- Une histoire vécue : 7 années d'anecdotes, d'observation et d'aménagements pour accueillir la biodiversité.
- Une approche familiale et une expérience ludique, reproductible et à la portée de tous.
- Un voyage sans avion, où la magie naît de la libellule et du triton, de l'abeille et du hérisson, du rouge-gorge et du papillon : trente espèces d'oiseaux, onze mammifères, huit amphibiens, un reptile et plus d'une centaine d'insectes et araignées interagissent dans ce jardin privé, habité, aménagé et cultivé de 1200 m².
- Un vrai roman d'aventures, abondamment illustré de belles photographies animalières qui mêle aussi anecdotes de terrain (récits d'affûts, témoignage sur les aménagements proposés aux animaux, etc.) et contenus naturalistes.
- Un sujet dans l'air du temps, qui fait le lien entre le monde du jardinier et celui du naturaliste.
- La reconnexion avec la nature à portée de mains !
«?On a dû depuis deux ans monter une brigade spécialisée dans le racolage sur internet. Le problème, c'est que c'est une vraie toile d'araignée. Les filles n'ont plus besoin de racoler, d'user les trottoirs, elles foncent directement en ligne, de toute façon, les clients préfèrent.
Alors entre le darknet et le net, il y a une petite ligne à franchir, cette ligne, c'est la ligne rouge ».
Ce roman de fiction met en exergue le problème de la prostitution étudiante, qui s'accroît grâce au darknet.
Parmi les méga-événements sportifs qui rythment le calendrier de nos sociétés contemporaines, les courses de Formule 1 révèlent des enjeux qui dépassent les frontières sportives. La discipline reine du sport automobile est un terrain particulièrement propice aux tensions et aux rapports de force entre, d'une part, les industries du spectacle et du sport et, d'autre part, les villes, les pays et les communautés d'accueil.
Du Grand Prix de Montréal à l'incontournable circuit de Monte-Carlo, en passant par les nouvelles destinations de l'Asie orientale, les auteurs font la lumière sur le visage qu'a pris le sport-spectacle qu'est la Formule 1 au cours des dernières années.
Cet ouvrage s'adresse à la fois aux passionnés de F1 et à tous ceux qui cherchent à décrypter les multiples informations que diffusent quotidiennement les médias à son sujet.
Julien Laurent est sociologue et chargé de cours à l'UQAM. Il possède une formation en sociologie urbaine et du sport. Il a cosigné deux livres et publié de nombreux articles.
Sylvain Lefebvre est professeur au Département de géographie de l'UQAM et directeur du Groupe de recherche sur les espaces festifs (GREF). Il a dirigé l'ouvrage Sports et villes, enjeux économiques et socioculturels (PUQ, 2003).
Éric Mottet est professeur de géopolitique au Département de géographie de l'UQAM et directeur de l'Observatoire de géopolitique de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Il a dirigé Géopolitique de la Coupe du monde de football 2010 (Septentrion, 2010), en plus d'avoir cosigné trois autres livres.
Le sport s'impose partout et façonne l'espace à sa manière. Cet ouvrage s'intéresse, d'une part, à l'impact du sport en milieu urbain et, d'autre part, à la justification d'une aide publique et aux impacts directs et indirects des franchises professionnelles sur les villes.
« La France a d'énormes moyens pour réussir, pour posséder une industrie puissante, une agriculture vigoureuse, une armée solide pour notre sécurité. Gouverner, c'est faire des choix.
Je fais le choix de la VIe République ».
Le constat de Sylvain Lefebvre est implacable : pour protéger nos acquis sociaux, nos emplois, notre sécurité, notre liberté et nos pairs, la seule réponse est de changer de constitution. Loin d'être une solution miracle, elle constitue néanmoins un changement profond et nécessaire : le passage à la VIe République.
Accessibles à tous, les préconisations de l'auteur sont concrètes, simples et surtout pleines de bon sens. Soucieux d'être le plus exhaustif possible, il aborde dans cet ouvrage tous les sujets inhérents à sa proposition. De l'État français à l'Éducation Nationale en passant par le système pénitentiaire et le budget, il met en lumière tout ce qui est possible et réalisable, dans l'intérêt de tous.
Né en 1966, l'auteur a étudié à l'école Normale à Besançon et fait son service militaire au 99° RI à Sathonay-Camps. La VIe République est son premier ouvrage, paru aux Éditions du Panthéon.
Un pays petit par sa superficie mais immense par sa biodiversité.
Cette collection consacrée au voyage propose des destinations où la nature est omniprésente, riche et variée, pour tous les amateurs de paysage, de faune, ou de flore, qu'ils soient simples contemplatifs, sportifs ou photographes. Pas d'exhaustivité dans ces guides, mais les réponses à toutes les questions que les voyageurs se posent, les meilleurs spots des auteurs, leurs bons conseils et astuces pour éviter les pièges. Ce titre est le troisième de la collection après l'Islande et l'Écosse.Petit par sa superficie, immense par sa biodiversité, le Costa Rica est devenu en quelques années la plus belle vitrine de l'écotourisme à l'échelle internationale. Chaque année, des milliers de visiteurs s'y rendent pour s'enivrer de nature et d'aventure. Sylvain Mahuzier et Sylvain Lefebvre, photographes naturalistes passionnés par cet éden vert, répondent à toutes les questions que les voyageurs peuvent se poser pour découvrir cette nature et proposent une sélection de balades à pied, en bateau ou sur des ponts suspendus au-dessus de la forêt ! Voici où et comment vous immerger dans la forêt tropicale, observer la faune de jour comme de nuit toucans, aras, colibris et quetzal, tortues marines, iguanes, rainettes, serpents, paresseux... où gravir des volcans, reconnaître la trace des animaux...
Dans ce beau livre pratique, nos deux spécialistes donnent tous les conseils, l'équipement à prendre, leurs coups de coeur, les pièges à éviter et le comportement à tenir dans cette nature foisonnante. Et leurs images, très colorées, finissent de convaincre de boucler le sac !
Le dialogue est-il au coeur de notre vie sociale ? Est-il aujourd'hui un pilier de la démocratie ? Un remède au conflit ou un rempart contre les passions et la violence ? Quels échanges permet-il entre élus et citoyens ou entre experts et profanes ?
L'ouvrage tente de répondre à ces questions par la critique des théories et des pratiques du dialogue et de leurs usages politiques. Il prend le parti d'explorer les points aveugles du dialogisme et de ses méthodes, de la logique à l'anthropologie, et de l'éthique à la politique, à partir d'auteurs tels que Habermas, Jacques, Latour, Callon, Mansbridge, Rosanvallon, Honneth. Il s'appuie en outre sur un ensemble de cas qui révèlent les conditions et les limites du dialogue dans une variété d'arènes, de la sphère publique à la sphère privée : Grenelle de l'environnement, débats publics, jurys citoyens, organisations de travail...
L'ouvrage tire toute sa richesse des contributions de chercheurs confirmés issus de plusieurs disciplines (philosophie, linguistique, sociologie, science politique,...).
Contributeurs : Grégory Corroyer - Fernand Doridot - Guillaume Gourgues - Sylvain Lavelle - Rémi Lefebvre - Martine Legris - Clément Mabi - Laurence Monnoyer-Smith.
Le présent ouvrage traite de l'analyse réflexive en éducation.Il s'adresse principalement aux professeurs et aux enseignants qui oeuvrent en formation professionnelle et technique, ainsi qu'à ceux qui se dirigent vers ce domaine d'enseignement. En outre, les étudiants actuellement inscrits dans un de ces programmes y trouveront leur compte, puisque la réalisation de ce livre s'inscrit dans une volonté de les sensibiliser à l'analyse réflexive en leur proposant des textes accessibles en lien direct avec leur cheminement.
L'analyse réflexive en enseignement professionnel et technique met en lumière le fait que les enseignants sont profondément habités par la nécessité de penser et de réfléchir à leur propre pratique pédagogique. Ce livre répond à un besoin maintes fois répété et ouvre la voie à une meilleure compréhension des enjeux propres à la formation professionnelle et technique, ainsi qu'à la manière dont l'analyse réflexive contribue à faire progresser ce secteur essentiel au développement socioéconomique du Québec.
Alliant théorie et pratique, les différents chapitres contiennent des témoignages d'enseignants, de futurs enseignants et de praticiens. Ils tentent de répondre à des questions fréquemment soulevées par les acteurs de ce milieu et proposent des réflexions issues du travail de reconnaissance des acquis disciplinaires spécifiques à ce type de formation.
La société postindustrielle produit de plus en plus de « cités fantômes », ces villes, quartiers et rues désertés par leurs habitants lors d'une crise économique (Détroit, Michigan ; Gary, Indiana), d'un accident nucléaire (Pripiat, Ukraine ; Fukushima, Japon), d'une catastrophe naturelle (New Orleans, Louisiane ; Plymouth, Montserrat) ou encore, à l'occasion d'un plan d'urbanisation forcée, ou d'un projet industriel avorté (Ordos, Mongolie ; Hashima Island, Japon). Ces zones urbaines, si souvent représentées dans leur matérialité brute - décombres, ruines et objets du quotidien désertés de toute âme -, interrogent particulièrement le devenir de nos sociétés ébranlées par les successives crises économiques, écologiques et humanitaires, articulées aux nouvelles configurations du local au global.
Les ruines et les vestiges de la cité sont depuis longtemps l'objet de réflexions philosophiques. Leur présence, témoignage d'une béance, invite à une méditation sur le déclin et la disparition des civilisations passées, sur l'inexorable passage du temps et l'échec de son contrôle, sur l'incertitude des activités humaines, sur la perte, le manque, la mort. En elles s'exprime « [...] la fatalité en germe au coeur de toute chose » (Lacroix, 2008, p. 85), et elles appellent en ce sens une conscience aiguë, sensible, du temps, un « temps pur » (Augé, 2003) qui se donne, avant toute mise en récit, comme sensation et condition. L'esthétique de la mort dans les ruines de la cité, qui joue de ce dessaisissement vertigineux provoqué par la sensation du temps qui court, se transforme radicalement au début du XXe siècle pour interroger non plus un passé disparu qu'on regretterait, mais bien un présent de guerre et de décombres, un présent-catastrophe (Makarius, 2004 ; Benjamin, 1991).
Des adeptes de sports libres sappropriant lespace public aux méga-événements sportifs agissant comme vecteur de développement, le sport devient un organisateur des territorialités urbaines. Cet ouvrage rend compte de cette influence du sport sur la population et sur la morphologie des métropoles nord-américaines et européennes.