Comment faire de notre passé une force d'avenir ?
Enfance, éducation, souvenirs heureux ou traumatiques : notre passé ne passe pas. Il est toujours présent.
Il nous appartient alors d'établir une relation apaisée et féconde avec notre mémoire. Celle-ci n'est pas, comme on le pense souvent, un stock de données. Les neurosciences nous apprennent, au contraire, que la mémoire est dynamique, mouvante. Nos souvenirs ne sont pas figés, ils s'apparentent à une partition à interpréter.
Notre rapport au passé doit être repensé. En convoquant sciences cognitives, nouvelles thérapies, sagesses antiques et classiques de la philosophie, de la littérature ou du cinéma, Charles Pépin nous montre que nous pouvons entretenir un rapport libre, créatif, avec notre héritage.
Notre bonheur dépend de notre capacité à bien vivre avec notre passé. Cet essai lumineux nous donne les clés pour y parvenir.
Et si nous changions de regard sur nos échecs ?
Les succès viennent rarement sans accroc. Charles de Gaulle, Rafael Nadal, Steve Jobs ou Barbara ont tous essuyé des revers cuisants avant de s'accomplir.
Relisant leurs parcours et de nombreux autres à la lumière de Marc-Aurèle, Saint Paul, Nietzsche ou Freud, cet essai nous apprend à réussir nos échecs. Il nous montre comment chaque épreuve, parce qu'elle nous confronte au réel ou à notre désir profond, peut nous rendre plus lucide, plus combatif, plus vivant.
Un petit traité de sagesse qui nous met sur la voie d'une authentique réussite.
Après le succès des Vertus de l'échec, Charles Pépin nous éclaire sur le mystère de la confiance en soi.
Cultivez les bons liens Entraînez-vous Écoutez-vous Émerveillez-vous Décidez Mettez la main à la pâte Passez à l'acte Admirez Restez fidèle à votre désir Faites confiance au mystère En puisant dans les textes des philosophes et des sages, dans les travaux des psychanalystes et des psychologues, mais aussi dans l'expérience de grands sportifs, d'artistes ou d'anonymes, ce livre éclaire le mystère de la confiance en soi. Et nous montre le chemin pour avoir davantage confiance en nous.
Quand Platon, Kant et Sartre s'allongent sur le divan de Freud, les questions les plus essentielles de la philosophie surgissent sous un jour inédit. En choisissant d'incarner ces philosophes, Charles Pépin nous entraîne dans un passionnant voyage, ludique et romanesque, où leurs idées sont abordées à partir de leur vécu et de leurs émotions. Où les systèmes philosophiques apparaissent comme indissociables des obsessions de leurs auteurs : l'idéalisme pour Platon, le devoir pour Kant, le regard des autres chez Sartre. Des questionnements qui ressemblent aux nôtres, tant ils dessinent en creux le portrait de l'homme occidental.
«Penser, c'est exister au plus haut niveau d'existence possible.» C'est dans cette élévation de la pensée que nous entraîne Charles Pépin. Ce petit livre introductif s'adresse aux lycéens, à leurs parents, mais aussi à tous ceux qui s'interrogent sur le sens de leur vie. À travers sept sujets de dissertation, l'auteur nous propose une découverte de la philosophie en sept jours. Un programme savoureux et une réflexion originale portée par des exemples tirés de l'actualité. Une invitation à s'engager et à penser par soi-même pendant un peu plus d'une semaine...
Solaro est un homme qui cherche à voir dans son quotidien la beauté de toute chose, et par làmême réussit à en éprouver une certaine joie. Afin de conserver ce sentiment si précieux, Solaro vit au jour le jour et refuse toute projection. Aussi, tandis que sa mère souffre d'un cancer et que son banquier lui signifie qu'il s'endette, Solaro décide de voir la joie là où elle est : une fleur qui éclot sur un parking d'hôpital, sa liaison avec Louise, le dîner et le vin qu'ils s'apprêtent tous deux à savourer. Et même quand sa vie bascule, il conserve cette vision du monde.
Un roman sous forme de conte philosophique : spirituel et lumineux.
Apprendre à voir autour de nous pour aller à la rencontre de soi Lorsque la beauté - d'un paysage, d'une mélodie, d'un tableau, d'un visage... - nous saisit, nous reconnaissons la sensation unique qu'elle nous procure mais nous ne mesurons pas forcément son importance. À la quête du beau, nous préférons en général la quête de la réussite, du pouvoir, du bonheur, du plaisir, de l'amitié ou de l'amour.
Pourtant, affirme ici Charles Pépin, le plaisir que la beauté nous donne n'est jamais superficiel : elle nous aide à mieux nous connaître, à oser être ce que nous sommes, à accueillir le mystère de l'existence.
Croisant la pensée des grands philosophes, l'oeuvre des artistes d'hier et d'aujourd'hui, puisant aussi dans son expérience personnelle, il montre que la beauté permet de retrouver notre liberté de juger, de développer notre capacité d'écoute, nous aide à nous dépasser et à nous faire confiance.
La beauté est plus qu'un spectacle : elle nous aide à vivre plus intensément
Pourquoi certaines rencontres nous donnent-elles l'impression de renaître ? Comment se rendre disponibles à celles qui vont intensifier nos vies, nous révéler à nous-mêmes??
La rencontre - amoureuse, amicale, professionnelle - n'est pas un « plus » dans nos vies. Au coeur de notre existence, dont l'étymologie latine ex-sistere signifie « sortir de soi », il y a ce mouvement vers l'extérieur, ce besoin d'aller vers les autres. Cette aventure de la rencontre n'est pas sans risque, mais elle a le goût de la « vraie vie ».
Le pouvoir exerce une fascination, parce qu'il engendre la puissance et peut opérer de vraies transformations. Qu'est-ce qu'avoir du pouvoir ? Qu'est-ce qui fonde le pouvoir qu'un homme peut exercer sur d'autres hommes ?
Pour répondre à ces questions, Charles Pépin s'attarde sur le pouvoir de l'homme politique, du chef d'entreprise, d'un ami qui sait se faire écouter, du prêtre par rapport à ceux qui se confient à lui, du professeur dans sa classe...
Et même d'une oeuvre d'art.
Une réponse s'impose alors dans chacun de ces cas : avoir du pouvoir, c'est être capable de le transmettre.
Comment connaître nos vrais désirs ? Comment Descartes a-t-il pu comparer les animaux à des machines ? Pourquoi sommes-nous fascinés par le pouvoir ? Pourquoi les philosophes sont-ils si souvent incapables d'appliquer leurs idées? Peut-on vraiment se préparer à mourir ? Est-il absurde de désirer l'impossible ? Qu'est-ce qu'un authentique ami ? Voici quelques-unes des questions abordées dans ce manuel pas comme les autres...
Où le programme de terminale est traité intégralement, mais au travers de " problématiques tout-terrain " permettant d'appréhender tous les sujets. Où des "bêtisiers" analysent les clichés ou contresens les plus fréquents. Où les extraits d'oeuvres sont plus courts et accessibles que dans les manuels scolaires. Où les conseils de méthodes abstraits laissent la place à des " copies de rêve " entièrement rédigées.
Où les grandes questions philosophiques sont mises en scènes dans des petites nouvelles, saynètes de la vie quotidienne où Charles Pépin raconte "sa vie de prof"... Un manuel de philosophie ? Oui, mais comme vous n'en avez jamais lu. Aussi utile pour un bachelier que pour tous ceux qui ne veulent plus entendre parler du bac, mais aimeraient bien entendre Platon leur parler d'amour ou Hegel leur parler du bonheur.
Ce livre est un parcours en plusieurs étapes qui éclaire la façon dont la beauté 1) nous aide à retrouver notre liberté de juger, notre capacité à nous écouter, à nous faire confiance ; 2) ouvre grand notre rapport au monde, à d'autres façons de voir, à d'autres vies possibles ; 3) nous permet de nous affranchir de ce qui nous entrave, de nous dépasser et nous élever ; 4) nous apprend à nous réjouir de ce qui est, à porter un regard ébloui sur l'existence. Ainsi, la beauté nous guérit de nos doutes, de notre individualisme, de notre enfermement, de nos contradictions, de nos peurs, de notre malaise d'être humain. Bien plus qu'un divertissement, bien plus qu'un luxe gratuit pour gens cultivés, l'émotion esthétique nous offre à tous la promesse de vivre plus intensément.
Comment Descartes a-t-il pu comparer les animaux à des machines ? Que voulait dire Platon en professant de se préparer à mourir ? Qu'est-ce que vivre selon Nietzsche ? Qu'est-ce que la morale selon Kant ? Dix philosophes incontournables sont présentés par Charles Pépin : leur vie, leurs oeuvres majeures, leurs thèses principales, leurs phrases de trop ou leurs conseils pour bien vivre. Au-delà d'un manuel pour les bacheliers, cet ouvrage est dédié à tous. Les plus curieux, désireux de mieux comprendre le monde, apprendront à être libres avec Hegel, joyeux avec Spinoza, ou courageux avec Aristote.
Les questions posées dans chaque livre ont occupé, occupent ou occuperont un jour ou l'autre notre esprit : religion, mort, liberté, bonheur, vérité...
Chaque ouvrage aborde avec clarté et modernité les grandes notions philosophiques et nous offre en complément les principaux thèmes et textes des grands philosophes concernés. "Les philosopheurs" veulent éclairer notre esprit en nous donnant les clés d'une réflexion simple et indispensable pour mieux vivre. Des livres à lire, à méditer et à partager.
Quand Platon, Kant et Sartre s'allongent sur le divan de Freud, les questions les plus essentielles de la philosophie surgissent sous un jour inédit.
En choisissant d'incarner ces philosophes, Charles Pépin nous entraîne dans un passionnant voyage, ludique et romanesque, où leurs idées sont abordées à partir de leur vécu et de leurs émotions. Où les systèmes philosophiques apparaissent comme indissociables des obsessions de leurs auteurs : l'idéalisme pour Platon, le devoir pour Kant, le regard des autres chez Sartre. Des questionnements qui ressemblent aux nôtres, tant ils dessinent en creux le portrait de l'homme occidental.
Chacun peut voir sa vie enrichie par la fréquentation de la beauté. Alors que beauté - d'un paysage, d'une mélodie, d'un tableau ou d'un profil d'homme ou de femme - nous frappe (souvent à l'imprévu) et nous touche d'une façon qui peut nous paraître d'autant plus inexplicable qu'elle est forte, que nous reconnaissons la sensation unique que la beauté nous procure, nous ne lui attribuons généralement pas un rôle central dans notre existence. Nous aurons plutôt tendance à mettre en avant la recherche du bonheur, du plaisir, ou encore l'amour, l'amitié, l'engagement pour une cause, la réussite, le pouvoir.
Dans cet ouvrage, Charles Pépin affirme que sans que nous en ayons forcément conscience, la beauté nous fait du bien. Plus encore, elle nous aide à nous réaliser, à vivre mieux.
Croisant la pensée des grands philosophes, l'oeuvre des artistes d'hier et d'aujourd'hui et puisant aussi dans son expérience personnelle, il éclaire la façon dont la beauté nous aide à retrouver notre liberté de juger, notre capacité à nous écouter, à nous faire confiance ; ouvre grand notre rapport au monde, nous permet de nous dépasser et nous apprend à nous réjouir de ce qui est, à porter un regard ébloui sur l'existence.
En sept questions, autant que de jours de la semaine, qui sont à la fois sujets de dissertations de style bac et questions pour tout un chacun, C. Pépin montre comment rédiger une dissertation aux lycéens et démontre à leurs parents que le travail des philosophes est d'éclairer les questions essentielles de l'existence concrète.
France-the early 21st century. A young student must complete a corporate job shadowing internship. Thanks to a cousin on his father's side, also of Greek descent, he gets a foot in the door at a famous consulting firm. He will soon discover the true face of office life. The intern's name: Kevin Plato. From Nietzsche the director of human resources, to Foucault the video-surveillance monitor, to Teresa of Ávila the executive secretary, and many, many more, Plato dives headfirst into the world of work... philosopher style.
Le narrateur, 23 ans, arrive un matin dans la maison familiale, en Bourgogne. Fatigué, ivre, drogué, des images obsédantes de ses nuits parisiennes lui reviennent en boucle : raves, ecstasy, un procès pour viol, un ami poignardé, et cette dernière soirée au Palace où il a senti le besoin de fuir. Et aussi l'image lancinante de cette fille qu'il a laissé partir... Premier roman d'un jeune auteur.
«Ce qui m'a fait le plus mal, lorsqu'elle t'a quitté, c'est que j'ai compris pourquoi. Ta retenue, ton élégance du mou. Tu aurais dû la frapper. Elle serait restée, peut-être. Mais tu préférais minauder, elle t'attendrissait. Elle t'obligeait à devenir celui qu'elle allait fuir. La seule fois où vous m'avez invité, j'ai été frappé par les coussins. Il y en avait partout. Je t'accuse d'y avoir pris goût. Je t'accuse de t'être laissé endormir, par son cul d'abord puis par sa bourgeoisie. Elle a flatté, d'année en année, tout ce qui en toi aspirait à cette vie moisie. Tu avais renoncé à une partie de toi, pour t'étonner ensuite qu'elle renonçât aux restes.» Qui sont les infidèles ? Ces hommes qui ont oublié de rester fidèles à eux-mêmes, ou les femmes qui les trompent ? A moins qu'il ne s'agisse de ceux, simplement, qui ont cessé de croire. La nuit, sur l'autoroute, Alban cherche l'image qui résumerait ces mois vécus à trois, ces soirées parisiennes. Le jour il parle à ses élèves de ces hommes jetés dans l'existence par un Dieu qui s'en fout. Les notions défilent - la passion, la vérité, l'idéal... et le texte de son cours se retrouve éclaté de l'intérieur par celui de sa vie privée. Il finira à genoux sur l'estrade, relevé par une gamine aux cheveux rouges.