Une sélection de Beaux Livres en stock, disponibles en librairies, bien que temporairement indisponibles à la commande chez l'éditeur.
Ce journal de l'exposition est tenu par Gaëlle Josse à partir d'un choix de photographies de Vivian Maier (1926-2009) qui se sont révélées des moments clés de sa vie.
Ces séquences évoquent les thèmes chers et récurrents de son travail.
Elle marchait dans la ville munie d'un Rolleiflex. Chaque visage, chaque silhouette prise allait raconter une histoire « comme si chaque vie entrevue devait livrer son secret. » Elle arpentait la ville seule ou accompagnée d'enfants. Elle était très inspirée par les scènes et les portraits d'enfants, ils étaient importants dans son oeuvre et rendaient une impression joyeuse et juste ou encore poignante.
Enfin, les autoportraits de l'artiste constituent certainement la part la plus originale et la plus énigmatique de son travail. Elle jouait avec sa propre identité. Vivian Maier « empoignait la vie qui était partout où elle portait son regard. Elle la saisissait par petites séquences, elle l'observait, elle la suivait. » Une biographie de l'artiste termine ce journal et raconte la suite de son l'histoire... par la découverte de ses photographies.
Avec ses 2500 illustrations choisies parmi les plus extraordinaires chefs-d'oeuvre de tous les temps,ce livre nous fait voyager à travers l'histoire de l'art par le biais des images. Rassemblées dans un musée idéal puisant dans les collections du monde entier, peintures, sculptures, photographies sont observées, décryptées et commentées par les meilleurs spécialistes. Proposant un parcours chronologique de la Préhistoire à nos jours, cet ouvrage unique en son genre est la nouvelle référence en histoire de l'art.
"L'art seul rend la vie possible - c'est de cette façon radicale que j'aimerais le formuler". Joseph Beuys.
Cet ouvrage présente plus de 50 montres, les plus rares du monde, y compris celles dont il n'existe qu'un seul exemplaire.
Qu'elles doivent leur caractère exceptionnel à leur complexité mécanique, à leur design, à leur prix astronomique ou à leur histoire, toutes témoignent du génie de cet art de haute précision qu'est la belle horlogerie. Des montres ayant battu tous les records aux enchères ces dernières années aux « pépites » de technicité et de complication, en passant par les garde-temps uniques des héros d'hier et d'aujourd'hui, ce livre passionnera professionnels, collectionneurs et amateurs, mais aussi tous ceux que l'univers de la haute horlogerie fascine.
Des pyramides d'Égypte aux Bains des Docks du Havre de Jean Nouvel, du Taj Mahal au Palais d'Hiver de Saint-Pétersbourg, du musée Guggenheim de Bilbao au stade olympique de Pékin, cet ouvrage rassemble dans une même chronologie toutes les régions du monde et toutes les cultures. Temples, cathédrales, musées, palais, châteaux, hôtels, aéroports, maisons privées, constructions de pierre, de marbre, de bois, d'acier, de béton... Ce sont 1 001 lieux à découvrir, grandioses ou intimes, à travers 100 pays différents à travers le monde.
C'est à une promenade nocturne dans l'une des plus denses métropoles du monde que nous convie le maître de l'illustration tokyoïte : Mateusz Urbanowicz.
Après le succès de son premier livre : Boutiques de Tokyo, il se remémore ici son arrivée dans la mégapole, évoque ces moments de solitude où la seule échappatoire réside dans la déambulation nocturne, telle une méditation pour mieux observer la ville.
Il évoque certains détails architecturaux, mais aussi les ambiances rencontrées, ses techniques de travail pour aboutir à cette époustouflante maîtrise du trait et de la couleur.
Un entretien, à la fin du livre, avec l'un des plus grands réalisateurs de cinéma d'animation japonais, raviera les amateurs du genre.
Depuis sa création, il y a plus de 35 ans, le studio Ghibli illumine le monde entier de ses petits bijoux d'animation. Traduits dans plus de 20 langues et diffusés dans plus de 150 pays, les films signés Ghibli sont non seulement la vitrine de l'animation japonaise mais sont aussi les gardiens de son authenticité. L'histoire de Ghibli s'est forgée progressivement à partir d'une rencontre entre deux génies de l'animation, celle entre Hayao Miyazaki et Isao Takahata.
De Nausicaä à Aya et la Sorcière, en passant par Mon Voisin Totoro, Le Tombeau des Lucioles, Princesse Mononoke ou Le Château ambulant, ce guide entend présenter les 24 réalisations du célèbre studio en y décryptant, film par film, les thèmes profonds qui les traversent, le tout illustré par des scènes des films et par les affiches japonaises.
A travers ses réalisations, le studio prouve qu'il est possible de faire des films d'animation de qualité pour le cinéma, avec une totale liberté artistique.
Cet ouvrage est le premier d'une collection de 8 livres riches en informations et analyses, à l'ambition encyclopédique. Chaque tome présentera les productions d'animation japonaise d'une période, par ordre chronologique, en commençant par Tetsuwan Atom (Astro le petit robot) de Osamu Tezuka en 1963.
Dans chaque tome, retrouvez une fiche technique par oeuvre, avec les principaux éléments, un résumé et le contexte historique au Japon ou en France si celui-ci est pertinent. Ce sont environ 400 séries, long-métrages, ou productions spéciales (vidéo) pour 1963 à 1970. Lexique et index permettront de s'y retrouver efficacement.La publication des 8 tomes est prévue sur 2 ans, entre 2021 et 2023.
Cette monographie est éditée par le Fonds Hélène & Edouard Leclerc de Landerneau à l'occasion de la grande exposition qu'il consacre à Françoise Pétrovitch. Véritable ouvrage de référence, le livre, dont chaque chapitre s'ouvre sur la parole de l'artiste, retrace l'ensemble de son parcours de façon chrono-thématique, dévoilant au passage des images des ateliers et des oeuvres jamais montrées ou réalisées pour l'exposition. De nombreux écrits de spécialistes de l'histoire de l'art ou même de la romancière Marie Darieussecq, qui livre pour l'occasion un texte inédit, s'y succèdent. Accompagnés de quelques 200 illustrations ils font Écho À la richesse de l'oeuvre de Françoise Pétrovitch et de ses techniques : peintures, sculptures, dessins, céramiques, estampes et vidéos. A travers les images récurrentes de l'artiste ou « motifs-traits » (mains, yeux fermés, personnages hybrides, fragiles, enfants ou animaux, etc.) c'est un travail sur le regard qui se découvre et nous propose son interprétation du monde.
Une oeuvre d'art actuel incontournable.
Une remarquable collection de maisons contemporaines d'exception construites sur des sites côtiers spectaculaires.
Des plages de sable blanc, des falaises vertigineuses et des criques secrètes font partie des remarquables sites où ont été construites les maisons contemporaines d'architectes présentées dans Habiter la mer. Illustré de magnifiques photographies en couleur, ce livre rassemble les plus beaux exemples d'architecture côtière résidentielle à travers le monde.
Chaque maison, dont l'intérieur et l'extérieur sont révélés par de superbes images, entretient un lien profond avec la beauté brute et exaltante de la mer et du littoral environnants.
Inspiré du titre d'un poème de l'écrivain finlandais Aaro Hellaakoski, Me Kaksi (qui se traduit par « nous deux » en français) célèbre la rencontre fortuite, l'étrange proximité, la présence au monde de deux êtres. L'oeuvre littéraire d'Hellaakoski exalte l'expérience de la nature, une naturphilosophie inspirée du romantisme allemand qui tente de saisir l'indicible, la fragilité de notre relation au monde. Cette tentative de restituer des instants fugaces se retrouve dans les images de Pentti Sammallahti. L'idée du duo, du couple, de complices en tout genre apparaît de manière récurrente dans l'oeuvre du photographe. Qu'il s'agisse d'amoureux, d'amis, d'enfants, de passants, de voyageurs, de voisins mais aussi d'un homme et son chien, de deux oiseaux... les images de Sammallahti saisissent des moments singuliers, elles racontent l'attachement, la tendresse, le lien affectif. Regard sur plus de quarante ans de pérégrinations, les photographies de cet ouvrage sont autant de petites saynètes : elles matérialisent l'expérience de la dualité. Souvent immergés dans une nature majestueuse, des landes irlandaises ou steppes mongoles, enfants, femmes, hommes et animaux se regardent, s'accompagnent, s'enlacent, marchent côte à côte : l'être au monde devient évidence. Telles un rêve éveillé, ces images offrent une perception aigue du réel. Chez Sammallahti, la nature est vécue comme une expérience esthétique, sa puissance évocatrice confère aux images le sens du merveilleux. Instants éphémères saisis avec poésie, les images de Me Kaksi s'appréhendent comme des haïkus, elles célèbrent l'évanescence des choses, des fragments de rencontres, l'intimité inattendue, fortuite, exceptionnelle mais aussi parfois d'une puissante évidence. Elles racontent aussi l'universalité du lien affectif, « l'être-au-monde » ensemble.
1000 films qui ont marqué l'histoire du cinéma !À la fois art de masse, art de recherche et d'essai mais aussi foyer de création, le cinéma nous a accompagnés tout au long du XXe siècle, enregistrant au plus près la réalité sociale et historique du monde tout en projetant, à travers des fictions transportant les foules, les désirs et les rêves du plus grand nombre. Les 1 000 films culte de l'histoire du cinéma plonge le lecteur à travers l'histoire du cinéma qui, en 120 ans d'existence, n'a jamais cessé de se réinventer, passant du muet au parlant au début des années 30, du noir et blanc à la couleur, des écrans carrés à format réduit aux dimensions spectaculaires d'écrans de plus en plus larges, de la pellicule et du nitrate de cellulose à la 4D.Le passé du cinéma a toujours été le garant de son avenir, d'où l'importance de revenir sur son histoire, une pensée encore plus prégnante à une époque où la cinématographie, qui est étymologiquement l'écriture du mouvement, s'est vue pour la première fois contrainte d'interrompre son cycle habituel de production et de diffusion en 2020, marquant une pause dans son histoire. Cette année exceptionnelle est ainsi l'occasion unique et pertinente pour opérer un flash-back sur le formidable répertoire de ces 120 années de production.Cet ouvrage propose ainsi de revenir sur les 1 000 films culte qui ont marqué notre ère et qui, chacun, ont rythmé la vie des générations d'hier et d'aujourd'hui. Des centaines de films issus de tous les genres et de tous les pays sont présentés, décennie par décennie, d'après une sélection fondée sur des données objectives que sont les classements annuels d'entrées, en France et à l'international, les palmarès des grands festivals comme Cannes et Venise mais aussi sur les grandes célébrations telles que les Oscars et les César ou encore sur la notoriété consacrée par la critique. Autant de critères qui ont permis au cinéma de s'imposer comme un art nouveau, unique et irremplaçable.
De John Lee Hooker, on connaît surtout la légende : l'enfant qui a vu et entendu jouer Charley Patton et Blind Lemon Jefferson, le fugueur hobo de 14 ans, le guitariste improbable qui ne pouvait jouer qu'en solo, et une carrière faite de succès fulgurants, comme « Boom Boom » ou « Boogie Chillun », et d'oublis relatifs.
Entre construction du mythe et négligence biographique, il a beaucoup contribué à cet état de fait. Démystifiant ce qui doit l'être, ce livre s'attache à éclairer sa vie, débusquant ses ruses et sauts de côté. Car Hooker est un personnage faussement simple, irrégulier, à la fois rusé et envoûtant, sachant s'adapter aux lois du marché tout en restant éminemment singulier. Mais, malgré ce brouillard, une chose ne trompe pas : on reconnaît dans la seconde un riff de Hooker.
Aux États-Unis, Georgia O'Keeffe (1887-1986) a acquis un statut quasi-légendaire et demeure la plus célébrée et reconnue des peintres américaines. Cet automne, le Centre Pompidou présentera la première exposition rétrospective française de l'oeuvre de O'Keeffe, réalisée en collaboration avec le Musée Thyssen de Madrid, la Fondation Beyeler de Bâle et le Musée Georgia O'Keeffe de Santa Fe.
Plusieurs siècles avant le début de l'ère chrétienne, les juifs vivaient autour de la Méditerranée, le long des bords de l'Euphrate. Des siècles précédant l'avènement de l'islam aux premières dynasties du monde musulman, de l'expulsion des juifs d'Espagne en 1492 à l'essor de centres juifs dans l'Empire ottoman, et enfin de l'influence croissante de l'Europe dans le monde méditerranéen à l'exil des juifs du monde arabe, cet ouvrage met en lumière les expressions les plus signifiantes des cultures juives en terres d'islam et les échanges remarquables entre les deux communautés tout au long de l'histoire.
Chez les Blanc-Francard, la musique est une affaire de famille. Le père, Dominique, est un ingénieur du son et producteur de studio star, qui a travaillé avec les plus grands : David Bowie, Elton John, Serge Gainsbourg, Julien Clerc, Michel Delpech...
L'oncle, Patrice, a été, notament, directeur des programmes d'Europe 1, directeur du Mouv', producteur de l'émission culte Les enfants du rock... Le frère est le chanteur Sinclair. Hubert Blanc-Francard a, lui, créé, avec Philippe Zdar, le duo Cassius.
S'épanouissant à Bruxelles, à Barcelone ou à Vienne, l'Art nouveau s'illustre à Paris dès le milieu des années 1890. D'abord dans les beaux quartiers avec des immeubles à l'ornementation profuse destinés à une bourgeoisie avant-gardiste, puis dans la sphère publique pour habiller les stations de métro ou les salles de restaurants. Il en identifie d'ailleurs le type au point de se voir qualifié de « style métro » ou de « style bistrot ». L'engouement est de courte durée, qui s'essouffle après 1910 alors que l'esthétique épurée du cubisme condamne les entrelacs végétaux et les lignes en coup de fouet. Pour faire bonne mesure, on détruira au cours du xxe siècle beaucoup de réalisations Modern Style, et non des moindres.
En voici cependant 100 exemples remarquables : immeubles d'habitation, maisons particulières, théâtres, brasseries, commerces...
Dès la seconde moitié du XVIIIe siècle, de nombreux peintres furent attirés par les paysages de la Provence. Ses caractéristiques géographiques - un territoire qui s'étend de la Méditerranée jusqu'à la chaîne alpine - autant que sa longue et riche histoire, lui confèrent une place d'exception.
Quelques personnalités vont rompre avec ces conventions et amorcer un renouveau qui a pour particularité d'exprimer la singularité de la lumière provençale, tels que Joseph Vernet, Hubert Robert et ensuite Cézanne et Van Gogh. La lumière tranchante et irradiante du Midi, sa nature pleine de contrastes ne peuvent manquer de séduire les impressionnistes et néo-impressionnistes français et étrangers : Monet, Renoir, Signac, Cross, Van Rysselberghe ... À leur suite, les fauves trouvent en Provence le champ de prédilection de leurs expérimentations sur la couleur.
Au fil des générations, jamais ne se dément l'attrait de cette région où les grands maîtres de l'art du XXe siècle, Matisse et Picasso, puisent aussi leurs ressources et leurs motifs pour définitivement faire entrer la Provence dans la légende des peintres modernes.
Avec pour fil rouge le lien entre la couleur et la lumière, cet ouvrage offre un regard sur l'ensemble du parcours de Pierre Bonnard, de sa période nabie à ses tableaux des années 1920 et 1930 où son style s'affirme pleinement, jusqu'aux chefs-d'oeuvre de la fin de sa vie. Les différents thèmes abordés permettent d'explorer les lieux qui l'inspirent - Paris, la Normandie, la Méditerranée - et ses sujets de prédilection : les intérieurs avec personnages, les nus, les paysages, les natures mortes, avec une attention toute particulière portée à la lumière, naturelle ou artificielle, qui était l'essence même de sa peinture.
Traversé par une douce mélancolie à laquelle l'âge donne peu à peu une plus grande gravité, l'art de Bonnard demeure avant tout une ode à la beauté du monde et à celle du corps féminin.
C'est aussi l'une des rares oeuvres du XXe siècle à offrir autant de bonheur à ceux qui la découvrent.
Riche en photographies, illustrations et dessins d'époque, ce bel ouvrage célèbre, 50 ans après sa mort, la figure d'une femme extraordinaire, Gabrielle Bonheur Chanel, dite Coco. Esprit rebelle, elle a bâti son destin, comme on coud un vêtement, en révolutionnant la garde-robe des femmes avec ses icônes légendaires : sa petite robe noire, son parfum N° 5 - qui fête aujourd'hui son centième anniversaire - ses bijoux fantaisie, son tailleur aux boutons dorés, son sac matelassé... Dans un monde ultra-corseté, elle leur a appris à se sentir libres, sûres d'elles, modernes, et surtout uniques. Une biographie passionnante qui nous fait revivre la vie intense - une enfance difficile, des drames et des succès - d'une pionnière, effrontée et souveraine, l'incarnation parfaite de l'élégance intemporelle.
Facile à glisser avec votre boîte de couleurs et à consulter au cours de vos travaux.
Une palette de base composée de 12 pigments plus de 300 mélanges, 700 effets de composition obtenus avec seulement 30 couleurs principales Organiser sa palette de façon sûre et prudente.
Découvrir de nouvelles expériences pour l'enrichir.
Réussir les tonalités des bruns, les carnations...
LE PARCOURS DE 4 MONSTRES SACRÉS DU 7ÈME ARTParcours croisés dans la filmo de Gabin, Ventura, Delon et BelmondoUne histoire de quatre monstres sacrés, celle de leur rencontre, de leurs tournages, de leur amitié et de leurs coups de gueule toute une époque !
Après son exil aux États-Unis, Gabin est en perte de vitesse. Un film va relancer sa carrière et installer pour longtemps sa figure de patriarche dans le paysage cinématographique français : Touchez pas au grisbi (1954), un film de gangsters à la française. Parmi ses partenaires, un trentenaire italien à la carrure impressionnante fait avec prudence ses premiers pas devant la caméra de Jacques Becker : Lino Ventura. Les deux hommes sympathisent immédiatement et enchaînent les tournages : Razzia sur la chnouf (1955), Le rouge est mis (1957) Pendant ce temps, deux jeunes comédiens ambitieux font leurs débuts chez Marc Allégret (Sois belle et tais-toi, 1958) : Alain Delon et Jean-Paul Belmondo. Rapidement, ils croisent la route de leurs glorieux aînés : auréolé du succès d'À bout de souffle (Godard, 1960), Belmondo partage l'affiche de Classe tous risques (Claude Sautet, 1960) avec Ventura, puis se fait adouber par Gabin lors du tournage d'Un singe en hiver (Verneuil, 1962). Delon a déjà sympathisé avec l'ex-catcheur lors du tournage du Chemin des écoliers (1959) mais c'est à Henri Verneuil qu'il doit sa rencontre avec le « Vieux », son partenaire dans Mélodie en sous-sol (1963).
Un voyage fascinant au coeur du cinéma français, des années 1950 à la fin des années 1970, qui voient la production de films cultes : Ascenseur pour l'échafaud, Le Gorille vous salue bien, Plein soleil, Le Président, Les Tontons flingueurs, Cent mille dollars au- soleil, Le Deuxième Souffle, Paris brûle-t-il ?, Les Aventuriers, La Piscine, Le Cerveau, Le Clan des Siciliens, Borsalino, Un flic, Deux hommes dans la ville, L'Affaire Dominici « Gabin aurait pu avoir un jeune frère spirituel, c'était Alain Delon, et puis deux fils, Jean-Paul et moi » Alain Delon
Livre accompagnant l'exposition présentée au musée des Arts décoratifs à Paris du 2 juin 2021 au 9 janvier 2022.
Célébré comme un chef-d'oeuvre du cinéma, L'Empire des sens est le film le plus connu de Nagisa Ôshima. Connait-on pour autant la vie de la femme des années 30 qui l'inspira : Abe Sada, geisha, prostituée et amante passionnée ? Témoin de l'ouverture et de la modernisation du Japon, du nationalisme et de la seconde guerre mondiale, Abe Sada était une enfant du siècle et son destin hors normes la mènera jusqu'au milieu des années 80.
Martyre de la condition féminine japonaise, criminelle, et personnalité publique, Abe Sada fut pour Ôshima une héroïne révolutionnaire.
Retracer l'histoire du film, de sa genèse à sa projection cannoise en 1976 jusqu'à son procès au Japon, est l'occasion de revenir sur la détermination politique d'Ôshima et sa lutte pour la liberté d'expression.