L'origine du monde de Courbet appliquée au Land art ?
Entre interprétation poétique et réflexion sociétale, La nuit scoptophile questionne le rapport de l'individu « civilisé » aux images non conformes de la sexualité qu'incarne la pornographie.
Par ce constat sans concession des rapports contradictoires qu'entretiennent l'espace commun et l'intimité, l'auteur livre une lecture judicieuse du voyeurisme et de l'exhibitionnisme contemporains...
À la lumière d'oeuvres picturales (Botticelli, Manet.) ou cinématographiques (Hitchcock, Kubrick, Antonioni, Clouzot.), il revisite librement les concepts du passé, tels le Mythe de la Caverne de Platon ou la Scène primitive de Freud, selon lui plus que jamais d'actualité.
La nuit scoptophile est augmenté d'un texte de Daniel Arasse (Sexe en ville), écrit peu avant sa disparition en 2003.
Aurélia, c'est l'histoire d'une robe trouvée dans un vide greniers en Picardie. Elle est rouge à pois blancs et il lui manque un bout de tissu dans le dos. Que lui est-il arrivé, à qui a-t-elle appartenu ? Où est passé son bout de tissu manquant ? Avec son appareil photo, l'artiste Elodie Cavel arpente les vide-greniers pour mener l'enquête. Les personnes qu'elle rencontre lui font part d'anecdotes personnelles. D'autres laissent leur imagination parler. Certaines se prêtent au jeu de la photographie et posent avec la robe dans leur univers. À travers des textes et des photographies colorées, "Aurélia" nous emmène dans une histoire poétique, à la fois drôle et tendre.