa relation avec Hannah Campbell se détériore... Derniers sacrements clôt en beauté le cycle de Resnick qui s'interroge sur les motivations humaines et la nature des sentiments.
Une fois que le patron serait au courant, il se chargerait sans doute de prévenir lui-même les parents de la gosse. Et c'était une chose que Millington détestait plus que tout, et qui lui soulevait le coeur : regarder en face des gens dont le visage se décompose, et leur raconter des mensonges. Quand la petite Emily est enlevée, Charlie Resnick craint le pire. A peine quelques jours plus tôt, le corps d'une autre fillette de six ans a été découvert. Pour le policier, l'affaire est particulièrement difficile ; l'opinion publique s'impatiente, les médias se déchaînent et Resnick lui-même est hanté par l'idée qu'un assassin pédophile rôde dans la ville. Pour cette quatrième enquête de l'inspecteur Resnick (Coeurs solitaires, Les Etrangers dans la maison, Scalpel), placée sous le signe du morceau de Thelonious Monk Off Minor, John Harvey s'attaque au délicat sujet de la pédophilie. Il le fait avec la justesse, la pudeur et l'humanité qui caractérisaient ses précédents romans.
La cinquième aventure de Charlie Resnick, aux accents envoûtants du blues.
Existe-t-il un lien entre les agressions sauvages perpétrées contre deux membres du personnel du centre hospitalier de la ville ? Obligée d'enquêter dans toutes les directions, l'équipe de Charlie Resnick passe au crible la vie privée des victimes, hésite entre plusieurs suspects et se perd en conjectures face à un milieu médical enclin au secret, voire à la dissimulation... Jusqu'à ce que l'agresseur frappe à nouveau et assassine cette fois une jeune étudiante apparemment sans histoires. Orientée de manière décisive, l'enquête s'achemine alors vers un terrifiant secret... Opus 3 de la saga Charlie Resnick, Scalpel nous remet en présence de personnages à l'exceptionnelle dimension humaine, familiers aux lecteurs de Ceurs solitaires et des Etrangers dans la maison,et nous replonge dans l'univers noir de John Harvey.
Le jour de la Saint-Valentin, une confrontation entre gangs rivaux dégénère, et une adolescente est tuée. Lynn Kellogg, collègue et maîtresse de Charlie Resnick, est impliquée dans la fusillade, et le père de la victime l'accuse de s'être servie de sa fille comme d'un bouclier humain. Charlie Resnick tente d'aider sa partenaire à sortir de cette situation, mais il commet plusieurs erreurs. Simultanément, l'enquête que menait Kellogg sur une affaire d'homicide s'enfonce dans une impasse. Les ramifications de cette affaire, beaucoup plus étendues qu'ils le croyaient au départ, plongent Kellogg et Resnick dans un maelstrom de dangers. Pour son grand retour, Charlie Resnick a vieilli et se trouve désormais proche de la retraite. Flic de la vieille école, il ne déborde pas de sympathie - c'est le moins que l'on puisse dire - pour les méthodes d'une soi-disant nouvelle police plutôt déplaisante, ni pour celles de certains médias. Mais il sent que quelque part, l'Histoire ne va pas dans son sens.
Dans cette sixième enquête, Charlie Resnick, homme solitaire et secret, traque un criminel qui menace de s'en prendre à une femme dont il est proche et qui lui inspire des sentiments ambivalents.
Charlie Resnick doit assurer la protection de Cathy Jordan, auteur de best-sellers et invitée d'honneur du festival Coups de feu dans le noir. La romancière a reçu des lettres de menaces et, de toute évidence, le corbeau est un lecteur assidu de son oeuvre.
Et à l'instant où Milt Jackson lève une mailloche à hauteur d'épaule pour frapper la première note, le biper attaché à la poche intérieure de l'inspecteur lance comme une intrusion son insistante sonnerie. Charlie Resnick n'assistera pas au concert. Le cadavre d'une jeune femme vient d'être retrouvé dans le canal. Rien ne permet de l'identifier. Elle restera la noyée fantôme, un dossier en souffrance. Pourtant Resnick a bientôt des raisons de s'inquiéter pour une autre femme : Jane Peterson, une amie de sa compagne Hannah, a disparu. Jane est l'épouse d'un dentiste renommé et cultivé, d'une brutalité insoupçonnée, qui la persécute et la frappe. A mesure que Resnick cerne la vérité sur cette disparition, sa propre relation avec Hannah résonne comme un écho à son enquête... Eau dormante prouve une fois encore que John Harvey sait trouver les mots justes pour faire vivre à travers le microcosme de Nottingham, l'humanité tout entière.
«Ut pictura poesis», Horace said, but through the two millennia in which «the sister arts» have been compared, little has been said about the nature of sight itself. What we see in «our mind's eye» as we read has not been explored, though by following the visual prompts in texts, one can anatomize the process of visualization. The Poetics of Sight analyses the role of sight in memory, dream and popular culture and demonstrates the structure of a complex sight within the metaphors of Shakespeare, Pope and Dickens; and within the visual metaphors of Picasso, Magritte and Bacon. This book explores the difference between the great and the failed works of the supreme poet-painter, William Blake, and tracks the migrations of the Satiric muse between verbal mockery and scabrous images in Persius, Pope, Gillray and Gogol. It records the rise, and partial decline, of the vividly «seen» novel in Dickens, Flaubert, Tolstoy, Proust and Hardy. The key concept throughout this book is visual metaphor, which in the twentieth century acquired overarching importance: in art from Picasso to Kapoor, in poetry from Eliot to Hughes, in aesthetics from Pound to Derrida. The book closes with a far-reaching definition of visual metaphor and with the great visual metaphor of the human body.
Karen Shields, jeune inspectrice d'origine jamaïcaine, est chef de l'équipe des homicides à la police métropolitaine de Londres. Elle enquête sur la mort d'un jeune Moldave retrouvé sous la glace d'un étang gelé à Hampstead Heath. Pendant ce temps, Cordon, inspecteur placardisé dans une petite ville de Cornouailles, recherche une jeune femme disparue, qu'il a connue 15 ans plus tôt alors qu'elle était une adolescente paumée, tombée dans la drogue et la prostitution. Les deux enquêtes vont trouver un fil commun...
Hérités de l'Antiquité, les sept arts libéraux désignaient au Moyen-Âge l'ensemble des savoirs que tout homme réputé « libre » se devait de connaître. Ils se répartissaient en deux branches. Le trivium, ou sciences des mots : Grammaire, Rhétorique, Logique ; le quadrivium, ou sciences des choses : Arithmétique, Géométrie, Astrologie ou Astronomie, et Musique.
Au fil des siècles, chacun d'eux a acquis une valeur symbolique et initiatique qui justifie leur présence dans le corpus rituel maçonnique.
C'est à l'approche de ces « arts » par l'emblème et l'iconographie traditionnelle que nous convie l'auteur, transmettant ainsi une connaissance indispensable pour comprendre la nature du grade de Compagnon.
Le rite Ecossais Ancien et Accepté comprend 33 degrés. Les Hauts Grades débutent avec le 4è degré, celui de Maître Secret, dont l'auteur étudie ici les prolongements, allant du 5è au 8è degré.
Le Maître d'Oeuvre a été assassiné, Hiram a disparu. Mais Salomon ne cède pas au désespoir et décide de poursuivre la construction du temple. Le 4è degré des "hauts grades" Maçonniques, est à la fois un temps de deuil en l'honneur de l'architecte défunt et de réorganisation des travaux de la loge dans un nouveau cadre.
Assassiné, Maître Hiram est ressuscité dans tout nouveau Maître Maçon. Mais la légende ne s'arrête pas là, et le Rite Ecossais Ancien et Acccepté (REAA) a développé une série de "hauts grades", considérés comme un "cycle de perfection". Voici le premier d'entre eux, le grade de "Maître Secret".
Les allégories développées dans le grade de Maître (3°degré) et dans celui de chevalier Rose-Croix (18°degré) recèlent de nombreux points communs dont la découverte et l'examen permettent de mieux comprendre la cohérence initiatique du Rite Écossais Ancien et Accepté : l'un comme l'autre grade associent la recherche de la Parole à des épreuves qui incluent le sacrifice ultime : la mort du Maître, bientôt suivie d'un redressement ou d'une résurrection.
En s'appuyant sur une iconographie abondante, ainsi que sur deux anciens rituels des XVIIIe et XIXe siècles, Francken et La Maçonnerie des Hommes qui permettent de retrouver la signification originelle du symbolisme de ces deux grades, cet ouvrage met en évidence la dynamique du chemin des grades de perfection du R.E.A.A.
Franc-maçon depuis près de 40 ans, Percy John Harvey s'intéresse tout particulièrement à l'iconographie sacrée et au symbolisme de la voie des grades. Il signe ici son 10ème ouvrage dans la collection « Les symboles maçonniques ».
Un livre unique pour maîtriser à la fois l'utilisation d'Excel 2019, et pour aller plus loin avec le logiciel en apprenant les bases de la programmation VBA
Ce livre contient 2 titres en 1 et va vous permettre d'apprendre l'utilisation de base d'Excel et ensuite d'aller plus loin dans l'utilisation de votre tableur. Par exemple automatiser certaines tâches, échanger et traiter des données en provenance de différentes applications Office, ou personnaliser votre logiciel.Au programme :
une première feuille de calcul à partir de zéro
entrée et mise en forme des données
utiliser les formules et les fonctions
créer des graphiques
travailler avec les hypothèses
tableaux croisés dynamiques
éviter de programmer avec les macros,
les bases du VBA,
lancer des programmes VBA,
l'éditeur VBA sur le bout des doigts,
créer des formulaires interactifs,
créer des boîtes de dialogues
des macros complexes
Les points parfaits de la maîtrise ou la résurrection symbolique.
Etude des grades des Loges de perfection, qui vont du 4e au 14e. C'est ici le 12e qui est présenté, en privilégiant la clarté et en s'appuyant sur une richesse iconographique exceptionnelle.